Bible

 

Jérémie 51:25

Studie

       

25 Voici, j'en veux à toi, montagne qui détruis, dit l'Eternel, qui détruis toute la terre; et j'étendrai ma main sur toi, et je te roulerai en bas du haut des rochers, et je te réduirai en montagne d'embrasement.

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Arcanes Célestes # 9140

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9140. Et qu'il aura lâché sa bête de somme, signifie s'il le fait avec peu de connaissance : on le voit par la signification de la bête de somme, en ce que c'est la volonté ou l'appétit du corps ; que ce soit avec peu de connaissance, c'est parce que, quand l'homme est dans les voluptés du corps, il consulte peu la raison, et ainsi il a peu de connaissance de ce qu'il fait : toutes les bêtes, de quelque genre et de quelque espèce qu'elles soient, signifient les affections, les bêtes douces et utiles les affections bonnes, et les bêtes non-douces et inutiles les affections mauvaises, numéros 45, 46, 142, 143, , 1823, 2180, 2781, 3218, 3519, 5198, 7523, 7872, 9090 : quand la bête est dite bête de somme, elle signifie les affections purement corporelles, qui en elles-mêmes ont peu de raison, car plus l'homme agit d'après le corps, et moins il agit d'après la raison, puisque le corps est dans le monde, ainsi loin du ciel où est la véritable raison.

Dans la Langue originale l'expression bête de somme se dit aussi d'un homme stupide et sot, ainsi d'un homme ayant peu de connaissance, comme dans Ésaïe 19:11 ; dans David, Psaumes 49:11, ; dans Jérémie 51:17, et ailleurs.

  
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Arcanes Célestes # 5097

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5097. Et vint vers eux Joseph le matin, signifie ce qui a été révélé et est clair pour le céleste du spirituel : on le voit par la représentation de Joseph, en ce qu'il est le céleste du spirituel, numéros 4286, 4592, 4963 ; et par la signification du matin, en ce que c'est l'état d'illustration, numéro 3458 ; ainsi ce qui a été révélé et est clair : si le matin a cette signification, c'est parce que tous les temps du jour, comme tous les temps de l'année, signifient des états différents selon les variations de la lumière du ciel ; les variations de la lumière du ciel ne sont pas des variations journalières et annuelles comme celles de la lumière dans le monde, mais ce sont des variations de l'intelligence et de l'amour ; car la lumière du ciel n'est autre chose que la Divine Intelligence procédant du Seigneur, laquelle aussi brille devant les jeux, et la chaleur de cette lumière est le Divin Amour du Seigneur, qui aussi est chaud devant le sens ; c'est cette lumière qui fait l'intellectuel de l'homme, et c'est cette chaleur qui fait son chaud vital et le volontaire du bien : là, le matin ou la matinée est l'état d'illustration, à savoir, quant aux choses qui appartiennent au bien et au vrai ; et cet état existe quand on reconnaît, et plus encore quand on perçoit que le bien est le bien, et que le vrai est le vrai ; la perception est une révélation interne : par suite, le matin signifie ce qui a été révélé ; et comme ce qui était auparavant obscur devient alors clair, le matin signifie aussi ce qui est clair. En outre, le Matin dans le sens suprême signifie le Seigneur Lui-Même, et cela parce que le Seigneur est le Soleil d'où procède toute lumière dans le ciel, et qu'il est toujours Lui-Même au levant, par conséquent au matin ; il se lève aussi toujours chez quiconque reçoit le vrai qui appartient à la foi et le bien qui appartient à l'amour, mais il se couche chez quiconque ne les reçoit point ; ce n'est pas que le soleil s'y couche, puisqu'il est toujours, ainsi qu'il a été dit, au levant ; mais c'est que celui qui ne reçoit pas fait que chez lui ce soleil est comme s'il se couchait ; cela peut être en quelque sorte comparé aux alternatives que le soleil du monde présente respectivement aux habitants de la terre ; le soleil ne s'y couche pas non plus, puisqu'il reste toujours à sa place, et que par suite il brille toujours ; mais il semble qu'il se couche, parce que la terre tourne chaque jour une fois autour de son axe, et éloigne alors l'habitant de l'aspect du soleil, voir numéro 5084, exemple I ; ainsi il n'y a point non plus de couchant pour le soleil, mais il y a éloignement de sa lumière pour l'habitant de la terre ; cette comparaison éclaire, et comme il y a dans chaque chose de la nature un représentatif du Royaume du Seigneur, elle enseigne aussi que la privation de la lumière du ciel, c'est-à-dire, de l'intelligence et de la sagesse, vient, non pas de ce que le Seigneur, qui est le soleil de l'intelligence et de la sagesse, se couche chez qui que ce soit, mais de ce que l'habitant de Son Royaume s'éloigne lui-même, c'est-à-dire, se laisse conduire par l'enfer, par lequel il est éloigné.

  
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