Bible

 

Jérémie 51:45

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45 Mon peuple, sortez du milieu d'elle, et sauvez chacun sa vie de l'ardeur de la colère de l'Eternel.

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L’Apocalypse Révélée # 645

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645. Criant d'une voix grande à Celui qui était assis sur la nuée : Envoie ta faux et moissonne, car est venue pour loi l'heure de moissonner, parce qu'est mûre la moisson de la terre, signifie la supplication des Anges du Ciel au Seigneur, pour qu'il mette une fin et qu'il fasse le jugement, parce que c'est maintenant le dernier état de l'Église. Par , crier d'une voix grande à Celui qui était assis sur la nuée, il est signifié la supplication des Anges du Ciel au Seigneur, par la raison qu'il n'y a plus rien de correspondant dans les terres, car pour le Ciel Angélique, l'Église dans les terres est comme le fondement sur lequel subsiste une maison, ou comme les pieds sur lesquels un homme se tient debout et avec lesquels il marche ; c'est pourquoi, lorsque l'Église dans les terres est détruite, les Anges se lamentent et supplient le Seigneur, ils le supplient de mettre fin à l'Église et d'en élever une Nouvelle ; de là vient que par « un Ange cria d'une voix grande à Celui qui était assis sur la nuée » , il est signifié la supplication des Anges du Ciel au Seigneur ; que par Celui qui était assis sur la nuée il soit signifié le Seigneur quant à la Parole, on le voit ci-dessus, No. 643 ; que par envoyer la faux et moissonner,il soit signifié mettre fin et faire le jugement, on le voit aussi ci-dessus, Nos. 642, 643 ; par car est venue l'heure de moissonner, il est signifié que c'est la fin de l'Église ; par parlée qu'est mûre ta moisson, il est signifié que c'est le dernier était de l'Église ; par la moisson est signifié l'état de l'Église quant au Divin Vrai, par la raison que de la moisson vient le blé dont on fait le pain, et que par le blé et le pain il est signifié le bien de l'Église,, et ce bien est acquis par les vrais. Que ce soit là ce qui est signifiée par ces choses, on peut le voir plus clairement par les passages de la Parole où il est parlé de moisson, de moissonner et de faux ; par exemple, dans les suivants :

— « Je siégerai pour juger toutes Iles nations : Envoyez la FAUCILLE, car mûre est la MOISSON, parce que grande est leur malice. » — Joël 4:12, 13.

— « Retranchez celui qui sème, et celui qui saisit la FAUCILLE au temps de la MOISSON. » — Jérémie 50:16.

— « La fille de Babel (est) comme une aire pour être foulée ; encore un peu quand viendra le temps de la MOISSON. » — Jérémie 51:33.

— « Il arrivera commue quand on amasse la MOISSON, et que son bras MOISSONNÉ las épis ; le matin ta semence fleurit, un monceau (sera) la MOISSON au jour de la possession ; et (il y aura) douleur désespérée, » — Ésaïe 17:5-6, 11.

— « Confus sont devenus les laboureurs, parce qu'a péri ta MOISSON DU CHAMP. » — Joël 1:11.

— « Jésus dit aux disciples : Ne dites-vous pas : Encore quatre mois il y a, jusqu'à ce que la MOISSON arrive ? Levez vos yeux, et regardez les champs,que blancs ils sont déjà pour la MOISSON. Moi, je vous ai envoyés MOISSONNER. » — Jean 4:35-39

— « Jésus dit aux disciples : La MOISSON est abondante, mais il y a peu d'ouvriers ; suppliez donc le Seigneur de la MOISSON, afin qu'il envoie des ouvriers pour sa MOISSON. » — Matthieu 9:37-38 ; Luc 10:2.

— Dans ces passages, et aussi, — Ésaïe 16:9 ; Jérémie 5:17 ; 8:20.

— par la Moisson est signifiée l'Église quant au Divin Vrai. Mais toutes les choses qui sont contenues dans les Versets de ce Chapitre, et aussi dans les deux Chapitres qui suivent, ont été prédites par le Seigneur dans la parabole de Celui qui sème et de la récolte de la Moisson, et comme elle enseigne et illustre ce que signifient ces choses, elle sera rapportée ici :

— « Jésus dit : Semblable est le Royaume des deux à un homme qui avait semé de bonne semence dans son champ ; mais son ennemi vint et sema de l'ivraie ; quand eut poussé l'herbe, alors parut aussi l'ivraie. Ses serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous la cueillions ? Mais il dit : Non, de peur que peut-être en cueillant l'ivraie, vous ne déraciniez en même temps le froment ; laissez-les croître ensemble jusqu'à la Moisson, et au temps de la Moisson je dirai aux Moissonneurs : Cueillez premièrement l'ivraie, et liez-la en faisceaux pour la brûler, mais amassez le froment dans mon grenier.

