Bible

 

Jérémie 51:38

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38 Ils rugiront ensemble comme des lionceaux, et bruiront comme des faons de lions.

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L’Apocalypse Révélée # 382

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382. Et point ne tombera sur eux le soleil, ni aucune chaleur, signifie que dans la suite ils n'auront point de convoitises pour le mal ni pour le faux du mal. — Point ne tombera sur eux le soleil, signifie qu'ils n'auront point de convoitises pour le mal ; point ne tombera sur eux aucune chaleur, signifie qu'ils n'auront point de convoitises pour le faux : que le soleil signifie le Divin Amour et par suite les affections du bien, et dans le sens opposé l'amour diabolique et par suite les convoitises pour le mal, on le voit ci-dessus, No. 53 : si la chaleur signifie les convoitises pour le faux du mal, c'est parce que le faux est produit par le mal, comme la chaleur par le soleil ; en effet, quand la volonté aime le mal, l'entendement aime le faux et est embrasé par la convoitise de confirmer le mal, et le mal confirmé dans l'entendement est le faux du mal ; le faux du mal est par suite le mal dans sa forme. La chaleur et s'échauffer ont une semblable signification dans les passages suivants :

— « Heureux l'homme qui se confie en Jéhovah, il ne verra point quand vient L'ECHAUFFEMENT. » — Jérémie 17:7-8.

— « Tu es devenu un rempart pour l'indigent contre l'averse, une ombre contre RECHAUFFEMENT l'ECHAUFFEMENT par l'ombre d'une nuée il réprimera. » — Ésaïe 25:4-5.

— « Quand ils seront ECHAUFFES, je les enivrerai afin qu’ils s’endorment du sommeil séculaire. » — Jérémie 51:39, 57.

— « Tous sont échauffés comme le four ; personne ne crie parmi eux vers Moi. » — Hosée 7:7.

— « Il ne regarde point le chemin des vignes ; la sécheresse et la CHALEUR enlèveront les eaux de neige. » — Job 24:18-19.

— « Le quatrième Ange versa sa fiole sur le soleil, et il lui fut donné d'affliger de CHALEUR les hommes par le feu ; et ils blasphémèrent le Nom de Dieu. » Apocalypse 16:8-9.

— « Pour dire aux enchaînés : Sortez ; ils n'auront point faim et ils n'auront point soif, et ne les frappera point la CHALEUR. » — Ésaïe 49:9-10.

  
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Arcanes Célestes # 3542

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3542. Et sur le Lisse de son cou, signifie afin que le vrai disjoignant ne se montrât point : on le voit par l'expression du lisse ou de lisse, en ce que cela concerne le vrai, numéro 3527 ; et par la signification du cou, en ce que c'est ce qui conjoint, ainsi qu'il va être expliqué ; ici donc, comme c'était une apparence sur le lisse de son cou, c'était afin que le vrai disjoignant ne se montrât point. D'après ce qui a été dit et exposé ci-dessus, numéro 3539, on peut voir comment ces choses se passent, c'est-à-dire que ce bien et ces vrais, qui découlent de l'entendement et non en même temps de la volonté, ne sont ni un bien ni des vrais, de quelque manière qu'ils le paraissent dans la forme externe ; et s'il y a volonté du mal, le bien et les vrais disjoignent et ne conjoignent point ; si, au contraire, il y a quelque volonté du bien, alors ils ne disjoignent point mais conjoignent, quoiqu'ils aient été disposés dans un ordre inverse, car par eux l'homme est régénéré ; et parce qu'ainsi disposés ils servent d'abord à régénérer l'homme, il est dit qu'ainsi le vrai disjoignant ne se montrerait point ; mais dans la suite il sera donné sur ce sujet de plus grandes explications. Si le Cou signifie ce qui conjoint, c'est parce que chez l'homme les supérieurs qui appartiennent à la tête elles inférieurs qui appartiennent au corps communiquent entre eux par le cou qui les sépare : de là vient que non-seulement l'influx, mais aussi la communication, et par conséquent la conjonction, sont signifiés par cet intermédiaire ; on pourra le voir encore plus clairement par les Correspondances du Très-Grand Homme avec ce qui appartient au corps humain, correspondances dont il sera parlé à la fin du Chapitre ; c'est de là que par le Cou pareille chose est signifiée dans la Parole ; par exemple, dans Ésaïe :

