Bible

 

Jérémie 51:46

Studie

       

46 De peur que votre cœur ne s'amollisse, et que vous n'ayez peur des nouvelles qu'on entendra dans tout le pays; car des nouvelles viendront une année, et après cela [d'autres] nouvelles une [autre] année, et il y aura violence dans la terre, et dominateur sur dominateur.

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Apocalypse Explained # 510

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510. And as it were a great mountain burning with fire, signifies the love of self, and of self-intelligence therefrom. This is evident from the signification of "a mountain burning with fire," as being the love of self and the love of self-intelligence therefrom. This love is signified by such a mountain, because a "mountain" in the Word signifies love in both senses, namely heavenly love and infernal love (See above, n. 405); likewise "fire" (See also above, n. 504); and here the evil who are to be separated from the good and cast into hell are treated of, and with such every truth is turned by that love into falsity. This effect, arising from "casting that mountain into the sea," is described in what follows; for "that mountain cast into the sea, so that the third part of the sea became blood," signifies that everything in the natural man became falsity of evil. From this it can be seen that "a great mountain burning with fire" signifies the love of self and the love of self-intelligence therefrom. All self-intelligence is from the love of self.

[2] "Mountain" means love in both senses, because the angels of the third heaven, who are in celestial love, dwell upon mountains in the spiritual world; so when a "mountain" is mentioned, that heaven is meant, and according to the ideas of angelic thought, which are abstracted from persons and places, that which constitutes heaven is meant, that is, celestial love. But in the contrary sense "mountain" signifies the love of self, because they who are in the love of self have a constant desire to go up mountains, to make themselves equal to those who are in the third heaven. Because they dwell upon this in their fancy, it is also the object of their endeavor when they are out of the hells; this is why a "mountain" in the contrary sense signifies the love of self. In a word, those who are in the love of self are always aspiring after high things, so after death, when all the states of the love are changed into things correspondent, in their fancy they mount aloft, believing themselves, while in the fancy, to be upon high mountains, and yet bodily they are in the hells. This is why those who are of Babylon, who are in such love of self as to wish to rule not only over all the earth but also over the heavens, are called "mountains," and are said "to sit upon a mountain" and "to ascend above the heights of the cloud." As in Jeremiah:

Behold, I am against thee, O destroying mountain, destroying the whole earth; and I will stretch out My hand against thee, to roll thee down from the rocks and make thee a mountain of burning (Jeremiah 51:25).

In Isaiah:

Thou hast said in thy heart, I will ascend into the heavens, I will exalt my throne above the stars of God; and I will sit on the mount of the congregation; I will ascend above the heights of the cloud; I will become like the Most High: yet thou shalt be cast down to hell (Isaiah 14:13-15).

This is said of Babylon.

  
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Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.

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Arcanes Célestes # 3542

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3542. Et sur le Lisse de son cou, signifie afin que le vrai disjoignant ne se montrât point : on le voit par l'expression du lisse ou de lisse, en ce que cela concerne le vrai, numéro 3527 ; et par la signification du cou, en ce que c'est ce qui conjoint, ainsi qu'il va être expliqué ; ici donc, comme c'était une apparence sur le lisse de son cou, c'était afin que le vrai disjoignant ne se montrât point. D'après ce qui a été dit et exposé ci-dessus, numéro 3539, on peut voir comment ces choses se passent, c'est-à-dire que ce bien et ces vrais, qui découlent de l'entendement et non en même temps de la volonté, ne sont ni un bien ni des vrais, de quelque manière qu'ils le paraissent dans la forme externe ; et s'il y a volonté du mal, le bien et les vrais disjoignent et ne conjoignent point ; si, au contraire, il y a quelque volonté du bien, alors ils ne disjoignent point mais conjoignent, quoiqu'ils aient été disposés dans un ordre inverse, car par eux l'homme est régénéré ; et parce qu'ainsi disposés ils servent d'abord à régénérer l'homme, il est dit qu'ainsi le vrai disjoignant ne se montrerait point ; mais dans la suite il sera donné sur ce sujet de plus grandes explications. Si le Cou signifie ce qui conjoint, c'est parce que chez l'homme les supérieurs qui appartiennent à la tête elles inférieurs qui appartiennent au corps communiquent entre eux par le cou qui les sépare : de là vient que non-seulement l'influx, mais aussi la communication, et par conséquent la conjonction, sont signifiés par cet intermédiaire ; on pourra le voir encore plus clairement par les Correspondances du Très-Grand Homme avec ce qui appartient au corps humain, correspondances dont il sera parlé à la fin du Chapitre ; c'est de là que par le Cou pareille chose est signifiée dans la Parole ; par exemple, dans Ésaïe :

