Bible

 

Jérémie 51:36

Studie

       

36 C'est pourquoi ainsi a dit l'Eternel : voici, je m'en vais plaider ta cause, et je ferai la vengeance pour toi; je dessécherai sa mer, et je ferai tarir sa source.

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Arcanes Célestes # 9807

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9807. Et ses fils, signifie le Divin Vrai procédant du Divin Bien : on le voit par la signification des fils, en ce qu'ils sont les vrais, numéros 489, 491, 533, 1147, 2623, 2803, 2813, 3373, 3704, ici le Divin Vrai procédant du Divin Bien du Seigneur, parce qu'ils étaient les fils d'Aharon, et qu'Aharon, comme Grand-Prêtre, représentait le Seigneur quant au Divin Bien, ainsi qu'il vient d'être montré ci-dessus. Si les fils sont les vrais, c'est parce que, dans le sens interne delà parole, toutes choses sont spirituelles ; et les fils dans le sens spirituel sont ceux qui naissent de nouveau du Seigneur, ainsi ceux qui sont dans les vrais d'après le bien ; conséquemment, en faisant abstraction des personnes, les vrais eux-mêmes qui procèdent du bien : ce sont donc ces vrais qui sont entendus dans la Parole par les fils de Dieu, les fils du roi et les fils du royaume ; ils sont aussi des fils de la nouvelle naissance ou de la régénération : les vrais et les biens chez l'homme régénéré, ou né de nouveau du Seigneur, sont absolument entre eux comme des familles issues, en vaste et longue série, d'un même père ; il y en a qui y répondent aux fils et aux filles ; d'autres. aux petits-fils et aux petites-filles ; d'autres, aux gendres et aux brus, et ainsi à des affinités de plusieurs degrés, et par conséquent de plusieurs genres : ce sont les vrais et les biens ainsi disposés qui, dans le sens spirituel, sont des fils, des filles, des petits-fils, des petites-filles, des gendres, des brus, en un mot, des alliés de différents degrés et par conséquent de différents genres : que les générations spirituelles soient dans un tel ordre, c'est ce qui m'a été montré par une vive expérience, et il m'a été dit en même temps que les vrais et les biens chez l'homme régénéré sont dans un ordre semblable, parce que les Sociétés Angéliques dans le ciel sont dans cet ordre, et que les vrais et les biens chez l'homme correspondent à ces sociétés ; c'est même pour cela que l'homme, dont les vrais et les biens sont dans une pareille correspondance, est le ciel dans une très-petite forme. Celui qui sait que par les fils sont signifiés les vrais et par les filles les biens, peut voir dans la Parole, surtout dans la Parole prophétique, un grand nombre d'arcanes, qui autrement resteraient profondément cachés ; comme il peut voir aussi ce qui est spécialement entendu par le Fils de l'Homme, nom que le Seigneur se donne souvent dans la Parole ; que ce soit le Divin Vrai procédant du Divin Humain du Seigneur, qui est entendu par cette expression, on le voit par les passages où elle est employée, passages qui vont être rapportés, afin qu'en même temps il soit confirmé que le Fils est le Vrai ; ainsi dans Jean :

« La foule dit à Jésus : Comment, Toi, dis-tu qu'il faut que le Fils de l'homme soit élevé ? Qui est ce Fils de l'homme ? Jésus leur répondit : Pour encore un peu de temps la Lumière est avec vous, marchez pendant que la Lumière vous avez, de peur que les ténèbres ne vous surprennent ; pendant que la Lumière vous avez, croyez en la Lumière, afin que fils de Lumière vous soyez. » - Jean 12:34-35, 36.

D’après ces paroles, il est évident que le Fils de l'homme signifie la même chose que la Lumière, car lorsqu'on demandait au Seigneur : Qui est ce Fils de l'homme ? il répondit qu'il était la Lumière en qui ils devaient croire ; or la Lumière est le Divin Vrai, voir les articles cités, N" 9548, 9684 ; le Fils de l'homme est-donc aussi le Divin Vrai.

Dans Luc :

« Heureux vous serez, lorsque vous haïront les hommes à cause du Fils de l'homme. “ - Luc 6:22 ;

-à cause du Fils de l'homme, c'est à cause du Divin Vrai qui procède du Seigneur ; lu Divin Vrai est tout ce qui appartient à la foi et à l'amour envers le Seigneur ; être haï à cause de cette foi et de cet amour, c'est la béatitude.

