Bible

 

Jérémie 51:40

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40 Je les ferai descendre comme des agneaux à la tuerie, et comme [on y mène] les moutons avec les boucs.

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Arcanes Célestes # 583

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583. Hommes forts furent appelés les Néphilim, à cause de l'amour de soi : on le voit aussi çà et là dans la Parole, ou ceux qui sont tels sont appelés forts ; par exemple, dans Jérémie :

« Les forts de Babel ont cessé de combattre, ils se tiennent dans leurs retranchements ; leur force les abandonne, ils sont devenus des femmes. » - Jérémie 51:30.

Là, les hommes forts de Babel sont pris aussi pour ceux qui se sont laissé séduire par l'amour de soi.

Dans le Même :

« Epée contre les menteurs, et ils deviendront insensés ; épée contre ses (hommes) forts, et ils seront consternés. » - Jérémie 50:36.

Dans le Même :

« J'ai vu, eux ont été consternés, tournés en arrière ; leurs (hommes) forts ont été meurtris, et de fuite ont fui, et n'ont point regardé en arrière ; terreur de toute part ! Il ne fuira point, le léger ; et il n'échappera point, le Fort. Montez sur les chevaux, et élancez-vous avec furie, chars ! Qu'ils sortent, les Forts, Kusch, Puth, les Ludiens.

Jérémie 46:5-6, 9.

Là, il s'agit de la persuasion produite par les raisonnements.

Dans le Même :

« Comment dites-vous : Forts (nous sommes), nous, et des hommes de valeur pour la guerre ? Dévasté a été Moab. » - Jérémie 48:14-15.

Dans le Même : Elle a été prise, la ville, et ses remparts ; on s'en est emparé, et le cœur des Forts de Moab est devenu, en ce jour-là, comme le cœur d'une femme dans l'angoisse. » - Jérémie 48:41.

Pareillement le cœur des Forts d'Edom.

Jérémie 49:22.

Dans le Même :

« Jéhovah a racheté Jacob ; il l'a retiré de la main d'un plus Fort que lui. » - Jérémie 31:11 ;

Là, le fort est exprimé par un autre mot. Que les Enakim, d'entre les Néphilim, aient été renommés comme des hommes forts, on le voit dans Moïse :

« Tu passes aujourd'hui le Jourdain pour venir posséder des nations grandes et nombreuses plus que toi, des villes grandes et escarpées jusqu'au ciel, un peuple grand et haut (de taille), les fils des Enakim que tu connais, et dont tu as entendu dire : Qui tiendra devant les fils d'Enak ? » - Deutéronome 9:1-2.

  
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Arcanes Célestes # 6348

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6348. Car tu es monté sur la couche de ton père, signifie parce que, séparée du bien qui appartient à la charité, elle a une conjonction infâme : on le voit par la signification de monter sur la couche du père, en ce que c'est avoir une conjonction infâme, à savoir, la foi séparée du bien qui appartient à la charité ; en effet, la foi par la doctrine ou par l'entendement, qui est ici représentée par Reuben, si elle n'est pas initiée dans le bien et n'y est pas conjointe, est ou dissipée et devient nulle, ou initiée et conjointe au mal et au faux, ce qui est la conjonction infâme signifiée ici, car alors il y a profanation : que cela soit ainsi, on peut le voir en ce que la foi ne peut pas avoir d'habitacle ailleurs que dans le bien, et si elle n'y a pas d'habitacle, il faut nécessairement ou qu'elle devienne nulle, ou qu'elle soit conjointe au mal : cela est bien évident dans l'autre vie d'après ceux qui ont été dans la foi seule et sans aucune charité, en ce que la foi y est dissipée, et que si elle a été conjointe au mal, ils reçoivent leurs lots avec les profanes. Dans la Parole, par les adultères dans le sens interne sont signifiées les adultérations du bien, et par les scortations les falsifications du vrai, numéros 2466, 3399 ; mais par les conjonctions infâmes, qui sont appelées degrés prohibés, desquels il s'agit dans le Lévitique 18 : Vers. 6 à 24, sont signifiés les différents genres de profanations ; qu'ici ce soit aussi une profanation, cela est évident, car il est dit :

« Tu es monté sur la couche de ton père, alors tu l'as profanée ; sur mon lit il est monté ; » que ce soit la profanation du bien par la foi séparée, on le voit, numéro 4601, où il s'agit de cette action infâme de Reuben. A l'égard de la foi seule ou séparée d'avec la charité, voici ce qui en est : Si elle est conjointe au mal, ce qui arrive quand d'abord on croit au vrai qui appartient à la foi, et plus encore quand d'abord on vit selon ce vrai, et qu'ensuite on le nie et que l'on a une vie qui y est contraire, alors il y a profanation ; car le vrai qui appartient à la foi et le bien qui appartient à la charité ont d'abord été enracinés dans les intérieurs par la doctrine et par la vie, et ensuite ils en ont été retirés et ont été conjoints au mal ; l'homme, chez qui cela arrive, a le sort le plus malheureux de tous dans l'autre vie, car chez-lui le bien ne peut pas être séparé du mal, quoique généralement le bien et le mal soient séparés dans l'autre vie ; et il n'a aucun reste du bien renfermé dans ses intérieurs, parce que les restes ont entièrement péri dans le mal ; l'enfer de ceux-là est du côté antérieur à gauche, à une grande distance ; et ceux qui l'habitent apparaissent à la vue angélique comme des squelettes, ayant à peine quelque vie. Afin donc qu'il n'y ait pas profanation du bien et du vrai, l'homme qui est d'une telle nature, qu'il ne se laisserait pas régénérer, ce qui est prévu par le Seigneur, est détourné de la foi et de la charité, et il lui est permis d'être dans le mal et par là dans le faux ; car alors il ne peut pas profaner ; voir ce qui a déjà été dit et montré sur la profanation, numéros 301, 302, 303, 571, 582, 593, 1001, 1008, 1010, 4059, 1327, 1328, 2051, 2426, 3398, 3399, 3402, 3489, 3898, 4289, 4601.

  
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