« Son esprit (est) comme un torrent qui déborde, jusqu'au Cou il partagera en deux. » - Ésaïe 30:28.

Là, le torrent qui déborde, c'est le faux qui déborde ainsi ; partager en deux jusqu'au cou, c'est fermer et intercepter la communication et par suite la conjonction des supérieurs avec les inférieurs ; elles sont fermées et interceptées quand le bien et les vrais spirituels ne sont pas reçus.

Dans Habacuc :

« Tu as frappé la tête de la maison de l'impie, en découvrant le fondement jusqu'au cou. » - Habacuc 3:13.

Frapper la tête de la maison de l'impie, c'est détruire les principes du faux ; en découvrant le fondement jusqu'au cou, c'est en interceptant ainsi la conjonction.

Dans Jérémie :

« Les prévarications enlacées, ont monté sur mon Cou, il a abattu mes forces, Dieu m'a livré en des mains, (d'où) je ne puis me relever. » - Lamentations 1:14.

Les prévarications enlacées ont monté sur mon cou, ce sont les faux vers les intérieurs ou les rationnels. Comme le Cou signifiait cette communication et cette conjonction, c'est pour cela que les liens du cou ont signifié l'interception, par conséquent la désolation du vrai, laquelle existe quand les spirituels, qui influent continuellement du Seigneur, ne sont plus admis dans le rationnel de l'homme, ni par conséquent dans son naturel ; c'est cette interception ou désolation qui est représentée dans Jérémie, en ce qu'il devait se faire des liens et des jougs, et les mettre sur son Cou, elles envoyer aux peuples et dire qu'ils serviraient Nébuchadnézar, roi de Babel, et que ceux qui ne soumettraient pas leur Cou à son joug seraient visités par l'épée, la famine et la peste ; mais que ceux qui soumettraient leur cou seraient laissés sur la terre. » - Jérem. , , .

Soumettre son cou au joug du roi de Babel et le servir, c'est être désolé quant au vrai et dévasté quant au bien ; que ce soit Habel qui dévaste, on le voit. Numéro 1327 (fin). ; et qu'on soit, dévasté, afin que les choses saintes ne soient pas profanées, on le voit, numéros 301, 302, 303, 1327, 1328, 2426, 3398, 3399, 3402 ; et comme par l'interception de l'influx du bien et du vrai on devient esclave du mal et du faux, c'est aussi pour cela que soumettre son cou au joug, c'est servir.

Dans le Même :

« Ainsi a dit Jéhovah : Je briserai le joug de Nébuchadnézar, roi de Babel, dans l'espace de deux ans de jours, de dessus le cou de toutes les nations. » - .

C’est-à-dire, qu'ils seraient délivrés de la vastation.

Dans Ésaïe :

« Dégage-toi de la poussière, lève-toi, assieds-toi, Jérusalem ; délie les liens de ton cou, captive fille de Sion. » - Ésaïe 52:2.

Délier les liens du cou, c'est admettre et recevoir le bien et le vrai.

Dans Michée :

« Voici, je pense contre cette famille un mal, dont vous ne retirerez pas vos cous, et vous n'irez pas droits, car un temps de mal (sera) celui-là. » - Michée 2:3.

Ne pas retirer son cou du mal, c'est ne pas admettre le vrai ; ne pas aller droit, c'est par conséquent ne pas regarder vers les supérieurs ou vers les choses qui appartiennent au ciel, numéro 248.

  
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