Bible

 

Jérémie 51:29

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29 Et la terre en sera ébranlée, et en sera en travail, parce que tout ce que l'Eternel a pensé a été effectué contre Babylone, pour réduire le pays en désolation, tellement qu'il n'y ait personne qui [y] habite.

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L’Apocalypse Révélée # 717

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717. Chapitre 17.

1. Et vint un des sept Anges qui avaient les sept fioles, et il me parla me disant : Viens, je te montrerai le jugement de la Prostituée grande, qui est assise sur les eaux abondantes.

2. Avec laquelle ont commis scortation les Rois de la terre et se sont enivrés du vin de sa scortation les habitants de la terre.

3. Et il m'emporta dans 'un désert en esprit et je vis une Femme assise sur une Bête écarlate, pleine de noms de blasphème ayant sept têtes, et dix cornes.

4. Et la Femme était revêtue de pourpre et d'écarlate et parée d'or et de pierres précieuses et de perles ayant en sa main une coupe d'or pleine d'abominations et d'impureté de sa scortation.

5. Et, sur son front, un Nom écrit : Mystère ; Babylone la grande, la mère des scortations et des abominations de ta terre.

6. Et je vis la Femme ivre du sang des saints, et du sang des témoins de Jésus et je fus étonné, en la voyant, d'un étonnement grand.

7. Et l'Ange me dit : Pourquoi t'étonnes-tu ? Moi, je te dirai le mystère de la Femme et de la Bête qui la porte, ayant les sept tôles et les dix cornes.

8. La Bête, que lu as vue, était et n'est pas et elle doit monter de l'abîme, et à perdition s'en aller et s'étonneront ceux qui habitent sur la terre, desquels n'ont point été écrits les noms dans le Livre de vie dès la fondation du monde, en voyant la Bête qui était et n'est pas, et cependant elle est.

9. Ici l'entendement, à qui a de la sagesse.

10. Et sept Dois ce sont cinq sont lombes, et l'un est, et l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, peu de temps il faut qu'il demeure.

11. Et la Bête, qui était et n'est pas, elle-même huitième elle est ; et des sept elle est, et à perdition clic s'en va.

12. Et les dix cornes, que tu as vues, dix Rois ce sont, qui Royauté n'ont pas encore reçu mais pouvoir comme Rois une seule heure ils reçoivent avec la Bête.

13. Ceux-ci, même sentiment ils ont, et leur puissance et leur pouvoir à la Bête ils donneront ceux—ci contrel 'Agneaucontbattront, mais l'A gneau les vaincra, parce que Seigneur des seigneurs il est, et Roi des rois et ceux avec Lui, des appelés, des élus et des fidèles (ils sont).

15. Et il me dit : lœs eaux, que tu as vues, où la Prostituée est assise, peuples et foules ce sont, et nations et langues.

16. Et les dix Cornes que tu as vues sur la Bête, ceux-ci haïront la Prostituée et désolée ils la rendront, et mie et ses chairs ils mangeront, et ils la brûleront au feu.

17. Car Dieu a mis dans leurs cœurs d'exécuter sa sentence, et d'exécuter une même sentence, et de donner leur Royaume à la Bête jusqu'à ce que soient consommées les paroles de Dieu.

18. Et la Femme, que tu as vue, est la Ville grande ayant royauté sur les rois de la terre.

« Dans ce qui précède, depuis le Chapitre 7 jusqu'au Chapitre 16 inclusivement, il a été traité des Réformés ; maintenant, dans ce Chapitre et dans le suivant, il s'agit des Pontificaux, parmi lesquels ceux qui se sont arrogé le pouvoir n d'ouvrir et de fermer le Ciel sont entendus par la Babylonie ; ici donc il sera d'abord dit ce qui est spécialement entendu par la Babylonie. Par la Babylonie, ou par Babel, il est entendu l'Amour de dominer sur les choses saintes de l'Église d'après l'amour de soi ; et comme cet amour monte tant que la bride lui est lâchée, et que les choses saintes de l'Église sont aussi les choses saintes du Ciel, c'est pour cela que par la Babylonie ou Babel, il est signifié aussi la Domination sur le Ciel. Et comme cet Amour agit ainsi comme le Diable qui a des désirs semblables, il ne peut que profaner les choses saintes, en adultérant les biens et les vrais de la Parole ; c'est pourquoi, par laBabylonie, ou Babel, il est signifié aussi la Profanation de ce qui est saint, et l'adultération du bien et du vrai de la Parole : ce sont là les choses qui sont signifiées par Babylone ici dans l'Apocalypse, et par Babel - dans la Parole prophétique et historique, dans les passages suivants : Sur Babel : Voici, le jour de Jéhovah vient, cruel. Les étoiles des deux et leurs astres ne brilleront point de leur lumière ; obscurci sera le Soleil à son lever, et la Lune ne fera point resplendir sa lueur. Je ferai cesser l'arrogance des orgueilleux, et le faste des violents j'humilierai. Babel, ornement des royaumes, sera comme ta subversion de Dieu, Sodome et Gomorrhe ; là couclieront les jiim, et remplies seront leurs maisons d'ochim, et là habiteront les filles de la chouette, et les satyres y danseront ; les jiim répondront dans ses palais, et les dragons dans ses palais de délices. — Ésaïe 13:1, 9-10, 11, 14, 19, 21-22 ; — outre plusieurs autres choses dans tout ce Chapitre.

