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Jérémie 51:32

Studie

       

32 Et que ses gués sont surpris, et que ses marais sont brûlés au feu, et que les hommes de guerre sont épouvantés.

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L’Apocalypse Révélée # 717

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717. Chapitre 17.

1. Et vint un des sept Anges qui avaient les sept fioles, et il me parla me disant : Viens, je te montrerai le jugement de la Prostituée grande, qui est assise sur les eaux abondantes.

2. Avec laquelle ont commis scortation les Rois de la terre et se sont enivrés du vin de sa scortation les habitants de la terre.

3. Et il m'emporta dans 'un désert en esprit et je vis une Femme assise sur une Bête écarlate, pleine de noms de blasphème ayant sept têtes, et dix cornes.

4. Et la Femme était revêtue de pourpre et d'écarlate et parée d'or et de pierres précieuses et de perles ayant en sa main une coupe d'or pleine d'abominations et d'impureté de sa scortation.

5. Et, sur son front, un Nom écrit : Mystère ; Babylone la grande, la mère des scortations et des abominations de ta terre.

6. Et je vis la Femme ivre du sang des saints, et du sang des témoins de Jésus et je fus étonné, en la voyant, d'un étonnement grand.

7. Et l'Ange me dit : Pourquoi t'étonnes-tu ? Moi, je te dirai le mystère de la Femme et de la Bête qui la porte, ayant les sept tôles et les dix cornes.

8. La Bête, que lu as vue, était et n'est pas et elle doit monter de l'abîme, et à perdition s'en aller et s'étonneront ceux qui habitent sur la terre, desquels n'ont point été écrits les noms dans le Livre de vie dès la fondation du monde, en voyant la Bête qui était et n'est pas, et cependant elle est.

9. Ici l'entendement, à qui a de la sagesse.

10. Et sept Dois ce sont cinq sont lombes, et l'un est, et l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, peu de temps il faut qu'il demeure.

11. Et la Bête, qui était et n'est pas, elle-même huitième elle est ; et des sept elle est, et à perdition clic s'en va.

12. Et les dix cornes, que tu as vues, dix Rois ce sont, qui Royauté n'ont pas encore reçu mais pouvoir comme Rois une seule heure ils reçoivent avec la Bête.

13. Ceux-ci, même sentiment ils ont, et leur puissance et leur pouvoir à la Bête ils donneront ceux—ci contrel 'Agneaucontbattront, mais l'A gneau les vaincra, parce que Seigneur des seigneurs il est, et Roi des rois et ceux avec Lui, des appelés, des élus et des fidèles (ils sont).

15. Et il me dit : lœs eaux, que tu as vues, où la Prostituée est assise, peuples et foules ce sont, et nations et langues.

16. Et les dix Cornes que tu as vues sur la Bête, ceux-ci haïront la Prostituée et désolée ils la rendront, et mie et ses chairs ils mangeront, et ils la brûleront au feu.

17. Car Dieu a mis dans leurs cœurs d'exécuter sa sentence, et d'exécuter une même sentence, et de donner leur Royaume à la Bête jusqu'à ce que soient consommées les paroles de Dieu.

18. Et la Femme, que tu as vue, est la Ville grande ayant royauté sur les rois de la terre.

« Dans ce qui précède, depuis le Chapitre 7 jusqu'au Chapitre 16 inclusivement, il a été traité des Réformés ; maintenant, dans ce Chapitre et dans le suivant, il s'agit des Pontificaux, parmi lesquels ceux qui se sont arrogé le pouvoir n d'ouvrir et de fermer le Ciel sont entendus par la Babylonie ; ici donc il sera d'abord dit ce qui est spécialement entendu par la Babylonie. Par la Babylonie, ou par Babel, il est entendu l'Amour de dominer sur les choses saintes de l'Église d'après l'amour de soi ; et comme cet amour monte tant que la bride lui est lâchée, et que les choses saintes de l'Église sont aussi les choses saintes du Ciel, c'est pour cela que par la Babylonie ou Babel, il est signifié aussi la Domination sur le Ciel. Et comme cet Amour agit ainsi comme le Diable qui a des désirs semblables, il ne peut que profaner les choses saintes, en adultérant les biens et les vrais de la Parole ; c'est pourquoi, par laBabylonie, ou Babel, il est signifié aussi la Profanation de ce qui est saint, et l'adultération du bien et du vrai de la Parole : ce sont là les choses qui sont signifiées par Babylone ici dans l'Apocalypse, et par Babel - dans la Parole prophétique et historique, dans les passages suivants : Sur Babel : Voici, le jour de Jéhovah vient, cruel. Les étoiles des deux et leurs astres ne brilleront point de leur lumière ; obscurci sera le Soleil à son lever, et la Lune ne fera point resplendir sa lueur. Je ferai cesser l'arrogance des orgueilleux, et le faste des violents j'humilierai. Babel, ornement des royaumes, sera comme ta subversion de Dieu, Sodome et Gomorrhe ; là couclieront les jiim, et remplies seront leurs maisons d'ochim, et là habiteront les filles de la chouette, et les satyres y danseront ; les jiim répondront dans ses palais, et les dragons dans ses palais de délices. — Ésaïe 13:1, 9-10, 11, 14, 19, 21-22 ; — outre plusieurs autres choses dans tout ce Chapitre.

