Bible

 

Jérémie 51:3

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3 Qu'on bande l'arc contre celui qui bande son arc, et contre celui qui se confie en sa cuirasse; et n'épargnez point ses gens d'élite, exterminez à la façon de l'interdit toute son armée;

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Arcanes Célestes # 9496

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9496. Et tu feras les barres de bois de Schittim, signifie la puissance qui en provient : on le voit par la signification des barres, en ce qu'elles sont la puissance qui appartient au vrai d'après le bien, ainsi qu'il va être exposé ; et par la signification des bois de Schittim, en ce que c'est le bien du Mérite qui appartient au Seigneur seul, numéros 9472, 9486. Ici, maintenant, il faut dire d'où vient que par l'Arche et par l'Habitacle a pu être Représenté le Ciel, et alors par la bordure de l'arche la limite, par les angles la fermeté, par les anneaux la conjonction du bien avec le vrai, et par les barres la puissance : Il a été montré que toute la nature, conséquemment toutes et chacune des choses qui y sont dans l'ordre, sont des représentatifs du Royaume du Seigneur, c'est-à-dire, du ciel et des célestes qui y sont, numéro 9280 ; il a aussi été montré que tout le ciel ressemble à un seul homme, et que c'est pour cela que le ciel a été appelé le Très-Grand Homme, numéro 9276 (fin). ; il s'ensuit donc que toutes les formes, par lesquelles sont représentés les célestes, se réfèrent à la forme humaine, et signifient selon la conformité avec elle : de là, maintenant, on voit clairement pourquoi, lorsque l'Arche signifie le ciel où est le Seigneur, la bordure de l'arche signifie la limite, les côtés le bien avec lequel doit être conjoint le vrai, les angles la fermeté, les anneaux la conjonction elle-même, et les barres la puissance ; en effet, les barres se réfèrent aux bras chez l'homme, et signifient par conséquent la même chose que les bras ; les anneaux se réfèrent, aux ginglymes ou emboitures où se fait la conjonction des bras avec la poitrine ; les angles, aux éminences elles-mêmes où est cette conjonction ; les côtés, à la partie pectorale ou thoracique ; la bordure, à la circonférence dans laquelle est la limite ; par là on peut voir que les barres signifient, comme les bras, la puissance ; car les bras et les mains sont la puissance, numéros 878, , 5327, 5328, 6292, 6947, 7188, 7189, 7205, 7518, 7673, 8050, 8153, 8281, 9025, 9133 ; et que les côtés signifient la même chose que la partie pectorale ou thoracique du corps, à savoir, le bien, car il y a là le cœur et le poumon, et le cœur signifie le bien céleste, et le poumon le bien spirituel, numéros , 9300 ; d'où il est évident que les anneaux signifient la même chose que les ginglymes ou jointures de la poitrine avec les épaules et des épaules avec les bras, à savoir, la conjonction du bien avec le vrai ; et que les angles signifient la fermeté, car là se développe la force du corps, qui manifeste sa force et sa puissance par les bras : par là on peut voir d'où vient que les formes naturelles non-vives représentent les mêmes choses que les formes vives ou que les formes dans le corps humain, à savoir, que cela vient de ce que le ciel ressemble à un seul homme, et que les choses qui sont dans le ciel ressemblent à celles qui sont chez l'homme, ainsi que cela devient évident d'après ce qui a été amplement montré sur la Correspondance de l'homme avec le Très-Grand Homme, voir les endroits cités numéro 9276. Comme les barres par lesquelles on portait l'arche signifiaient la puissance, de même aussi les barres par lesquelles on affermissait les portes des villes, ainsi qu'on le voit par les passages suivants ; dans Osée :

« L'épée tombera dans ses villes, et consumera ses barres. » - Osée 11:6 ;

L'épée, c'est le vrai qui combat contre le faux ; les villes sont les doctrinaux ; les barres sont la puissance.

Dans Ésaïe :

« A cause de vous j'ai envoyé dans Babel, et je renverserai toutes les barres. » - Ésaïe 43:14.

