Bible

 

Jérémie 51:27

Studie

       

27 Levez l'enseigne sur la terre, sonnez de la trompette parmi les nations; préparez les nations contre elle; convoquez contre elle les Royaumes d'Ararat, de Minni, et d'Askenas; établissez contre elle des Capitaines, faites monter ses chevaux comme le hurebec qui se hérisse.

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L’Apocalypse Révélée # 645

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645. Criant d'une voix grande à Celui qui était assis sur la nuée : Envoie ta faux et moissonne, car est venue pour loi l'heure de moissonner, parce qu'est mûre la moisson de la terre, signifie la supplication des Anges du Ciel au Seigneur, pour qu'il mette une fin et qu'il fasse le jugement, parce que c'est maintenant le dernier état de l'Église. Par , crier d'une voix grande à Celui qui était assis sur la nuée, il est signifié la supplication des Anges du Ciel au Seigneur, par la raison qu'il n'y a plus rien de correspondant dans les terres, car pour le Ciel Angélique, l'Église dans les terres est comme le fondement sur lequel subsiste une maison, ou comme les pieds sur lesquels un homme se tient debout et avec lesquels il marche ; c'est pourquoi, lorsque l'Église dans les terres est détruite, les Anges se lamentent et supplient le Seigneur, ils le supplient de mettre fin à l'Église et d'en élever une Nouvelle ; de là vient que par « un Ange cria d'une voix grande à Celui qui était assis sur la nuée » , il est signifié la supplication des Anges du Ciel au Seigneur ; que par Celui qui était assis sur la nuée il soit signifié le Seigneur quant à la Parole, on le voit ci-dessus, No. 643 ; que par envoyer la faux et moissonner,il soit signifié mettre fin et faire le jugement, on le voit aussi ci-dessus, Nos. 642, 643 ; par car est venue l'heure de moissonner, il est signifié que c'est la fin de l'Église ; par parlée qu'est mûre ta moisson, il est signifié que c'est le dernier était de l'Église ; par la moisson est signifié l'état de l'Église quant au Divin Vrai, par la raison que de la moisson vient le blé dont on fait le pain, et que par le blé et le pain il est signifié le bien de l'Église,, et ce bien est acquis par les vrais. Que ce soit là ce qui est signifiée par ces choses, on peut le voir plus clairement par les passages de la Parole où il est parlé de moisson, de moissonner et de faux ; par exemple, dans les suivants :

— « Je siégerai pour juger toutes Iles nations : Envoyez la FAUCILLE, car mûre est la MOISSON, parce que grande est leur malice. » — Joël 4:12, 13.

— « Retranchez celui qui sème, et celui qui saisit la FAUCILLE au temps de la MOISSON. » — Jérémie 50:16.

— « La fille de Babel (est) comme une aire pour être foulée ; encore un peu quand viendra le temps de la MOISSON. » — Jérémie 51:33.

— « Il arrivera commue quand on amasse la MOISSON, et que son bras MOISSONNÉ las épis ; le matin ta semence fleurit, un monceau (sera) la MOISSON au jour de la possession ; et (il y aura) douleur désespérée, » — Ésaïe 17:5-6, 11.

— « Confus sont devenus les laboureurs, parce qu'a péri ta MOISSON DU CHAMP. » — Joël 1:11.

— « Jésus dit aux disciples : Ne dites-vous pas : Encore quatre mois il y a, jusqu'à ce que la MOISSON arrive ? Levez vos yeux, et regardez les champs,que blancs ils sont déjà pour la MOISSON. Moi, je vous ai envoyés MOISSONNER. » — Jean 4:35-39

— « Jésus dit aux disciples : La MOISSON est abondante, mais il y a peu d'ouvriers ; suppliez donc le Seigneur de la MOISSON, afin qu'il envoie des ouvriers pour sa MOISSON. » — Matthieu 9:37-38 ; Luc 10:2.

— Dans ces passages, et aussi, — Ésaïe 16:9 ; Jérémie 5:17 ; 8:20.

— par la Moisson est signifiée l'Église quant au Divin Vrai. Mais toutes les choses qui sont contenues dans les Versets de ce Chapitre, et aussi dans les deux Chapitres qui suivent, ont été prédites par le Seigneur dans la parabole de Celui qui sème et de la récolte de la Moisson, et comme elle enseigne et illustre ce que signifient ces choses, elle sera rapportée ici :

— « Jésus dit : Semblable est le Royaume des deux à un homme qui avait semé de bonne semence dans son champ ; mais son ennemi vint et sema de l'ivraie ; quand eut poussé l'herbe, alors parut aussi l'ivraie. Ses serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous la cueillions ? Mais il dit : Non, de peur que peut-être en cueillant l'ivraie, vous ne déraciniez en même temps le froment ; laissez-les croître ensemble jusqu'à la Moisson, et au temps de la Moisson je dirai aux Moissonneurs : Cueillez premièrement l'ivraie, et liez-la en faisceaux pour la brûler, mais amassez le froment dans mon grenier.

