Bible

 

Jérémie 51:51

Studie

       

51 [Mais vous direz] : nous sommes honteux des reproches que nous avons entendus; la confusion a couvert nos faces, en ce que les étrangers sont venus contre les Sanctuaires de la maison de l'Eternel.

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Apocalypse Explained # 1038

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1038. And I saw a woman sitting upon a scarlet beast, signifies the dominion of that religious persuasion over the holy things of the Word. This is evident from the signification of a "woman," as being the church (See n. 555, 707, 721, 730), here Babylon, which is not a church but a religious persuasion devastated of all the truth and good of the church. That Babylon is meant by this "woman" is clearly evident from the fifth verse of this chapter. Also from the signification of "sitting," as being to have dominion (See just above, n. 1033; also from the signification of "a scarlet beast," as being the Word as to the holy things of it, which the woman that is Babylon had profaned by dominion over them. That "the scarlet beast" signifies the Word as to the holy things of it that have been profaned by Babylon can be seen from what follows in this chapter, where it is said that "it was and is not, and is about to come up out of the abyss and to go into perdition" (verses 8-11); and afterwards, that "the ten horns of the beast were ten kings, who hated the harlot, and would make her desolate and naked, and would eat her flesh, and burn her up with fire, and would give the kingdom unto the beast" (verses 12, 16, 17). From these words viewed in the spiritual sense it is clear that "the scarlet beast" signifies the Word as to the holy things of it.

[2] The Divine Word can be signified by a "beast," because many of the holy things of the church are signified in the Word by "beasts," as:

The cherubim that appeared as four beasts (Ezekiel 1 and 10

And the four beasts, or four animals, that also were cherubim, were seen by John sitting and standing before the throne (Revelation 4:6-10; 5:6-12; 7:11; 14:3).

And these as cherubim signify providence and protection that the Lord be not approached except by the good of love, and thus also they signify the Word in the letter, since that protects (See above, n. 277, 278, 717). Moreover, all beasts that were sacrificed, as oxen, bullocks, goats, she-goats, kids, rams, sheep, and lambs, signified the holy things of the church (as can be seen from what has been shown above, n. 279, 283, 362, 552, 650, 781, 817 . And this is why men because of charity are called "sheep," and even the Lord Himself because of the Divine innocence is called a "Lamb," and because of the Divine power is called a "Lion." This has been said that it may not seem strange that the "beast" here signifies the Word, but the Word in the letter, where it is natural. Also, in a general sense, "beast" signifies in the Word the natural as to affection. The beast appeared scarlet in color, because "scarlet" signifies truth from a celestial origin, such as the truth of the Word is in the sense of its letter, that is, in its natural sense, which is what is meant by its holiness. Nearly the same is signified by "the harlot seen sitting upon many waters" (in the first verse of this chapter), also "upon many treasures" (in Jeremiah 51:13). For "many waters" and "many treasures" there signify the truths of the Word, and thus the holy things of the church which have been adulterated (See above, n. 1033). The signification of "scarlet" will be seen in the explanation of the following verse.

  
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Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.

