Bible

 

Jérémie 51:49

Studie

       

49 Et comme Babylone a fait tomber les blessés à mort d'Israël, ainsi les blessés à mort de tout le pays tomberont à Babylone.

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Arcanes Célestes # 9140

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9140. Et qu'il aura lâché sa bête de somme, signifie s'il le fait avec peu de connaissance : on le voit par la signification de la bête de somme, en ce que c'est la volonté ou l'appétit du corps ; que ce soit avec peu de connaissance, c'est parce que, quand l'homme est dans les voluptés du corps, il consulte peu la raison, et ainsi il a peu de connaissance de ce qu'il fait : toutes les bêtes, de quelque genre et de quelque espèce qu'elles soient, signifient les affections, les bêtes douces et utiles les affections bonnes, et les bêtes non-douces et inutiles les affections mauvaises, numéros 45, 46, 142, 143, , 1823, 2180, 2781, 3218, 3519, 5198, 7523, 7872, 9090 : quand la bête est dite bête de somme, elle signifie les affections purement corporelles, qui en elles-mêmes ont peu de raison, car plus l'homme agit d'après le corps, et moins il agit d'après la raison, puisque le corps est dans le monde, ainsi loin du ciel où est la véritable raison.

Dans la Langue originale l'expression bête de somme se dit aussi d'un homme stupide et sot, ainsi d'un homme ayant peu de connaissance, comme dans Ésaïe 19:11 ; dans David, Psaumes 49:11, ; dans Jérémie 51:17, et ailleurs.

  
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Arcanes Célestes # 2072

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2072. Et il rit, signifie l'affection du vrai : on peut le voir par l'origine et l'essence du rire ; son origine n'est autre que l'affection du vrai ou l'affection du faux ; de là la gaité et l'allégresse qui se peignent sur le visage par le rire ; de là il est évident que l'essence du rire n'est pas autre chose ; le rire, il est vrai, est quelque chose d'externe qui appartient au corps, puisqu'il appartient à la face, mais dans la Parole les intérieurs sont exprimés et signifiés par les extérieurs, comme toutes les affections intérieures du caractère et du mental le sont par la face, comme l'ouïe intérieure et l'obéissance le sont par l'oreille, comme la vue interne et l'entendement le sont par l'œil, comme la puissance et la force le sont par la main et le bras, et ainsi du reste ; de même l'affection du vrai est exprimée et signifiée par le rire.

Dans le Rationnel de l'homme est le vrai, qui est le principal ; il y a aussi dans le rationnel l'affection du bien, mais celle-ci est dans l'affection même du vrai comme âme du vrai ; l'affection du bien, qui est dans le rationnel, ne se montre point par le rire, mais elle se manifeste par une certaine joie et de la par un plaisir de volupté qui ne produit pas le rire, car dans le rire, pour l'ordinaire, il y a aussi quelque chose qui n'est pas le bien. Si dans le Rationnel de l'homme le vrai est le principal, c'est parce que le Rationnel est formé par les connaissances du vrai, car s'il ne l'est pas par elles, jamais personne ne peut devenir rationnel ; les connaissances du bien sont pareillement des vrais comme les connaissances du vrai. Que le rire signifie ici l'affection du vrai, c'est ce qu'on peut voir, en ce qu'il est rapporté ici qu'Abraham a ri, et que Sarah fit de même tant avant qu'après la naissance d'Isaac, et en ce que Isaac reçut son nom du rire, car Isaac signifie le rire ; qu'Abraham ait rien parler d'Isaac, c'est ce qu'on voit par ce Verset, car il est dit que, lorsqu'Abraham eut entendu qu'il aurait un fils de Sarah, il rit ; que Sarah ait ri aussi avant la naissance d'Isaac, quand Jéhovah lui eut dit qu'elle enfanterait, on le voit par ce passage :

« Sarah » écoutait à la porte de la tente ; et Sarah rit en elle-même, en disant : Après que j'ai vieilli, aurai-je de la volupté ? Et mon Seigneur (est) un vieillard ! Et Jéhovah dit à Abraham : Pourquoi Sarah a-t-elle ri de ceci ? En disant : Est-ce que vraiment j'enfanterai aussi ? Et moi je suis vieille ! Sarah nia, en disant : Je n'ai point ri ; parce qu'elle eut peur. Et il dit : Non ; mais tu as ri. » - Genèse 18:12-13, 15.

Enfin, qu'elle ait ri encore après la naissance d'Isaac, cela est constant d'après ce passage :

« Abraham appela le nom de son fils, Isaac : (le Rire) Sarah dit : Dieu m’a donné le Rire ; quiconque entendra rira avec moi. » - Genèse 21:3, 6.

Si rire, et le nom d'Isaac qui signifie le rire, ne renfermaient par ces arcanes, ces circonstances n'auraient nullement été mentionnées.

  
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