« Son esprit (est) comme un torrent qui déborde, jusqu'au Cou il partagera en deux. » - Ésaïe 30:28.

Là, le torrent qui déborde, c'est le faux qui déborde ainsi ; partager en deux jusqu'au cou, c'est fermer et intercepter la communication et par suite la conjonction des supérieurs avec les inférieurs ; elles sont fermées et interceptées quand le bien et les vrais spirituels ne sont pas reçus.

Dans Habacuc :

« Tu as frappé la tête de la maison de l'impie, en découvrant le fondement jusqu'au cou. » - Habacuc 3:13.

Frapper la tête de la maison de l'impie, c'est détruire les principes du faux ; en découvrant le fondement jusqu'au cou, c'est en interceptant ainsi la conjonction.

Dans Jérémie :

« Les prévarications enlacées, ont monté sur mon Cou, il a abattu mes forces, Dieu m'a livré en des mains, (d'où) je ne puis me relever. » - Lamentations 1:14.

Les prévarications enlacées ont monté sur mon cou, ce sont les faux vers les intérieurs ou les rationnels. Comme le Cou signifiait cette communication et cette conjonction, c'est pour cela que les liens du cou ont signifié l'interception, par conséquent la désolation du vrai, laquelle existe quand les spirituels, qui influent continuellement du Seigneur, ne sont plus admis dans le rationnel de l'homme, ni par conséquent dans son naturel ; c'est cette interception ou désolation qui est représentée dans Jérémie, en ce qu'il devait se faire des liens et des jougs, et les mettre sur son Cou, elles envoyer aux peuples et dire qu'ils serviraient Nébuchadnézar, roi de Babel, et que ceux qui ne soumettraient pas leur Cou à son joug seraient visités par l'épée, la famine et la peste ; mais que ceux qui soumettraient leur cou seraient laissés sur la terre. » - Jérem. , , .

Soumettre son cou au joug du roi de Babel et le servir, c'est être désolé quant au vrai et dévasté quant au bien ; que ce soit Habel qui dévaste, on le voit. Numéro 1327 (fin). ; et qu'on soit, dévasté, afin que les choses saintes ne soient pas profanées, on le voit, numéros 301, 302, 303, 1327, 1328, 2426, 3398, 3399, 3402 ; et comme par l'interception de l'influx du bien et du vrai on devient esclave du mal et du faux, c'est aussi pour cela que soumettre son cou au joug, c'est servir.

Dans le Même :

« Ainsi a dit Jéhovah : Je briserai le joug de Nébuchadnézar, roi de Babel, dans l'espace de deux ans de jours, de dessus le cou de toutes les nations. » - .

C’est-à-dire, qu'ils seraient délivrés de la vastation.

Dans Ésaïe :

« Dégage-toi de la poussière, lève-toi, assieds-toi, Jérusalem ; délie les liens de ton cou, captive fille de Sion. » - Ésaïe 52:2.

Délier les liens du cou, c'est admettre et recevoir le bien et le vrai.

Dans Michée :

« Voici, je pense contre cette famille un mal, dont vous ne retirerez pas vos cous, et vous n'irez pas droits, car un temps de mal (sera) celui-là. » - Michée 2:3.

Ne pas retirer son cou du mal, c'est ne pas admettre le vrai ; ne pas aller droit, c'est par conséquent ne pas regarder vers les supérieurs ou vers les choses qui appartiennent au ciel, numéro 248.

  
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