Dans le Même :

« Les jours viendront que vous désirerez de voir l'un des jours du Fils de l'homme, mais vous ne (le) verrez point ; alors on vous dira : Voici, ici ! ou voici, là ! n'allez point après, et ne recherchez point, “ - Luc 17:22-23 ;

Désirer devoir l'un des jours du Fils de l'homme, c'est l'un des états du Vrai Divin, qui est réel ; dans ce passage, il s'agit de la fin de l'Église, quand il n'y a plus aucune foi, parce qu'il n'y a aucune charité, temps dans lequel tout Vrai Divin réel devait périr ; et comme le Vrai Divin est signifié par le Fils de l'homme, voilà pourquoi il est dit :

« Alors on dira : voici, ici ! ou voici, là ! ne recherchez point ; ce qui peut être dit du Vrai Divin procédant dû Seigneur, mais non du Seigneur Lui-Même.

Dans le Même :

« Quand le Fils de l'homme viendra, est-ce qu'il trouvera la foi sur la terre ? » - Luc 18:8 ;

C'est-à-dire que quand le Vrai Divin sera révélé du ciel, on n'y croira point ; le Fils de l'homme est encore ici le Seigneur quant au Vrai Divin, ou le Vrai Divin procédant du Seigneur ; l'avènement du Seigneur est la révélation du Vrai Divin à la fin de l'Église.

Dans Matthieu :

« De même que l'éclair sort de l'orient et brille jusqu'à l'occident, de même sera l'avènement du Fils de l'homme : alors apparaîtra le signe du Fils de l'homme dans le ciel, et alors gémiront toutes les Tribus de la terre, et elles verront le Fils de l'homme venant dans les nuées du ciel avec puissance et gloire. » - Matthieu 24:27, 30 ;

L'avènement du Fils de l'homme, c'est la révélation du Vrai Divin dans la consommation du siècle, c'est-à-dire, à la fin de l'Église ; toutes les tribus de la terre qui alors gémiront sont tous les vrais et tous les biens de la foi et de l'amour procédant du Seigneur, et ainsi envers le Seigneur, dans le complexe ; la nuée du ciel, dans laquelle il doit venir, est le sens littéral de la Parole ; la puissance et la gloire, c'est le sens interne, dans lequel intimement il s'agit du Seigneur Seul ; voir en outre l'explication de ces paroles, numéro 4060. Pareillement ailleurs dans le Même :

« Je vous dis que désormais vous verrez le Fils de l'homme assis à droite de la puissance, et venant clans les nuées du ciel. » - Matthieu 26:64 :

Et dans Luc :

« Désormais le Fils de l'homme sera assis à droite-dé la puissance de Dieu. “ - Luc 22:69 ;

Le Fils de l'homme, c'est le Divin Vrai procédant du Seigneur ; être assis à droite de la puissance, c'est que la toute-puissance Lui appartient, car la toute-puissance est au Divin Bien par le Divin Vrai ; s'il est dit que désormais ils le verront, cela signifie que le Divin Vrai était dans sa toute-puissance, dès l'instant que le Seigneur dans le monde avait vaincu les enfers, et avait remis toutes choses en ordre dans les enfers et dans les cieux ; et qu'ainsi ceux qui Le recevraient par la foi et par l'amour pourraient être sauvés, voir numéro 9715 ; on peut voir aussi qu'être assis à droite, c'est la Toute-Puissance, numéros 3387, 4592, 4933 (fin), 7518, 8281, 9133 ; que toute la puissance du bien est par le vrai, numéros 6344, 6423, 8304, 9327, 9410, 9639, 9643 ; que la puissance Divine elle-même est le Divin Vrai, numéros 6948 ; que les nuées dans lesquelles doit venir le Fils de l'homme, c'est-à-dire, le Divin Vrai sont la Parole dans la lettre, Préface du Chapitre 18 de la Genèse et numéros 4060, 4391, 5922, 6343, 6752, 8443, 8781 ; et que la gloire est le Divin Vrai lui-même, tel qu'il est dans le sens interne de la Parole, Préface du Chapitre 18 de la Genèse et numéros 4809, 5922, 8267, 9429. Maintenant, d'après cela, on peut voir ce qui est signifié par ces paroles dans Apocalypse :

« Je vis, et voici une nuée blanche, et sur la nuée quelqu'un assis semblable à un Fils d'homme, ayant sur sa tête une couronne d'or. » - Apocalypse 14:14 :

Et dans Daniel :

« Voyant je fus en visions de nuit, et voici avec les nuées des cieux comme un Fils d'Homme qui venait. “ - Daniel 7:13.