  
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Arcanes Célestes # 3494

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3494. Et il appela Esaü son fils aîné, signifie l'affection du bien du naturel ou le bien de la vie : on le voit par la représentation d'Esaü, en ce qu'il est le Divin bien du Naturel, numéros 3300, 3302, 3322 ; et comme c'est le bien du naturel qui se manifeste dans l'affection et dans la vie, c'est par conséquent l'affection du bien du naturel ou le bien de la vie, qui est représenté ici par Esaü. L'affection du bien dans le Naturel, et par suite le bien de la vie, est ce qui est appelé le fils aîné ; mais l'affection du vrai, et par suite la doctrine du vrai, est ce qui appelé le fils cadet. Que l'affection du bien, et par suite le bien de la vie, soit le fils aîné, c'est-à-dire, le premier-né, on le voit d'une manière manifeste en ce que les petits enfants, avant toutes choses sont dans le bien, car ils sont dans l'état de l'innocence, dans l'état de l'amour envers leurs parents et leur nourrice, et dans l'état de la charité mutuelle envers les petits enfants leurs camarades, de sorte que pour chaque homme le bien est le premier-né ; ce bien, dans lequel l'homme a été ainsi initié étant enfant, reste ; car tout ce qui est imbu dès l'enfance se revêt de la vie, et comme ce bien reste, il devient le bien de la vie : en effet, si l'homme était sans un tel bien qu'il a emporté de l'enfance avec lui, il ne serait pas homme, mais il serait plus féroce qu'une bête des bois : à la vérité, il ne semble pas que ce bien soit présent, parce que tout ce dont on est imbu dans l'âge de l'enfance, ne paraît pas autrement que comme naturel, ainsi qu'on le voit assez clairement par la marche, par les autres mouvements du corps, par les mœurs et les bienséances de la vie civile, enfin par le langage et par plusieurs autres choses ; par là il devient évident que le bien est le fils aîné, c'est-à-dire le premier-né, et que par suite le Vrai est le fils cadet, ou le puîné, car le vrai n'est appris que dans l'âge de la seconde enfance, de l'adolescence et dans l'âge adulte. L'un et l'autre, tant le bien que le vrai dans l'homme Naturel et Externe, est un fils, savoir, un fils de l'homme Rationnel ou Interne, car tout ce qui existe dans l'homme Naturel ou Externe influe de l'homme Rationnel ou Interne, et de là aussi existe et naît ; ce qui n'existe ni ne naît de là, n'est pas un humain vivant, ce serait comme si on disait le sensuel corporel sans âme : c'est de là que tant le bien que le vrai sont appelés fils, et même fils du Rationnel ; néanmoins ce n'est pas le Rationnel qui produit et engendre le Naturel, mais c'est l'influx par le Rationnel dans le Naturel, influx qui vient du Seigneur ; de là sont fils du Seigneur tous les Enfants qui naissent ; et ensuite quand ils deviennent sages, autant ils sont aussi en même temps enfants, c'est-à-dire dans l'innocence de l'enfance, dans l'amour de l'enfance pour le père, qui est alors le Seigneur, et dans la charité mutuelle de l'enfance envers les autres petits enfants, qui sont alors le prochain, autant ils sont adoptés pour fils par le Seigneur.

  
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