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Arcanes Célestes # 3398

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3398. Encore un peu, quelqu'un du peuple aurait couché avec ta femme, et tu aurais attiré sur nous un délit, signifie que le Divin Vrai aurait pu être adultéré et ainsi être profané : On le voit par la signification de coucher, en ce que c'est être perverti ou adultéré ; par la signification de quelqu'un du peuple, en ce que c'est quelqu'un de l'Église, savoir, de l'Eglise spirituelle, numéro 2928 ; par la signification de la femme, ici de Rébecca, en ce qu'elle est le Divin Vrai, comme il a été dit ci-dessus ; et par la signification du délit, en ce que c'est la faute de la profanation du vrai ; de là il est évident que ces mots : Encore un peu, quelqu'un du peuple aurait couché avec ta femme, et tu aurais attiré sur nous un délit, signifie que le Divin Vrai aurait pu être facilement adultéré par quelqu'un dans l'Église, et introduire dans cette personne la faute de la profanation du vrai. Il a été dit ci-dessus, numéro 3380, qu'Abraham ayant dit deux fois que Sarah son épouse était sa sœur, d'abord en Egypte et ensuite en Gérar chez Abimélech, et que Isaac ayant dit pareillement aussi chez Abimélech que Rébecca sa femme était sa sœur, et que ces trois faits ayant été aussi mentionnés dans la Parole, il faut que la raison, pour laquelle il en a été ainsi, soit un très profond arcane ; l'arcane même qui y est renfermé se manifeste dans le sens interne, savoir, en ce que la sœur signifie le vrai rationnel, et la femme le Divin vrai, et qu'il a été dit que c'était le vrai rationnel, c'est-à-dire, la sœur, afin que le Divin Vrai qui est la femme, ici Rébecca, ne fût point adultéré, ni par conséquent profané. Voici ce qu'il en est de la Profanation du vrai : Le Divin Vrai ne peut être profané que par ceux qui précédemment l'ont reconnu, car ceux-là sont d'abord entrés par la reconnaissance et la foi dans le vrai, et ils y ont été initiés ; lorsque ensuite ils s'en éloignent, son empreinte reste continuellement gravée en dedans, et est rappelée en même temps que le faux et le mal ; de là le vrai, parce qu'il est adhérent au faux et au mal, est profané ; ceux donc, chez qui cela arrive, ont continuellement en eux-mêmes ce qui les damne, par conséquent leur enfer ; en effet, quand les esprits infernaux approchent de la sphère où sont le bien et le vrai, ils sentent aussitôt leur enfer, car ils viennent dans ce qu'ils haïssent, conséquemment dans la torture : ceux qui ont profané le vrai habitent donc continuellement avec ce qui les tourmente, et cela selon le degré de la profanation : C'est parce qu'il en est ainsi, qu'il est pourvu avec le plus grand soin par le Seigneur à ce que le Divin Bien et le Divin Vrai ne soient point profanés ; et il est pourvu principalement en cela, que l'homme, qui est tel, qu'il ne pourrait s'empêcher de profaner, est tenu aussi loin qu'il est possible de la reconnaissance et de la foi du vrai et du bien ; car, ainsi qu'il a été dit, nul ne peut profaner que celui qui a d'abord reconnu et cru : Voilà pourquoi les vrais internes n'ont pas été découverts aux descendants de Jacob, Israélites et Juifs ; il ne leur a pas même été dit ouvertement qu'il y eût quelque interne dans l'homme, ni par conséquent qu'il y eût un culte interne, à peine leur a-t-il été dit quelque chose de la vie après la mort, et du Royaume Céleste du Seigneur, ou du Messie qu'ils ont attendu ; ce fut, parce qu'ils étaient tels, qu'il avait été prévu que si les vrais leur avaient été découverts, ils n'auraient pu faire autrement que de Le profaner, car ils n'ont jamais voulu que des choses terrestres ; et comme cette génération a été et est toujours telle, il est permis même encore à présent qu'ils soient entièrement dans l'incrédulité ; en effet, si une fois ils reconnaissaient, et qu'ensuite ils se retirassent, ils ne pourraient que s'introduire dans le plus terrible de tous les enfers. Ce fut aussi pour cela que le Seigneur ne vint dans le inonde et ne révéla les internes de la Parole, que quand il n'y eut plus chez eux aucun reste de bien, même de bien naturel, car alors ils ne pouvaient plus recevoir quelque vrai jusqu'à une reconnaissance interne, puisque c'est le bien qui reçoit, ni par conséquent le profaner ; tel était l'état qui est entendu par la plénitude des temps, et par la consommation du siècle, même par le dernier jour, dont il est bien souvent parlé dans les prophètes : C'est encore pour la même raison que sont révélés maintenant les arcanes du sens interne de la Parole, parce qu'aujourd'hui à peine y a-t-il quelque foi, parce qu'il n'y a aucune charité, ainsi parce que c'est la consommation du siècle, et que quand la consommation est arrivée, ces arcanes peuvent être révélés sans qu'il y ait danger de profanation, parce qu'ils ne sont pas reconnus intérieurement. C'est à cause de cet arcane que dans la Parole il est rapporté, au sujet d'Abraham et de Isaac, que dans Gérar chez Abimélech ils ont appelé leurs épouses leurs sœurs. On peut voir en outre ce qui a déjà été dit et montré sur le même sujet, savoir, que ceux qui reconnaissent peuvent profaner, mais non ceux qui ne reconnaissent pas, et encore moins ceux qui ne savent pas, numéros 593, 1008, 1010, 1059 ; quel danger résulte de la profanation des choses saintes, et de la Parole, numéros 571, 582 ; que ceux qui sont au-dedans de l'Église peuvent profaner les choses saintes, mais non ceux qui sont hors de l'Église, numéro 2051 ; qu'il est pourvu par le Seigneur à ce que la profanation n'ait pas lieu, numéros 1001, 2426 ; que le culte devient externe, afin que le culte interne ne soit pas profané, numéros 1327, 1328 ; que l'on est tenu dans l'ignorance, afin que les vrais de la foi ne soient pas profanés, numéros 301, 302, 303.

  
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