Dans Jérémie :

« Les forts de Babel sont assis dans les remparts, à l'oubli a été livrée leur puissance ; brisées ont été ses barres. » - Jérémie 51:30.

Dans Amos :

« Je briserai la barre de Damas. " - Amos 1:5.

Dans Ésaïe :

« Les portes d'airain je briserai, et les barres de fer je romprai. » - Ésaïe 45:2 :

Pareillement dans David : - Psaumes 107:16.

Dans Jérémie :

« Ni portes, ni barres pour eux, solitaires ils habitent. » - Jérémie 49:31.

Dans Ézéchiel :

« Tous habitent sans muraille ; ni barres ni portes pour eux. » - Ézéchiel 38:11.

Dans Jérémie :

« Enfoncées en terre ont été ses portes, il a détruit et brisé ses barres. “ - Lamentations Jérémie 2:9.

Dans David :

« Loue, Sion, ton Dieu, car il renforce les barres de tes portes. » - Psaumes 147:13 ;

Dans ces passages, les villes signifient les doctrinaux, numéros 2449, 2712, 3216, 4492, 4493 ; les portes la fermeté et la défense, et les barres la puissance qui appartient au vrai d'après le bien ; que toute puissance appartienne au vrai, mais au vrai qui provient du bien, on le voit, numéros 6344, 6423, 8200, 8304, 9133, 9327, 9410.

  
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Arcana Coelestia # 3670

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3670. 'And He will give you the blessing of Abraham' means the joining of the Divine itself to the good and truth of the natural. This is clear from the meaning of 'blessing' as a joining together, dealt with above in 3660, 3667, and from the representation of 'Abraham' as the Lord's Divine itself, which is called the Father, dealt with in 2011, 3251, 3439. And as these words are addressed to Jacob, who is to represent the Divine Good and Truth of the Lord's Divine Natural, it is a joining together of the Divine itself to the good and truth of the Natural - this joining together being meant in the internal sense by 'He will give you the blessing of Abraham'. In the sense of the letter it is possession of the land of Canaan that is meant by 'the blessing of Abraham', and also by the words that follow, 'to inherit the land of your sojournings, which God gave to Abraham'. This also is what these words are taken to mean by all who believe that the historical descriptions of the Word do not embody anything more heavenly and deeper than that. This is especially so with the Jewish nation, which also claims from that sense to hold a superior position to all other nations and peoples. Their forefathers understood those words in the same way, especially Jacob, who had that kind of disposition, as becomes clear from what has been stated just above in 3667. That is to say, he did not know Jehovah and was unwilling to acknowledge Him unless He conferred bodily and worldly benefits on him. The fact that neither Abraham, nor Isaac, nor Jacob were meant, but that Jacob represented the Lord's Natural which He was to make Divine is abundantly evident from the explanations given. The same applies to the character of any person who represents, whether evil or good; for the evil are no less able to represent, and have represented, the Lord's Divine, see 665, 1097, 1361.

[2] The same may be seen from the representatives which also exist at the present day. For all kings, no matter who they are or what they are like, represent the Lord through the kingly office itself residing with them; and in like manner all priests, no matter who they are or what they are like, do so through their priestly office. The kingly office itself and the priestly office itself are sacred, no matter who serves in them. Consequently the Word taught by someone evil is no less sacred; nor is the Sacrament of Baptism, or the Holy Supper, or similar ministrations any less so. From this it may also be seen that no king can possibly claim as his own the sacredness that goes with his kingly office, nor any priest the sacredness that goes with his priestly office. Insofar as he does claim it or attribute it to himself he brands himself with the sign of a spiritual thief, or the mark of spiritual theft. And insofar as he commits what is evil, that is, acts contrary to what is right and fair, and contrary to what is good and true, a king throws off his representation of the sacred kingly office, and a priest his representation of the sacred priestly office, and then represents the reverse of this. This explains why so many laws were laid down in the Jewish representative Church concerning the sacredness which was to be attached in particular to priests when ministering. More on this matter will in the Lord's Divine mercy be stated later on.

  
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Thanks to the Swedenborg Society for the permission to use this translation.