Bible

 

Jérémie 51:39

Studie

       

39 Je les ferai échauffer dans leurs festins, et les enivrerai, afin qu'ils se réjouissent, et qu'ils dorment d'un sommeil perpétuel, et qu'ils ne se réveillent plus, dit l'Eternel.

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Apocalypse Explained # 1038

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1038. And I saw a woman sitting upon a scarlet beast, signifies the dominion of that religious persuasion over the holy things of the Word. This is evident from the signification of a "woman," as being the church (See n. 555, 707, 721, 730), here Babylon, which is not a church but a religious persuasion devastated of all the truth and good of the church. That Babylon is meant by this "woman" is clearly evident from the fifth verse of this chapter. Also from the signification of "sitting," as being to have dominion (See just above, n. 1033; also from the signification of "a scarlet beast," as being the Word as to the holy things of it, which the woman that is Babylon had profaned by dominion over them. That "the scarlet beast" signifies the Word as to the holy things of it that have been profaned by Babylon can be seen from what follows in this chapter, where it is said that "it was and is not, and is about to come up out of the abyss and to go into perdition" (verses 8-11); and afterwards, that "the ten horns of the beast were ten kings, who hated the harlot, and would make her desolate and naked, and would eat her flesh, and burn her up with fire, and would give the kingdom unto the beast" (verses 12, 16, 17). From these words viewed in the spiritual sense it is clear that "the scarlet beast" signifies the Word as to the holy things of it.

[2] The Divine Word can be signified by a "beast," because many of the holy things of the church are signified in the Word by "beasts," as:

The cherubim that appeared as four beasts (Ezekiel 1 and 10

And the four beasts, or four animals, that also were cherubim, were seen by John sitting and standing before the throne (Revelation 4:6-10; 5:6-12; 7:11; 14:3).

And these as cherubim signify providence and protection that the Lord be not approached except by the good of love, and thus also they signify the Word in the letter, since that protects (See above, n. 277, 278, 717). Moreover, all beasts that were sacrificed, as oxen, bullocks, goats, she-goats, kids, rams, sheep, and lambs, signified the holy things of the church (as can be seen from what has been shown above, n. 279, 283, 362, 552, 650, 781, 817 . And this is why men because of charity are called "sheep," and even the Lord Himself because of the Divine innocence is called a "Lamb," and because of the Divine power is called a "Lion." This has been said that it may not seem strange that the "beast" here signifies the Word, but the Word in the letter, where it is natural. Also, in a general sense, "beast" signifies in the Word the natural as to affection. The beast appeared scarlet in color, because "scarlet" signifies truth from a celestial origin, such as the truth of the Word is in the sense of its letter, that is, in its natural sense, which is what is meant by its holiness. Nearly the same is signified by "the harlot seen sitting upon many waters" (in the first verse of this chapter), also "upon many treasures" (in Jeremiah 51:13). For "many waters" and "many treasures" there signify the truths of the Word, and thus the holy things of the church which have been adulterated (See above, n. 1033). The signification of "scarlet" will be seen in the explanation of the following verse.

  
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Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.

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Arcanes Célestes # 3542

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3542. Et sur le Lisse de son cou, signifie afin que le vrai disjoignant ne se montrât point : on le voit par l'expression du lisse ou de lisse, en ce que cela concerne le vrai, numéro 3527 ; et par la signification du cou, en ce que c'est ce qui conjoint, ainsi qu'il va être expliqué ; ici donc, comme c'était une apparence sur le lisse de son cou, c'était afin que le vrai disjoignant ne se montrât point. D'après ce qui a été dit et exposé ci-dessus, numéro 3539, on peut voir comment ces choses se passent, c'est-à-dire que ce bien et ces vrais, qui découlent de l'entendement et non en même temps de la volonté, ne sont ni un bien ni des vrais, de quelque manière qu'ils le paraissent dans la forme externe ; et s'il y a volonté du mal, le bien et les vrais disjoignent et ne conjoignent point ; si, au contraire, il y a quelque volonté du bien, alors ils ne disjoignent point mais conjoignent, quoiqu'ils aient été disposés dans un ordre inverse, car par eux l'homme est régénéré ; et parce qu'ainsi disposés ils servent d'abord à régénérer l'homme, il est dit qu'ainsi le vrai disjoignant ne se montrerait point ; mais dans la suite il sera donné sur ce sujet de plus grandes explications. Si le Cou signifie ce qui conjoint, c'est parce que chez l'homme les supérieurs qui appartiennent à la tête elles inférieurs qui appartiennent au corps communiquent entre eux par le cou qui les sépare : de là vient que non-seulement l'influx, mais aussi la communication, et par conséquent la conjonction, sont signifiés par cet intermédiaire ; on pourra le voir encore plus clairement par les Correspondances du Très-Grand Homme avec ce qui appartient au corps humain, correspondances dont il sera parlé à la fin du Chapitre ; c'est de là que par le Cou pareille chose est signifiée dans la Parole ; par exemple, dans Ésaïe :

