Bible

 

Jérémie 51:30

Studie

       

30 Les hommes forts de Babylone ont cessé de combattre, ils se sont tenus dans les forteresses, leur force est éteinte, et ils sont devenus [comme] des femmes; on a brûlé ses demeures; et ses barres ont été rompues.

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Arcanes Célestes # 5321

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5321. Et il le fit monter sur le second char, signifie le significatif que de lui vient toute doctrine du bien et du vrai : on le voit par la signification du char, en ce qu'il est la doctrine du bien et du vrai, ainsi qu'il va être expliqué ; d'où il suit que le faire monter sur un char est le significatif que cette doctrine vient de lui : ces paroles se réfèrent à celles qui ont été prononcées précédemment par Pharaon :

« Toi, tu seras sur ma maison, et sur ta bouche te baisera tout mon peuple, seulement par le trône je serai grand plus que toi, » Vers. 40. S'il est signifié que de Lui vient la doctrine du bien et du vrai, c'est parce que par Joseph est représenté le Seigneur quant au Divin spirituel, numéro 3971, 4669, ainsi quant au Divin Vrai procédant du Divin Humain du Seigneur, numéro 4723, 4727, duquel Divin Vrai procède le Céleste du spirituel : que le tout de la doctrine du bien et du vrai vienne de là, c'est parce que le Seigneur est la doctrine elle-même, car le tout de la doctrine procède de Lui, et le tout de la doctrine traite de Lui ; en effet, le tout de la doctrine traite du bien de l'amour et du vrai de la foi ; ce bien et ce vrai procèdent du Seigneur, c'est pourquoi le Seigneur est non-seulement dans l'un et l'autre, mais Il est même l'un et l'autre ; il est donc évident que la doctrine qui traite du bien et du vrai, traite du Seigneur seul, et qu'elle procède de son Divin Humain ; aucune chose de la doctrine ne peut jamais procéder du Divin Même, si ce n'est par le Divin Humain, c'est-à-dire, par la Parole qui, dans le sens suprême, est le Divin Vrai procédant du Divin Humain du Seigneur ; ce qui procède du Divin Même immédiatement ne peut pas même être saisi par les Anges dans le ciel intime, par la raison que cela est infini, et par conséquent surpasse toute conception même angélique ; mais ce qui procède du Divin Humain du Seigneur peut être saisi, parce que cela concerne Dieu comme un Divin Homme, dont on peut se former d'après l'Humain quelque idée, et l'idée qu'on s'est formée de l'Humain est acceptée, quelle qu'elle soit, pourvu qu'elle découle du bien de l'innocence, et qu'elle soit dans le bien de la charité ; voilà ce qui est entendu par les paroles du Seigneur dans Jean :

« Dieu, personne ne le vit jamais ; l'Unique-Engendré Fils, qui est dans le sein du Père, Lui L'a exposé. » Jean 1:18 ; dans le Même ;

« Vous n'avez jamais entendu la voix du Père, ni vu son aspect. » Jean 5:37 ; et dans Matthieu :

« Nul ne connaît le Père que le Fils, et celui à qui le Fils aura voulu le révéler. » Matthieu 11:27. Dans la Parole, il est fait mention de Chars dans un grand nombre de passages, et à peine quelqu'un sait-il que là par eux sont signifiés les doctrinaux du bien et du vrai, et aussi les scientifiques qui appartiennent aux doctrinaux, par la raison que aucun spirituel n'entre dans l'idée, mais seulement le naturel historique, quand est nommé le char, comme aussi quand sont nommés les chevaux qui sont devant le char ; et cependant par les chevaux dans la Parole il est signifié les intellectuels, numéro 2760, 2761, 2762, 3217, et par suite par le char les doctrinaux et les scientifiques des doctrinaux. Que les Chars soient les doctrinaux de l'Église, et aussi les scientifiques, c'est ce dont j'ai pu me convaincre par les chars que j'ai tant de fois vus dans l'autre vie ; il y a aussi un lieu à droite, près de la terre inférieure, où apparaissent des chars et des chevaux avec des écuries disposées en ordre ; là se promènent et s'entretiennent ensemble ceux qui ont été érudits dans le monde, et qui ont eu pour fin d'érudition la vie ; ces apparitions leur viennent des Anges des cieux supérieurs ; quand ceux-ci parlent des intellectuels, des doctrinaux et des scientifiques, de tels objets apparaissent alors aux esprits qui sont dans ce lieu. Que les chars et les chevaux aient de telles significations, on le voit très-clairement en ce qu'Elie apparut emporté dans le ciel par un char de feu et des chevaux de feu, et en ce que lui et Elisée ont été appelés Char d'Israël et ses cavaliers ; il en est ainsi parlé dans le Second Livre des Rois :

