Bible

 

Jérémie 51:30

Studie

       

30 Les hommes forts de Babylone ont cessé de combattre, ils se sont tenus dans les forteresses, leur force est éteinte, et ils sont devenus [comme] des femmes; on a brûlé ses demeures; et ses barres ont été rompues.

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Arcanes Célestes # 1857

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, [Il manque du texte ici],

Et dans Amos - Amos 2:9-10.

C’est pourquoi ici par l'Emorréen on doit entendre toutes les nations de la terre de Canaan, par lesquelles ont été signifiés en particulier les maux et les faux, comme je l'ai déjà dit ; de là l'Emorréen signifie tous les maux en général. La consommation signifie le dernier temps quand il n'y a plus aucun bien. Toutefois, ce qui est entendu par ces mots : parce que jusque-là l'iniquité des Emorréens n'aura pas été consommée, est un arcane ; voici ce qui se passe à l'égard des méchants dans l'autre vie : les méchants ne sont pas punis avant que leurs maux soient parvenus à leur comble et cela, soit dans le commun, soit dans le particulier ; car tel est l'équilibre dans l'autre vie, que le mal se punit lui-même, ou que les méchants se jettent dans la peine du mal, mais seulement quand il est parvenu à son comble ; chaque mal à sa limite, qui est différente chez chacun ; cette limite ne doit pas être dépassée ; quand le méchant la dépasse, il se précipite alors dans la peine, et cela en tout ce qui concerne le particulier. Il en est de même en ce qui regarde le commun : les méchants se jettent dans l'enfer, non pas en un moment, mais successivement ; cela vient de la Loi universelle de l'Ordre établi par le Seigneur, loi d'après laquelle le Seigneur n'envoie jamais qui que ce soit dans l'enfer, mais le mal où le méchant s'y jette lui-même successivement, et cela, jusqu'à ce que le mal ait été consommé, et qu'il n'apparaisse plus aucun bien ; tant qu'il y a en lui quelque reste de bien, il est élevé de l'enfer ; mais quand il n'y a plus que le mal, il s'élance lui-même dans l'enfer ; il faut d'abord que l'un soit séparé de l'autre, car le bien et le mal sont opposés l'un à l'autre ; rester en suspens entre l'un et l'autre n'est pas permis : voilà ce qui est signifié par l'iniquité des Emorréens qui doit être consommée : mais il en est autrement des bons ; ils sont continuellement élevés par le Seigneur vers le ciel, et le mal qui est en eux s'efface successivement. Il en est de même de l'état de l'Eglise ; la visite ne vient point avant que le mal ait été consommé, c'est-à-dire tant qu'il reste encore quelque bien de la charité et quelque vrai de la foi : il est très-souvent parlé de cette consommation dans les Prophètes ; par exemple, dans Ésaïe :

« J'ai entendu la consommation et Indécision de la part du Seigneur Jéhovih Zebaoth sur toute la terre. » - .

Dans Jérémie :

« Babel, qui habites sur plusieurs eaux, grande en trésors, elle est venue, ta fin, la mesure de ton lucre. » - Jérémie 51:13.

Dans Daniel :

« Soixante-dix semaines ont été décidées sur ton peuple et sur la ville de ta sainteté, pour consommer la prévarication, et pour sceller les péchés, et pour expier l'iniquité, et pour amener la justice des siècles, et pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints. » - Daniel 9:24.

« Enfin sur l'oiseau des abominations (est) la désolation, et jusqu'à la Consommation et à la décision, elle se répandra sur la dévastation. » - Ibid. vers. 27.

La Consommation est aussi prédise par le Seigneur Lui-Même dans le Luc, en ces termes :

« Ils tomberont sous le tranchant de l'épée, et seront captifs parmi toutes les nations : et enfin Jérusalem sera foulée par les nations, jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis. » - .

Tomber sous le tranchant de l'épée, c'est par les faux ; car l'épée, dans la Parole, est la peine du faux ; Jérusalem, c'est le Royaume du Seigneur et l'Eglise, numéro 402 ; les nations sont les maux, numéro 1260 ; il y a consommation alors que l'Eglise a été possédée par les maux et par les faux, et par conséquent détruite par elle-même.

  
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Arcana Coelestia # 6690

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6690. 'That He made them houses' means that it - true factual knowledge in the natural - was arranged into a heavenly pattern. This is clear from the meaning of 'house' as the natural mind, dealt with in 4973, 5023, thus the things that compose the natural mind. But because what is said here refers to the midwives, those things are true factual knowledge in the natural, 6687. 'Making them houses' therefore means arranging that knowledge into order, and it is arranged into order when arranged into a heavenly pattern. It is not at all easy to see that these things are meant by 'making them houses' unless one knows the situation with true factual knowledge that belongs to the natural mind. Something must therefore be said briefly about this. Known facts in the natural are arranged into continuous series, one series tying in with another, so that they all hang together according to the varying relationships and close associations they have with one another. They are not unlike families and their generations; for one is born from another, and in that manner they are brought into existence. This explains why things of the mind, which are forms of good and truth, were spoken of by the ancients as 'houses', the form of good that ruled there being called the father, the truth linked to it the mother, and the derivations from them the sons, daughters, sons-in-law, daughters-in-law, and so on. But the way in which true factual knowledge in the natural is arranged varies from person to person, since the pattern it assumes is imposed on it by the ruling love. That love is at the centre and arranges each fact into position around it. It positions nearest to itself the facts most compatible with it, and the rest are arranged according to their degrees of compatibility. And in this way factual knowledge is given a pattern. If heavenly love rules, then the Lord arranges them all into a heavenly pattern, a pattern like that assumed by heaven itself, thus the pattern assumed by the good of love itself. Such is the pattern into which truths are arranged; and once arranged into it they act in unison with good. At this point when the one is stimulated by the Lord, so is the other; that is to say, when items of belief are stimulated, so are charitable desires, and vice versa. This kind of arrangement is what is meant by the statement that God made the midwives houses.

  
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Thanks to the Swedenborg Society for the permission to use this translation.