Et s'approchèrent les disciples vers Jésus, disant : Explique-nous la parabole.

Jésus dit : Celui qui sème la bonne semence est le Fils de l'homme (ou le Seigneur) ; te champ est le Monde (l'Eglise) ; la semence, ce sont les fils du Royaume (les vrais de l'Église) ; l'ivraie, ce sont les fils du méchant (les faux de l'enfer) ; l'ennemi qui la sème est le diable ; la Moisson est la consommation du siècle (la fin de l'Église) ; les Moissonneurs sont les Anges (les Divins Vrais) ; de même donc qu'est cueillie l'ivraie, et qu'au feu elle est brûlée, de même il en sera à la consommation du siècle (à la fin de l'Église). » — Matthieu 13:24-30, 36-43.

  
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Arcana Coelestia # 3246

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3246. 'And to the concubines' sons, whom Abraham had, Abraham gave gifts' means that places in the Lord's spiritual kingdom were allotted to spiritual people adopted by the Lord's Divine Human. This is clear from the meaning of 'the concubines' sons' as those who are spiritual, to be dealt with below; from the representation of 'Abraham' here as the Lord's Divine Human (so that the words 'whom Abraham had' mean that they - those who were spiritual - were adopted by the Lord's Divine Human); and from the meaning of 'the gifts which Abraham gave them' as allotted places in the Lord's spiritual kingdom.

[2] From what has been shown several times already about those who constitute the Lord's spiritual kingdom and who are called the spiritual, as in 3235 and elsewhere, it becomes clear that they are not sons of the marriage itself of good and truth, but of a certain covenant not so conjugial. They are indeed descended from the same father but not from the same mother, that is, from the same Divine Good but not from the same Divine Truth. Indeed with those who are celestial, since they are the product of the marriage itself of good and truth, good exists and truth rooted in that good. They never make investigations into what the truth may be but have a perception of it from good. Nor in conversation do they say more than this regarding what is true, 'Yes, that is so', in keeping with the Lord's teaching in Matthew,

Let your words be Yes, yes; No, no; anything beyond this is from evil. 1 Matthew 5:37.

But those who are spiritual, since they are the product of a covenant not so conjugial, do not have any perception from which they can know what is true. Instead they call that the truth which parents and teachers have told them to be the truth. Consequently with them there is no marriage of good and truth. Nevertheless that which they believe to be the truth for the reason just given is adopted by the Lord as truth when goodness of life exists with them; see 1832. This now explains why the spiritual are here called 'the concubines' sons', which is used to mean all the sons of Keturah mentioned already, and also those descended from Hagar, dealt with shortly below in verses 12-18.

[3] In former times - to enable both those who are celestial and those who are spiritual to be represented in marriages - a man was allowed to have a concubine in addition to a wife. That concubine was given to the husband by his wife (uxor), in which case the concubine was called his wife (mulier), or was said to have been given to him as a wife (mulier), as when Hagar the Egyptian was given to Abraham by Sarah, Genesis 16:3, when the servant-girl Bilhah was given to Jacob by Rachel, Genesis 30:4, and when the servant-girl Zilpah was given to Jacob by Leah, Genesis 30:9. In those cases they are called 'wives' (mulier), but elsewhere concubines, as is Hagar the Egyptian in the present verse, Bilhah in Genesis 35:22, and even Keturah herself in 1 Chronicles 1:32.

[4] The reason why those men of old had concubines in addition to a wife, as not only Abraham and Jacob did, but also their descendants, such as Gideon, Judges 8:31; Saul, 2 Samuel 3:7; David, 2 Samuel 5:13; 15:16; Solomon, 1 Kings 11:3, was that they were permitted to do so for the sake of the representation. That is to say, the celestial Church was represented by the wife, and the spiritual Church by the concubine. They were permitted to do so because they were the kind of men with whom conjugial love did not exist; so that to them marriage was not marriage but merely copulation for the sake of begetting off-spring. With such persons those permissions were possible without any harm being done to love or consequently to the conjugial covenant. But such permissions are never possible among people with whom good and truth are present and who are internal people, or potentially so. For as soon as good and truth, and internal things, exist with the human being, such permissions come to an end. This is why Christians are not allowed, as the Jews were, to take a concubine in addition to a wife, and why such is adultery. Regarding the adoption of those who are spiritual by the Lord's Divine Human, see what has been stated and shown already on the same subject in 2661, 2716, 2833, 2834.

Poznámky pod čarou:

1. or from the evil one

  
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Thanks to the Swedenborg Society for the permission to use this translation.