Et s'approchèrent les disciples vers Jésus, disant : Explique-nous la parabole.

Jésus dit : Celui qui sème la bonne semence est le Fils de l'homme (ou le Seigneur) ; te champ est le Monde (l'Eglise) ; la semence, ce sont les fils du Royaume (les vrais de l'Église) ; l'ivraie, ce sont les fils du méchant (les faux de l'enfer) ; l'ennemi qui la sème est le diable ; la Moisson est la consommation du siècle (la fin de l'Église) ; les Moissonneurs sont les Anges (les Divins Vrais) ; de même donc qu'est cueillie l'ivraie, et qu'au feu elle est brûlée, de même il en sera à la consommation du siècle (à la fin de l'Église). » — Matthieu 13:24-30, 36-43.

  
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Arcana Coelestia # 1904

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1904. That 'Sarai, Abram's wife, took' means the affection for truth, which in the genuine sense is 'Sarai the wife', is clear from the meaning of 'Sarai' as truth allied to good, and from the meaning of 'wife' as affection, dealt with already in 915, 1468. There are two affections, distinct and separate - the affection for good and the affection for truth. While a person is being regenerated the affection for truth takes the lead, for it is an affection for truth for the sake of good that moves him; but once he has been regenerated the affection for good takes the lead, and it is now an affection for truth originating in good that moves him. The affection for good belongs to the will, the affection for truth to the understanding. The most ancient people established a marriage so to speak between these two affections. They used to refer to good (or the love of good) and truth (or the love of truth) as Man, calling the former 'the husband' and the latter 'the wife'. The comparison of good and truth to a marriage has its origins in the heavenly marriage.

[2] Regarded in themselves good and truth do not possess any life, but they derive their life from love or affection. They are merely the instruments that serve life. Consequently as is the love producing the affection for good and truth, so is the life; for the whole of life constitutes the whole of love or affection. This is why 'Sarai his wife' in the genuine sense means the affection for truth. And because the Intellectual desired the Rational as its offspring, and because what she says is an expression of that desire or affection, this verse contains the explicit wording, 'Sarai, Abram's wife, gave to Abram her husband' which would be an unnecessary repetition - for in themselves these words would be quite superfluous - if such matters were not embodied within the internal sense.

[3] Intellectual truth is distinct and separate from rational truth, and rational truth from factual truth, just as what is internal, what is intermediate, and what is external are. Intellectual truth is internal, rational truth is intermediate, while factual truth is external. These are quite distinct and separate because one is interior to another. With everyone intellectual truth, which is internal, or that present within the inmost part of him, is not his own but is the Lord's with him. From this the Lord flows into the rational, where truth first appears as if it were the person's own, and through the rational into his faculty of knowing. From these considerations it is clear that nobody can possibly think as of himself from intellectual truth, but from rational truth and factual truth because these do appear as if they were his.

[4] Only the Lord, when He lived in the world, thought from intellectual truth, for that truth was His own Divine truth joined to good, or the Divine spiritual joined to the Divine celestial. In this respect the Lord was different from all others. Man in no way possesses the ability to think from the Divine existing within himself as his essential self, nor can that ability possibly exist within man, only within Him who was conceived from Jehovah. Because He thought from intellectual truth, that is, from the love or affection for intellectual truth, from that truth also He desired the Rational. This is why it is stated here that 'Sarai, Abram's wife', by whom is meant the affection for intellectual truth, 'took Hagar the Egyptian and gave her to Abram her husband as his wife (mulier)'.

[5] No other arcana concealed here can be brought out and explained intelligibly because the human being dwells in very great obscurity regarding his own internals. Indeed he has no conception of these, for he identifies the rational and the intellectual degrees of the mind with the factual degree, not knowing that these degrees are distinct and separate, so distinct in fact that the intellectual is able to exist without the rational, as also can the rational, while subordinate to the intellectual, exist without the factual. This must inevitably seem absurd to those wholly immersed in factual knowledge, but it is nevertheless the truth. It is not possible however for anyone to have truth present in the factual degree of his mind, that is to say, to have an affection for it and a belief in it, if truth is not present in the rational, into which and through which the Lord flows in from the intellectual degree. These arcana do not lie open to man's view except in the next life.

  
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Thanks to the Swedenborg Society for the permission to use this translation.