« Voici, un Char de feu et des chevaux de feu intervinrent entre eux, et Elie monta dans le tourbillon au ciel ; et Elischa (le) voyait et criait : Mon père ! mon père ! Char d'Israël et ses Cavaliers. » 2 Rois 2:11-12 ;

Et il est dit d'Elisée dans le même Livre :

« Lorsqu'Elischa était malade de la maladie dont il mourut, vers lui descendit Joasch, roi d'Israël, et il pleura devant ses faces, et il dit : Mon père ! mon père ! Char d'Israël et ses Cavaliers, » 2 Rois 13:14 ; la raison pour laquelle ils ont été appelés ainsi, c'est que l'un et l'autre, tant Élie qu'Elisée, ont représenté le Seigneur quant à la Parole, voir Préface Chapitre 18 à Genèse ; et numéro 2762, 5247 (fin). ; la Parole elle-même principalement est la doctrine du bien et du vrai, car le tout de la doctrine en provient ; c'était encore d'après la même raison que le serviteur, dont Jéhovah ouvrit les yeux, vit autour d'Elisée, la montagne pleine de chevaux et de chars de feu, » 2 Rois . Que le Char soit le doctrinal, et le Cheval l'intellectuel, on le voit aussi par d'autres passages dans la Parole, comme dans Ézéchiel :

« Vous serez rassasiés, sur ma table, de cheval et de char, de fort et de tout homme de guerre ; ainsi je donnerai ma gloire aux nations. » Apocalypse 19:18.

Là, il s'agit de l'avènement du Seigneur ; que là par cheval et char il ne soit signifié ni cheval ni char, cela est évident pour chacun, car sur la table du Seigneur on se rassasiera non de ces choses, mais de celles qui sont signifiées par le cheval et le char, à savoir, d'intellectuels et de doctrinaux du bien et du vrai. Des choses semblables sont signifiées par les chevaux et par les chars dans les passages suivants ; dans David :

« Les chars de Dieu sont par doubles myriades, milliers d'anges de paix, le Seigneur en eux, Sinaï dans le sanctuaire. » Psaumes 68:18.

Dans le Même :

« Jéhovah s'enveloppe de lumière comme d'un vêtement, il étend les cieux comme une courtine, lambrissant avec les eaux ses chambres hautes ; il fait des nuées ses chars, il marche sur les ailes du vent. » Psaumes 104:2-3.

Dans Ésaïe :

« Prophétique du désert de la mer : Ainsi m'a dit le Seigneur : Pose la sentinelle ; ce qu'elle verra, qu'elle l'annonce ; elle vit donc , char, paire de cavaliers, char à âne, char à chameau, et elle écouta avec attention, grande attention ; car s'écria un lion : Sur le guet, Seigneur, moi je me tiens continuellement de jour, et sur mes gardes, moi, je suis aposté toutes les nuits ; or, voici, char d'homme, paire de cavaliers ; et il dit : Elle est tombée, elle est tombée, Babel ! » Ésaïe 21:1, 6-7, 8-9.

Dans le Même :

« Alors ils amèneront tous vos frères d'entre toutes les nations, en présent à Jéhovah, sur les chevaux, et sur le char, et sur les voitures couvertes, et sur les mulets, et sur les dromadaires, à la montagne de ma sainteté, à Jérusalem. » Ésaïe 66:20.

Dans le Même :

« Voici, Jéhovah dans le feu viendra, et comme la tempête (seront) ses chars. » Ésaïe 66:15.

Dans Habacuc :

« Est-ce contre les fleuves que s'est courroucé Jéhovah ? est-ce contre les fleuves (qu'est) ta colère ? est-ce contre la mer (qu'est) ton emportement, que tu montes sur tes chevaux ? tes chars (sont) le salue. » Habacuc 3:8.

Dans Zacharie :

« Je levai mes yeux, et je vis, et voici, quatre chars sortant d'entre deux des montagnes, et ces montagnes, montagnes d'airain ; au premier char des chevaux roux, au second char des chevaux noirs, au troisième char des chevaux blancs, et au quatrième char des chevaux tachetés. » Zacharie 6:1, 2, 3.

Et dans Jérémie :