« Son esprit (est) comme un torrent qui déborde, jusqu'au Cou il partagera en deux. » - Ésaïe 30:28.

Là, le torrent qui déborde, c'est le faux qui déborde ainsi ; partager en deux jusqu'au cou, c'est fermer et intercepter la communication et par suite la conjonction des supérieurs avec les inférieurs ; elles sont fermées et interceptées quand le bien et les vrais spirituels ne sont pas reçus.

Dans Habacuc :

« Tu as frappé la tête de la maison de l'impie, en découvrant le fondement jusqu'au cou. » - Habacuc 3:13.

Frapper la tête de la maison de l'impie, c'est détruire les principes du faux ; en découvrant le fondement jusqu'au cou, c'est en interceptant ainsi la conjonction.

Dans Jérémie :

« Les prévarications enlacées, ont monté sur mon Cou, il a abattu mes forces, Dieu m'a livré en des mains, (d'où) je ne puis me relever. » - Lamentations 1:14.

Les prévarications enlacées ont monté sur mon cou, ce sont les faux vers les intérieurs ou les rationnels. Comme le Cou signifiait cette communication et cette conjonction, c'est pour cela que les liens du cou ont signifié l'interception, par conséquent la désolation du vrai, laquelle existe quand les spirituels, qui influent continuellement du Seigneur, ne sont plus admis dans le rationnel de l'homme, ni par conséquent dans son naturel ; c'est cette interception ou désolation qui est représentée dans Jérémie, en ce qu'il devait se faire des liens et des jougs, et les mettre sur son Cou, elles envoyer aux peuples et dire qu'ils serviraient Nébuchadnézar, roi de Babel, et que ceux qui ne soumettraient pas leur Cou à son joug seraient visités par l'épée, la famine et la peste ; mais que ceux qui soumettraient leur cou seraient laissés sur la terre. » - Jérem. , , .

Soumettre son cou au joug du roi de Babel et le servir, c'est être désolé quant au vrai et dévasté quant au bien ; que ce soit Habel qui dévaste, on le voit. Numéro 1327 (fin). ; et qu'on soit, dévasté, afin que les choses saintes ne soient pas profanées, on le voit, numéros 301, 302, 303, 1327, 1328, 2426, 3398, 3399, 3402 ; et comme par l'interception de l'influx du bien et du vrai on devient esclave du mal et du faux, c'est aussi pour cela que soumettre son cou au joug, c'est servir.

Dans le Même :

« Ainsi a dit Jéhovah : Je briserai le joug de Nébuchadnézar, roi de Babel, dans l'espace de deux ans de jours, de dessus le cou de toutes les nations. » - .

C’est-à-dire, qu'ils seraient délivrés de la vastation.

Dans Ésaïe :

« Dégage-toi de la poussière, lève-toi, assieds-toi, Jérusalem ; délie les liens de ton cou, captive fille de Sion. » - Ésaïe 52:2.

Délier les liens du cou, c'est admettre et recevoir le bien et le vrai.

Dans Michée :

« Voici, je pense contre cette famille un mal, dont vous ne retirerez pas vos cous, et vous n'irez pas droits, car un temps de mal (sera) celui-là. » - Michée 2:3.

Ne pas retirer son cou du mal, c'est ne pas admettre le vrai ; ne pas aller droit, c'est par conséquent ne pas regarder vers les supérieurs ou vers les choses qui appartiennent au ciel, numéro 248.

  
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