Dans Jean : a Le Père Lui a donné pouvoir aussi de faire jugement, parce que Fils d'homme il est. » - Jean 5:27 ;

Comme tout jugement se fait d'après le vrai, voilà pourquoi il est dit qu'il a été donné au Seigneur de faire jugement parce que Fils d'homme il est ; le Fils de l'homme, ainsi qu'il a été dit, est le Divin Vrai ; le Père de qui ce vrai procède est le Divin Bien, numéros 2803, 3704, 7499, 8328, 8897 ; comme c'est au Divin Vrai de faire jugement, il est dit en conséquence que, quand le Fils de l'homme viendra, il sera assis sur le trône de sa gloire, » - -et que le Fils de l'homme rendra à chacun selon ses œuvres. » - Matthieu 16:27 Dans Matthieu :

« Celui qui sème la bonne semence est te Fils de l'homme ; le champ, c'est le monde ; la semence, ce sont les fils du royaume ; l'ivraie, ce sont les fils du méchant. » - Matthieu 13:37-38 ;

La bonne semence est le vrai Divin ; c'est pour cela qu'il est dit que le Fils de l'homme la sème ; les fils du Royaume sont les vrais Divins dans le Ciel et dans l'Eglise, car le fils est le vrai, numéros 489, 491, 533, 1147, 2623, et dans le sens opposé le faux, qui est aussi le fils du méchant ; le royaume est le ciel, et aussi l'Église.

Dans Jean :

« Personne n'est monté dans le ciel, sinon celui qui du ciel est descendu, le Fils de l'homme qui est dans les deux. » - Jean 3:13.

De là il est évident que le Fils de l'homme est le Divin Vrai dans les cieux ; en effet, ce vrai descend et ainsi monte, car personne ne peut monter dans le ciel, à moins que le Divin Vrai ne soit descendu du ciel en lui, car l'influx est Divin, mais non autrement ; c'est parce que le Seigneur est ce vrai, qu'il se nomme le Fils de l'homme qui est dans les cieux.

Dans Matthieu :

« Le Fils de l'homme n'a pas où appuyer la Tête. » - Matthieu 8:20 ;

Le Fils de l'homme, c'est le Divin Vrai ; ne pas avoir où appuyer la tête, c'est-à-dire, n'avoir un lieu nulle part ou chez aucun homme dans ce temps Le Fils de l'homme devait souffrir, et être mis à mort, » - Matthieu 17:12, 22, , 24, . , 31, et ailleurs, - cela enveloppe qu'on en agissait ainsi envers le Divin Vrai, par conséquent envers le Seigneur, qui était le Divin Vrai même, ainsi qu'il le dit aussi Lui-Même dans Jean :

« Moi, je suis le chemin, et la Vérité, et la Vie. » - Jean 14:6.

Dans Jérémie :

« Et il n'y habitera point d'homme, et n'y demeurera point le Fils de l'homme. “ - Jérémie 49:18, 33 ;

Et dans le Même :

« Dans ses villes n'habitera aucun homme, et ne passera point par elles le Fils de l'homme. » - Jérémie 51:43.

Celui qui ne connaît point le sens spirituel de la Parole croira qu'ici par les villes sont entendues des villes, et par l'homme et le fils de l'homme, un homme et un fils, et que les villes seront tellement désolées, qu'il n'y restera pas un habitant ; mais c'est l'état de l'Église, quant à la doctrine du vrai, qui est décrit par ces paroles ; car les villes sont les doctrinaux de l'Église, voir numéros 402, 2449, 3216, 4492, 4493 ; l'homme est le vrai même de l'Église conjoint au bien, numéros 3134, 7716, 9007 ; ainsi le fils de l'homme est le Vrai. Comme le Fils de l'homme signifiait le Divin Vrai procédant du 'Seigneur, c'est pour cela que les Prophètes aussi, par qui ce vrai était révélé, étaient nommés Fils de l'homme, par exemple, Daniel 8:17 ; et Ézéchiel, IL 1, 3, 6, 8. Daniel 3:1, 3, 4, 10, 17, 25, 4:1, 16, 8:5, 6, 8, 12, 15. Daniel 12:2, 3, 9, ,et plusieurs fois ailleurs. Comme la plupart des expressions dans la Parole ont aussi le sens opposé, de même aussi la signification du fils de l'homme, qui dans ce sens est le faux opposé au vrai ; par exemple, dans Ésaïe :

« Qu'as-tu que tu aies peur de l'homme, il meurt ; et d'un fils d'homme, du foin lui est donné. » - .

Le foin donné à un fils d'homme, c'est le scientifique par lequel est le faux.

Dans David :

« Ne vous assurez point sur les princes, sur un fils d'homme, en qu'il n'y a point de salut. » - Psaumes 146:3.

Les princes sont les principaux vrais, numéros 2089, 5044, ainsi dans le sens opposé les principaux faux ; et un fils d'homme est le faux lui-même.