« Ils entreront par les portes de cette cité, rois et princes, siégeant sur le trône de David, montant sur le char et sur les chevaux, eux et leurs princes, l'homme de Jehudah et les habitants de Jérusalem, et sera habitée cette cité pour l'éternité, » ; la cité qui sera habitée pour l'éternité, ce n'est point Jérusalem, mais c'est l'Église du Seigneur qui est signifiée par Jérusalem, numéro 402, 2117, 3654 : les rois qui entreront par les portes de cette cité, ce ne sont point des rois, mais ce sont les vrais de l'Église, numéro 1672, 1728, 2015, 2069, 3009, 3670, 4575, 4581, 4966, 5044, 5068 ; ainsi, les princes ne sont pas non plus des princes, mais ce sont les choses principales du vrai, numéro 1482, 2089, 5044 ; ceux qui siègent sur le trône de David sont les Divins Vrais qui procèdent du Seigneur, numéro 5313 ; ceux qui montent sur le char et sur les chevaux sont les intellectuels et les doctrinaux qui proviennent de ces vrais, Les chars sont aussi très-souvent mentionnés dans les historiques de la Parole, et parce que tous les historiques de la Parole représentent et que tous les mots signifient des choses qui sont dans le Royaume du Seigneur et dans l'Église, là aussi les chars signifient des choses semblables. Comme, dans la Parole, la plupart des expressions ont aussi le sens opposé, de même encore les chars, et dans ce sens ils signifient les doctrinaux du mal et du faux, puis les scientifiques qui les confirment ; comme dans ces passages.

Dans Ésaïe :

« Malheur à ceux qui descendent en Egypte pour du secours, et sur le cheval ils s'appuient, et ils se confient sur le char parce qu'il y en a beaucoup, et sur les cavaliers parce qu'il sont très-forts, mais ils ne regardent point au saint d'Israël. » Ésaïe 31:1.

Dans le Même :

« Par la main de tes serviteurs tu as blasphémé le Seigneur, et tu as dit : Par la multitude de mon char, moi, j'ai monté sur la hauteur des montagnes, sur les côtés du Liban, où je retrancherai la grandeur de ses cèdres, l'élite de ses sapins. » Ésaïe 37:24, c'est une réponse prophétique aux paroles orgueilleuses de Rabschaké, général du roi d'Aschur.

Dans Jérémie :

« Voici des eaux, montant du septentrion, qui deviendront en torrent inondant ; et elles inonderont la terre et sa plénitude, la ville et ceux qui y habitent ; et tout habitant de la terre hurlera, à cause du bruit du battement des sabots de ses forts chevaux, à cause du tumulte de son char, du fracas de ses roues. » Jérémie 47:2-3.

Dans Ézéchiel :

« A cause de la multitude de ses chevaux leur poussière te couvrira, à cause de la voix de cavalier et de roue et de char les murailles seront ébranlées, quand il viendra dans tes portes, comme on entre dans une ville forcée ; sous les sabots de ses chevaux il foulera toutes les rues. » Ézéchiel 26:10-11.

Dans Haggée :

« Je renverserai le trône des royaumes, et je détruirai la force des royaumes des nations, je renverserai même le char et ceux qui le montent, et les chevaux et leurs cavaliers descendront. » .

Dans Zacharie :

« Je retrancherai le char d'Éphraïm et le cheval de Jérusalem, je retrancherai l'arc de guerre ; au contraire, il parlera de paix aux nations. » Zacharie 9:10.

Dans Jérémie :

« L'Egypte, comme le fleuve, monte ; et comme les fleuves sont agitées ses eaux ; car elle a dit : Je monterai, je couvrirai la terre, je détruirai la ville et ceux qui y habitent ; montez, chevaux, entrez en fureur, chariots. » Jérémie 46:8-9. Par les chevaux et les chars avec lesquels les Égyptiens poursuivirent les fils d'Israël, et avec lesquels Pharaon entra dans la mer de Suph, où les roues des chars furent déplacées, et par plusieurs choses qui concernent les chevaux et les chars, et qui font la plus grande partie de cette description, Exode 14 : Vers. 6, 7, 9, 17, 23, 25, 26, et Exode 15:4, 19, sont signifiés les intellectuels, les doctrinaux et les scientifiques du faux, et par suite les rationnels, qui pervertissent et éteignent les vrais de l'Eglise ; c'est leur destruction et leur mort qui y sont décrites.

  
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Arcanes Célestes # 402

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402. La ville bâtie signifie tout doctrinal et hérétique provenant de cette origine : on le voit par la Parole, partout où l'on rencontre le nom de quelque ville ; là, ce n'est jamais une ville, mais c'est quelque chose de doctrinal ou d'hérétique qui est signifié ; car ce que c'est que la ville, et quel en est le nom, les anges l'ignorent absolument ; ils n'ont et ne peuvent jamais avoir aucune idée de la ville, parce qu'ils sont, comme il a déjà été dit, dans des idées spirituelles et célestes ; mais ils perçoivent seulement ce que les villes signifient ; par exemple, par la Cité Sainte, qui est aussi appelée la Sainte Jérusalem, il n'est entendu rien autre chose que le Royaume du Seigneur dans l'universel, ou en quelqu'un en particulier en qui réside le Royaume du Seigneur ; par la cité ou par la montagne de Sion, pareillement, par la montagne le céleste de la foi, et par la cité le spirituel de la foi. Le céleste même et le spirituel même sont aussi décrits par les cités, les palais, les maisons, les murs, les fondements des murs, les avant-murs, les portes, les verrous ; et, au milieu, le Temple ; comme dans Ézéchiel 48, dans Apocalypse 21:15-27 ; elle est appelée la Sainte Jérusalem, Apocalypse 21:2, 10 ; dans Jérémie 31:38 ;

Dans David,

« Cité de Dieu, (lieu) saint des habitacles du Très-Haut, » - Psaumes 46:5.