  
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Arcanes Célestes # 4966

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4966. Prince des satellites, signifie qui sont les choses principales pour l'interprétation : on le voit par la signification du prince des satellites, en ce que ce sont les choses principales pour l'interprétation, numéro 4790 ; les choses principales pour l'interprétation sont celles qui conduisent principalement à interpréter la Parole, et ainsi à comprendre les doctrinaux de l'amour envers Dieu et de la charité à l'égard du prochain, qui sont tirés de la Parole. Il faut qu'on sache que les scientifiques dans l'antiquité ont été tout autres que les scientifiques d'aujourd'hui ; les Scientifiques dans l'antiquité, ainsi qu'il vient d'être dit, traitaient des correspondances des choses dans le monde naturel avec les choses dans le monde spirituel ; Les scientifiques, qu'on appelle aujourd'hui les Philosophiques, tels que ceux d'Aristote et d'autres semblables, étaient alors inconnus ; c'est aussi ce qui est évident par les Livres des auteurs les plus anciens, dont la plupart ont été écrits en termes qui signifiaient des intérieurs, les représentaient et y correspondaient, ainsi qu'on peut le voir seulement par ce qui suit, sans qu'il soit besoin d'en dire d'avantage : ils plaçaient l'Hélicon sur une montagne, et par lui ils entendaient le Ciel : ils mettaient le Parnasse au-dessous sur une colline, et par lui ils entendaient les scientifiques ; ils disaient qu'un cheval ailé, qu'ils nommaient Pégase, y avait avec la corne de son pied fait jaillir une source ; ils appelaient Vierges les sciences, et ainsi du reste ; en effet, par les correspondances et par les Représentatifs ils savaient que la montagne était le Ciel, que la Colline était ce ciel qui est au-dessous ou qui est chez l'homme, que le cheval était l'intellectuel, que les ailes avec lesquelles il volait étaient les spirituels, que la corne du pied était le naturel, que la source était l'intelligence, que les trois vierges qu'ils nommaient Héliconides ou Parnassides étaient les affections du vrai. De même ils donnaient au Soleil des chevaux, dont ils nommaient la nourriture ambroisie, et le breuvage nectar, car ils savaient que le Soleil signifiait l'amour céleste, les chevaux les intellectuels qui en proviennent, et que les aliments signifiaient les célestes, et les breuvages les spirituels. des Anciens est aussi restée cette coutume, que les Rois, quand ils sont couronnés, doivent s'asseoir sur un trône d'argent, vêtus d'uns chlamyde de pourpre, oints d'huile, porter la couronne sur la tête, dans les mains le sceptre, l'épée et les clefs, monter avec les insignes de la royauté sur un cheval blanc, dont les pieds sont ferrés d'argent, être servis alors à table par les grands dignitaires du royaume, outre plusieurs autres choses ; car ils savaient que le Roi représentait le Divin Vrai qui procède du Divin Bien, et par suite ce que signifiaient le trône d'argent, la chlamyde de pourpre, l'huile d'onction, la couronne, le sceptre, l'épée, les clefs, le cheval blanc, les fers d'argent, le service à table par les grands dignitaires ; qui aujourd'hui connaît ces significations, et où sont les scientifiques qui les enseignent ? On nomme cela des emblèmes, sans savoir absolument rien de la Correspondance et de la Représentation. D'après ce qui suivent d'être dit, on voit clairement quels étaient les scientifiques des Anciens, et que ces scientifiques les conduisaient à la connaissance des spirituels et de célestes, dont aujourd'hui on connaît à peine même l'existence. Les Scientifiques qui les ont remplacés, et qu'on nomme particulièrement les Philosophiques, détournent plutôt le mental de la connaissance des spirituels et des célestes, parce qu'ils peuvent être également employés à confirmer les faux, et plongent aussi le mental dans les ténèbres quand les vrais sont confirmés par eux ; car la plupart sont des mots vides de sens, par lesquels se font des confirmations, qui sont saisies par un petit nombre d'hommes, et sur lesquels ce petit nombre d'hommes est même en discussion : par là on peut voir combien le genre humain s'est éloigné de cette érudition des anciens, qui les conduisait à la sagesse. Les Gentils avaient reçu ces scientifiques de l'Eglise Ancienne, dont le culte externe consistait en représentatifs et significatifs, et dont le culte interne se composait de choses qui étaient représentées et signifiées. Tels étaient les scientifiques qui sont signifiées dans le sens bon par l'Egypte.

  
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