  
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Arcanes Célestes # 1820

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1820. Par quoi connaîtrai-je que je l'hériterai, signifie une tentation contre l'Amour du Seigneur, qui voulut avoir une certitude. On peut en trouver la preuve dans le doute que manifestent les paroles mêmes. Celui qui est en tentation est dans le doute sur la fin ; la fin est l'amour contre lequel combattent les mauvais esprits et les mauvais génies, qui mettent ainsi la fin dans le doute, et d'autant plus dans le doute, que celui qui est tenté aime davantage ; si la fin qui est aimée n'était pas placée dans le doute, même dans le désespoir, il n'y aurait aucune tentation ; la certitude de l'événement précède la victoire et appartient à la victoire. Comme très-peu de personnes savent comment se font les tentations, il m'est permis de l'exposer ici en peu de mots : Les mauvais esprits ne combattent jamais que contre les choses que l'homme aime ; et ils combattent avec d'autant plus d'acharnement, qu'il aime avec plus d'ardeur ; ce sont les mauvais Génies qui combattent contre les choses qui appartiennent à l'affection du bien, et ce sont les mauvais Esprits qui combattent contre celles qui appartiennent à l'affection du vrai ; aussitôt et pour peu qu'ils remarquent, ce que l'homme aime, ou qu'ils aperçoivent, comme par l'odorat, ce qui lui est agréable et cher, à l'instant c'est cela qu'ils attaquent, et ils s'efforcent de le détruire, par conséquent de détruire tout l'homme, puisque sa vie consiste dans les amours ; ainsi, il n'y a rien pour eux de plus agréable que de détruire tout l'homme ; et ils ne se désistent pas de leurs efforts, dureraient-ils une éternité, à moins qu'ils ne soient repoussés par le Seigneur. Ceux qui sont remplis de malignité et de fourberie s'insinuent dans les amours mêmes en les flattant, et s'introduisent ainsi dans l'homme ; et si tel qu'ils s'y sont ainsi introduits, ils tentent de détruire les amours, et par conséquent de tuer l'homme, et cela par mille moyens qui sont incompréhensibles ; et ils n'emploient point en combattant ce moyen qui consiste à argumenter contre les biens et les vrais ; de tels combats sont comme rien pour eux, car seraient-ils mille fois vaincus, ils persistent toujours, attendu que les arguments contre les biens et les vrais ne peuvent jamais manquer ; mais ils pervertissent les biens et les vrais et les enflamment d'un certain feu de cupidité et de persuasion, de sorte que l'homme ne sait autre chose sinon qu'il est dans une semblable cupidité et dans une semblable persuasion ; et en même temps ils embrasent ces biens et ces vrais d'un plaisir qu'ils tirent du plaisir de l'homme pour un autre objet, et c'est ainsi qu'ils corrompent et infestent avec la plus grande perfidie, et cela avec tant d'adresse, en transportant le plaisir d'un objet un autre objet, que, si le Seigneur ne portait secours, jamais l'homme ne saurait autre chose, sinon qu'il en est ainsi. Ils agissent de même contre les affections du vrai, qui constituent la conscience ; sitôt qu'ils découvrent quelque chose qui appartient à la conscience, de quelque nature que ce soit, ils se forment à eux-mêmes une affection au moyen des faux et des faiblesses qui sont chez l'homme ; et par cette affection, ils obscurcissent la lumière du vrai, et ainsi le pervertissent ; ou bien ils introduisent l'anxiété et ils tourmentent ; outre cela, ils tiennent opiniâtrement la pensée sur une seule chose et la remplissent ainsi de fantaisies, et en même temps ils enveloppent clandestinement de fantaisies les cupidités ; ils ont encore d'autres artifices qui sont innombrables, et qu'il est impossible de décrire de manière à être compris ; il n'y a que peu de choses, et seulement les plus communes, qui puissent parvenir à la conscience de l'homme, ce sont ces choses-là qu'ils se plaisent surtout à détruire de préférence à d'autres. Par cette courte et même très-courte explication, l'on peut voir quelles sont les Tentations, et qu'en général tels sont les amours, telles sont les tentations ; de là on peut voir encore quelles ont été les Tentations du Seigneur, en ce qu'elles furent les plus atroces de toutes les tentations, car autant est grand l'amour, autant est grande l'atrocité de la tentation ; l'amour du Seigneur étant le salut de tout le genre humain, fut le plus ardent de tous les amours, il renfermait par conséquent au suprême degré toute affection du bien et toute affection du vrai : tous les enfers ont combattu ces affections par leurs fourberies les plus malignes et par tous leurs poisons ; mais néanmoins le Seigneur les a tous vaincus par sa propre puissance ; les victoires ont cela de propre, c'est que les Génies et les esprits mauvais après avoir été vaincus n'osent plus rien entreprendre, car leur vie consiste en ce qu'ils puissent détruire ; mais quand ils perçoivent que l'homme est tel qu'il peut résister, ils fuient à la première attaque, ainsi qu'ils ont coutume de faire quand ils s'approchent de la première entrée du Ciel, ils sont aussitôt saisis d'horreur et d'effroi et se précipitent en arrière.

  
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