Dans Ézéchiel, la Cité est appelée Jéhovah-là - .

Il est dit dans Ésaïe, en parlant d'elle :

« Des fils de l'étranger bâtiront tes murs ; ils se prosterneront à la plante de tes pieds tous ceux qui te rejetaient ; ils t'appelleront la Cité de Jéhovah, la Sion du Saint d'Israël. » - Ésaïe 60:10, 14.

Dans Zacharie, Jérusalem est nommée,

« Cité de vérité et la montagne de Sion, Montagne de sainteté. » - Zacharie 8:3 ;

Dans ce passage, la cité de vérité où Jérusalem signifie les spirituels de la foi ; et la montagne de sainteté ou de Sion, les célestes de la foi. Comme les célestes et les spirituels de la foi ont été représentés par la cité, de même tous les doctrinaux ont été signifiés par les cités de Jéhudah et D'Israël, lesquelles aussi, lorsqu'elles sont nommées, signifient en particulier quelque doctrinal ; mais quel est ce doctrinal, personne ne peut le savoir que par le sens interne. De même que par les Villes ont été signifiés les doctrinaux, de même aussi par les Villes ont été signifiés les (dogmes) hérétiques, et lorsqu'elles sont nommées elles signifient en particulier quelque (dogme) hérétique. Maintenant, on peut voir, par les seuls passages qui suivent, que la ville, en général, signifie le doctrinal ou l'hérétique.

Dans Ésaïe :

« En ce jour-là, il y aura cinq Villes dans la terre d'Egypte, parlant de la lèvre de Canaan, et jurant à Jéhovah Zebaoth ; Ville de Chérés sera appelée Time. » - Ésaïe 19:18.

Il s'agit là de la science des spirituels et des célestes, au temps de l'avènement du Seigneur.

Dans le Même :

« De tumulte pleine, ville tumultueuse, ville bondissante. » - Ésaïe 22:1, 2.

Là, il s'agit de la vallée de la vision, ou de la fantaisie.

Dans Jérémie :

« Les villes du midi ont été fermées, et personne qui (les) ouvre. » - Jérémie 13:19.

Là, il est question de ceux qui sont dans le midi, ou dans la lumière de la vérité, et qui l'éteignent.

Dans le Même :

« Jéhovah a pensé à détruire le mur de la fille de Sion, il met dans le deuil l'avant-mur et le mur ; ensemble ils ont été affaiblis ; ses portes ont été enfoncées en terre, il a détruit et brisé ses verrous. » - Lamentations 2:8-9.

Là, chacun peut voir que par mur, avant-mur, portes et verrous, il n'est pas entendu autre chose que des doctrinaux. De même dans Ésaïe :

« On chantera ce cantique dans la terre de Jéhudah : Une ville forte (est) à nous ; salut il établira murs et avant-mur ; ouvrez les portes, pour qu'elle entre, la nation juste qui garde les fidélités. » - Ésaïe 26:1-2.

Dans le Même :

« Je T'exalterai, je confesserai Ton Nom ; tu as mis (partie) de la Ville en monceau, la Ville munie en ruine ; le palais des étrangers, de la Ville jamais ne sera rebâti ; à cause de cela, un peuple fort T'honorera, une ville de nations formidables Te craindra. » - Ésaïe 25:1-2, 3.

Là non plus, il ne s'agit pas de quelque ville.

Dans la Prophétie de Balaam :

« Edom (lui) sera en héritage, et il dominera sur Jacob ; et il fera périr ce qui sera de reste de la Ville. » - Nombres 24:19.

Là, chacun peut voir que la ville ne signifie pas une ville.

Dans Ésaïe :

« La Ville de vanité a été ruinée, toute maison a été fermée, pour qu'on n'entre point ; clameur au sujet du vin dans les places. » - Ésaïe 24:10-11.

La ville de vanité est prise pour les vanités de la doctrine ; les places, ici et ailleurs, signifient ce qui appartient à la ville, les faux ou les vrais.

Dans Jean :

« Lorsque le septième ange versa sa fiole, devint la ville grande en trois parties, et les Villes des nations tombèrent. » - Apocalypse 16:19.

Que la ville grande soit ce qui est hérétique, et pareillement les villes des nations, chacun peut le voir ; il est aussi expliqué que la ville grande est la femme que Jean a vue, dans Apocalypse 17:18.

Que la femme soit une semblable Eglise, c'est ce qui a été précédemment montré.

  
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