Bible

 

Jérémie 51:49

Studie

       

49 Et comme Babylone a fait tomber les blessés à mort d'Israël, ainsi les blessés à mort de tout le pays tomberont à Babylone.

Ze Swedenborgových děl

 

Arcanes Célestes # 6419

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 10837  
  

6419. De la fille qui s'avance sur la muraille, signifie pour combattre contre le faux : on le voit par la signification de la fille, eu ce qu'elle est l'Église, numéros 2362, 3963, ici l'Église spi-rituelle, parce qu'il s'agit de cette Église ; par la signification de s'avancer sur la muraille, en ce que c'est pour combattre contre le faux, comme le montrent clairement les paroles qui suivent,

“ Ils l'irritent, et ils lancent, et ils l'ont en haine, les archers ; et il sera assis dans la force de son arc, » paroles qui signifient le combat du faux contre le vrai. S'il est dit

“ Qui s'avance sur la muraille, c'est parce que dans le sens interne il s'agit de l'attaque du vrai par les faux, et de la défense du vrai contre les faux ; car l'Église spirituelle, qui est représentée par Joseph, est continuellement attaquée, mais le Seigneur la défend continuellement ; de là, dans la Parole, les choses qui appartiennent à cette Église sont comparées à une ville, qui a une Muraille, un Avant-mur, des Portes, des Barres ; et par les attaques contre cette ville sont décrites les attaques du vrai par les faux ; c'est pourquoi aussi la ville signifie les doctrinaux, numéro 402, 2268, 2449, 2712, 2943, 3216, 4492, 4493, et la muraille signifie les vrais de la foi qui défendent, et dans le sens opposé les faux qui sont détruits ; que la muraille signifie les vrais de la foi qui défendent, on le voit clairement dans Ésaïe :

« Une ville forte (est) à nous ; pour salut il posera les murailles et l'avant-mur ; ouvrez les portes pour qu'elle entre, la nation juste qui garde les fidélités. » - Ésaïe 26:1 :

Et dans le Même :

« Tu appelleras salut tes murailles, et tes portes, louange. » - Ésaïe 60:18.

Dans le Même :

« Voici, sur les mains je t'ai gravée, tes murailles (sont) devant Moi continuellement. » - Ésaïe 49:16.

Les murailles sont les vrais de la foi.

Dans le Même :

« Sur tes murailles, Jérusalem, j'ai établi des sentinelles, tout le jour et toute la nuit elles ne se tairont point, remettant en mémoire Jéhovah. » - Ésaïe 62:6.

Pareillement.

Dans Jérémie :

« Ainsi a dit Jéhovah Sébaoth : Moi, je détourne les armes de guerre, avec lesquelles vous combattez contre le Roi de Rabel, et contre les Chaldéens qui vous assiègent, en dehors de la muraille ; je combattrai Moi-Même contre vous par main étendue. » - Jérémie 21:4.

Dans le Même :

« Jéhovah a pensé à détruire la muraille de la fille de Sion ; il a mis dans le deuil l'avant-mur et la muraille, ensemble ils languissent ; enfoncées en terre ont été ses portes ; il a détruit et brisé ses barres. » - Lamentations Jérémie 2:8, 9.

Dans Ézéchiel :

« Les fils d'Arvad et ton armée, sur tes murailles tout autour, et les Gamadéens dans tes tours ont été ; leurs boucliers ils ont suspendu sur tes murailles tout autour, et ils ont perfectionné ta beauté. » - Ézéchiel 27:11.

Là, il s'agit de Tyr, par laquelle sont signifiées les connaissances du bien et du vrai. Que de telles choses soient signifiées par la Ville et par les murailles, on peut le voir clairement d'après la description de la Sainte Jérusalem descendant du ciel et montrée à Jean par laquelle est signifiée une nouvelle Église, comme le prouve chaque expression ; et là, par la muraille est signifié le Divin Vrai procédant du Seigneur ; il en est parlé ainsi dans Jean :

« La sainte Jérusalem descendant du ciel, ayant une muraille grande et élevée, ayant douze portes ; la muraille de la ville avait douze fondements, et en eux les noms des douze Apôtres de l'Agneau : celui qui me parlait mesurait la ville et ses portes, et sa Muraille ; sa Muraille était de cent quarante-quatre coudées, mesure d'homme, c'est-à-dire, d'ange : la structure de la muraille était de jaspe, et la ville un or pur semblable à un verre pur ; les fondements de la muraille de la ville étaient ornés de toute pierre précieuse. » - Apocalypse 21:10-11, 12, 14, 15, 17-18, 19.

