Bible

 

Jérémie 51:34

Studie

       

34 Nébucadnetsar Roi de Babylone, [dira Jérusalem], m'a dévorée et m'a froissée; il m'a mise dans le même état qu'un vaisseau qui ne sert de rien; il m'a engloutie comme un dragon; il a rempli son ventre de mes délices, il m'a chassée au loin.

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Arcanes Célestes # 6729

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6729. Et la fille de Pharaon descendit, signifie la religiosité là : on le voit par la signification de la fille en ce que c'est l'affection du vrai et du bien, et par suite, l'Église, numéro 2362, 3963 ; et, dans le sens opposé, l'affection du faux et du mal, et par suite, la religiosité d'après le faux et le mal, numéro 3024, ici la religiosité d'après les scientifiques faux, parce que c'est la fille de Pharaon, car Pharaon ici représente le scientifique faux, numéro 6651, 6679, 6683, 6692. Que les filles dans la Parole signifient des Églises, on peut le voir d'après un très-grand nombre de passages, où l'Église est appelée Fille de Sion et Fille de Jérusalem ; et que les filles signifient aussi les religiosités de plusieurs nations, religiosités qui sont fausses, cela est encore évident par les passages où ces religiosités sont appelées filles, par exemple :

Fille de Tyr, Psaumes 45:13 ;

Fille d'Edom, Lamentations 4:22 :

Fille des Chaldéens et de Babel, Ésaïe 47:1, ; Jérémie 50:41, ; ; ; Psaumes 137:8 ;

Fille des Philistins, Ézéchiel 16:27, 57 ;

Fille de Tharschisch, Ésaïe 23:10.

Fille de l'Egypte, dans Jérémie :

« Monte à Giléad, et prends du baume, vierge, fille de l'Egypte. Fais-toi un bagage d'émigration, habitante fille de l'Egypte : elle a été rendue confuse, la fille de l'Egypte, elle a été livrée dans la main du peuple du Septentrion. » Jérémie 46:11, 19, 24 ; la fille de l'Egypte, c'est l'affection de raisonner, d'après les scientifiques, sur les vrais de la foi, si ce sont des vrais ou non, lorsque le négatif règne ; par conséquent, c'est la religiosité qui en résulte, et qui est telle, qu'on ne croit rien que le faux.

  
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Arcanes Célestes # 2868

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2868. Sa concubine, et son nom est Réumah, signifie les gentils qui sont dans un culte idolâtrique et dans le bien : on peut le voir d'après ce qui précède : en effet, en premier lieu sont les gentils qui ont été signifiés par les fils que Nachor eut de son épouse, en second lieu ceux qui le sont par les fils qu'il eut de sa concubine ; les premiers qui étaient nés de l'épouse représentaient, comme il a été montré, ceux qui, hors de l'Église, sont dans la fraternité par le bien. numéro 2863 ; les seconds représentent ceux qui, hors de l'Église, sont dans un culte idolâtrique et dans le bien : ainsi les seconds ne sont pas d'un lit aussi légitime que les premiers, toujours est-il cependant qu'ils sont comme légitimes, car dans ce temps-là les enfants qui naissaient des servantes étaient adoptés comme légitimes, ainsi qu'on peut le voir par les fils de Jacob qui naquirent des servantes Bilhah et Zilpah, - , - et qui furent également des chefs de Tribus comme ceux qui naquirent de Léa et de Rachel, et même sans différence ; mais il y avait néanmoins une différence, comme on peut le voir par la Genèse 33:1-2, 6-7.

Les servantes qui étaient alors données au mari par l'épouse dans le but de procréer des enfants, étaient nommées concubines, comme on le voit par Bilhah, servante de Rachel, qui est aussi nommée concubine de Jacob, - Genèse 35:22. La procréation d'enfants avec des servantes ou concubines avait à cette époque été tolérée, afin que par là fussent représentés ceux qui étaient hors de l'Eglise, et aussi ceux qui étaient dans un degré inférieur au-dedans de l'Eglise. Le nom de Réumah que portait cette concubine renferme sa qualité, numéros 1896, 2009 ; ici, c'est l'élévation qui est signifiée par Réumah : quant à l'état et au sort des nations et des peuples qui sont hors de l'Eglise, voir numéros 593, 932, 1032, 1059, 1327, 1328, 1366, 2049, 2051, 2284, 2589-2604.

  
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