Que la Muraille soit le Divin Vrai procédant du Seigneur, et par suite le vrai de la foi d'après le bien de la charité, cela est évident d'après chacune des choses qui y sont dites de la muraille ; par exemple, que la muraille avait douze fondements et en eux les noms des douze Apôtres de l'Agneau, car douze signifie toutes choses, numéros 3272, 3858, 3913 ; la muraille et ses fondements signifient les vrais de la foi ; il en est de même des douze Apôtres, numéros 3488, 3858 (fin), 6397 ; ensuite, que la muraille était de cent quarante-quatre coudées, car ce nombre signifie la même chose que douze, à savoir, toutes choses, puisqu'il est composé de douze multiplié par douze ; et comme ce nombre, quand il se dit de la muraille, signifie tous les vrais et tous les biens de la foi, il est ajouté qu'il est mesure d'homme, c'est-à-dire, d'ange ; et aussi, que la structure de la muraille était de jaspe, et que ses fondements étaient ornés de toute pierre précieuse, car le jaspe et les pierres précieuses signifient les vrais de la foi, numéros 114. Que la muraille dans le sens opposé signifie les faux qui sont détruits, on le voit clairement par ces passages, dans Ésaïe :

« Jour de tumulte dans la vallée de la vision ; le Seigneur Jéhovah Sébaoth détruit la muraille, et le cri (va) jusqu'à la montagne ; car Élam a pris le carquois, avec le char de l'homme, des cavaliers ; les cavaliers se plaçant se sont placés jusqu'à la porte. » - Ésaïe 22:5, 6, 7.

Dans le Même :

« Le rempart de refuge de tes murailles, il l'abaissera, l'abattra, le renversera à terre, jusque dans la poussière. » - Ésaïe 25:12.

Dans Jérémie :

« Montez sur ses murailles, et renversez-les. » - Jérémie 5:10.

Dans le Même :

« J'allumerai un feu sur la muraille de Damas, qui dévorera les palais de Benhadad. » - Jérémie 49:27.

Dans le Même :

« Contre les murailles de Babel levez l'étendard, tenez la garde, placez les sentinelles. » - Jérémie 51:12.

Dans Ézéchiel :

« Elles renverseront les murailles de Tyr, et elles détruiront ses tours, et je tirerai sa poussière hors d'elle, et je la réduirai en aridité de rocher. » - Ézéchiel 26:4, 8-9, 12.

  
/ 10837  
  

Ze Swedenborgových děl

 

Arcana Coelestia # 3104

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 10837  
  

3104. 'Half a shekel in weight' means the amount needed for the introduction. This is clear from the meaning of 'a shekel', 'half a shekel', and 'weight'. 'A shekel' means the price or valuation of good and truth, and 'half a shekel' a defined amount of it, see 2959. 'Weight' means the state of something as regards good, as will be seen [below]. From these considerations it is evident that 'half a shekel in weight' means and embodies the amount as regards the good which 'a gold nose-jewel' is used to mean - that amount being the quantity of it that was needed for the introduction, as is plain from what comes before and after this point in the story.

[2] That 'weight' is the state of something as regards good is evident from the following places in the Word:

In Ezekiel where the prophet was told to eat food each day twenty shekels in weight, and to drink water in measure the sixth of a hin,

For, behold, I am breaking the staff of bread in Jerusalem, so that they may eat bread by weight and with anxiety, and drink water by measure and with dismay; that they may be in want of bread and water. Ezekiel 4:10-11, 16-17.

This refers to the vastation of good and truth, which is represented by 'the prophet'. A state of good when vastated is meant by their having to eat food and bread 'by weight', and a state of truth when vastated by their having to drink water 'by measure' - 'bread' meaning that which is celestial, and so good, see 276, 680, 2165, 2177, and 'water' that which is spiritual, and so truth, 739, 2702, 3058. From this it is evident that 'weight' is used in reference to good, and 'measure' to truth.

[3] In the same prophet,

You shall have just balances, and a just ephah, and a just bath. Ezekiel 45:10 and following verses.

This refers to the holy land, by which the Lord's kingdom in heaven is meant, as may be recognized from every detail at this point in this prophet, where what are required are not balances, an ephah, and a bath that are just but the goods and truths meant by those weights and measures.

In Isaiah,

Who has measured the waters in the hollow of His hand and weighed the heavens in [His] palm, and gathered the dust of the earth in a measure, and weighed the mountains in a balance, and the hills in the scales? Isaiah 40:12.

'Weighing the mountains in a balance and the hills in the scares' stands for the truth that the Lord is the source of the heavenly things of love and charity, and that He alone orders the states of these things. For 'the mountains' and 'the hills' referred to in connection with those weights mean the heavenly things of love, see 795, 796, 1430, 2722.

[4] In Daniel,

The writing on the wall of Belshazzar's palace was, Mene, Mene, Tekel, Upharsin. This is the interpretation: Mene, God has numbered your kingdom and brought it to an end; Tekel, you have been weighed in the scales and have been found wanting; Peres, your kingdom has been divided and given to the Medes and Persians. Daniel 5:25-28.

Here 'mene' or 'He has numbered' has reference to truth, but 'tekel' or 'weighed in the scales' to good. Described in the internal sense is the time when the age is drawing to a close.

  
/ 10837  
  

Thanks to the Swedenborg Society for the permission to use this translation.