Bible

 

Jérémie 51:25

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25 Voici, j'en veux à toi, montagne qui détruis, dit l'Eternel, qui détruis toute la terre; et j'étendrai ma main sur toi, et je te roulerai en bas du haut des rochers, et je te réduirai en montagne d'embrasement.

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Apocalypse Explained # 358

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358. And a crown was given [unto Him], signifies eternal life which is the reward of victory. This is evident from the signification of "crown," as being, when spiritual combat is treated of, as here, eternal life which is the reward of victory. That spiritual combat is here treated of is evident from what precedes and follows; in what precedes it is said that "He that sat upon the white horse had a bow," and "a bow" signifies the doctrine of charity and faith, from which one fights against evils and falsities and disperses them. It is also evident from what follows, in which it is said, "and He went forth conquering and that He might conquer," by which is signified victory over evils and falsities; therefore "crown" here signifies eternal life, which is the reward of victory.

[2] "Crown" has a similar signification where temptations are treated of, because temptations are spiritual combats, as in the second chapter of this book, where these words occur:

Behold, the devil is about to cast some of you into prison, that ye may be tried; and ye shall have affliction ten days; be thou faithful even till death, and I will give thee the crown of life (Revelation 2:10).

Here "crown" signifies wisdom and eternal happiness, as may be seen above n. 126. Wisdom and eternal happiness taken together are eternal life, for the very life of heaven is in wisdom and eternal happiness. The "crown" of the martyrs has a like signification because they were in affliction, and were "faithful even till death," and were also in temptations and conquered; moreover, after death crowns were given them; but lest they should on that account appropriate honor to themselves, and thus acquire haughtiness, they cast them off from their heads.

[3] Because in the Word "wars" signify wars in a spiritual sense which are combats against evils and falsities, and "kings" signify truths from good which fight against evils and falsities, in ancient times, when men had a knowledge of correspondences and representations, kings in their battles wore a crown upon the head, and a bracelet upon the arm, as can be seen in the second book of Samuel:

The young man, the son of an Amalekite, who told David that Saul and Jonathan were dead, said, I came upon Mount Gilboa, when behold, Saul leaned upon his spear; and the chariots and leaders followed hard after him. And he said to me, Come and put me to death. And I stood against him, and put him to death, and I took the crown that was upon his head and the bracelet that was on his arm, and I bring them to thee (2 Samuel 1:6, 8-10).

A crown in battle has then a sign of combat, and a bracelet upon the arm was a sign of power, each against evils and falsities. These combats are also signified by battles everywhere in the Word, even in the historical parts. (That "bracelet upon the arm" signifies the power of truth from good, see Arcana Coelestia 3105. What further "crowns of kings" and "crowns" in general signify, see above, n. 272)

  
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Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.

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Arcanes Célestes # 6348

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6348. Car tu es monté sur la couche de ton père, signifie parce que, séparée du bien qui appartient à la charité, elle a une conjonction infâme : on le voit par la signification de monter sur la couche du père, en ce que c'est avoir une conjonction infâme, à savoir, la foi séparée du bien qui appartient à la charité ; en effet, la foi par la doctrine ou par l'entendement, qui est ici représentée par Reuben, si elle n'est pas initiée dans le bien et n'y est pas conjointe, est ou dissipée et devient nulle, ou initiée et conjointe au mal et au faux, ce qui est la conjonction infâme signifiée ici, car alors il y a profanation : que cela soit ainsi, on peut le voir en ce que la foi ne peut pas avoir d'habitacle ailleurs que dans le bien, et si elle n'y a pas d'habitacle, il faut nécessairement ou qu'elle devienne nulle, ou qu'elle soit conjointe au mal : cela est bien évident dans l'autre vie d'après ceux qui ont été dans la foi seule et sans aucune charité, en ce que la foi y est dissipée, et que si elle a été conjointe au mal, ils reçoivent leurs lots avec les profanes. Dans la Parole, par les adultères dans le sens interne sont signifiées les adultérations du bien, et par les scortations les falsifications du vrai, numéros 2466, 3399 ; mais par les conjonctions infâmes, qui sont appelées degrés prohibés, desquels il s'agit dans le Lévitique 18 : Vers. 6 à 24, sont signifiés les différents genres de profanations ; qu'ici ce soit aussi une profanation, cela est évident, car il est dit :

« Tu es monté sur la couche de ton père, alors tu l'as profanée ; sur mon lit il est monté ; » que ce soit la profanation du bien par la foi séparée, on le voit, numéro 4601, où il s'agit de cette action infâme de Reuben. A l'égard de la foi seule ou séparée d'avec la charité, voici ce qui en est : Si elle est conjointe au mal, ce qui arrive quand d'abord on croit au vrai qui appartient à la foi, et plus encore quand d'abord on vit selon ce vrai, et qu'ensuite on le nie et que l'on a une vie qui y est contraire, alors il y a profanation ; car le vrai qui appartient à la foi et le bien qui appartient à la charité ont d'abord été enracinés dans les intérieurs par la doctrine et par la vie, et ensuite ils en ont été retirés et ont été conjoints au mal ; l'homme, chez qui cela arrive, a le sort le plus malheureux de tous dans l'autre vie, car chez-lui le bien ne peut pas être séparé du mal, quoique généralement le bien et le mal soient séparés dans l'autre vie ; et il n'a aucun reste du bien renfermé dans ses intérieurs, parce que les restes ont entièrement péri dans le mal ; l'enfer de ceux-là est du côté antérieur à gauche, à une grande distance ; et ceux qui l'habitent apparaissent à la vue angélique comme des squelettes, ayant à peine quelque vie. Afin donc qu'il n'y ait pas profanation du bien et du vrai, l'homme qui est d'une telle nature, qu'il ne se laisserait pas régénérer, ce qui est prévu par le Seigneur, est détourné de la foi et de la charité, et il lui est permis d'être dans le mal et par là dans le faux ; car alors il ne peut pas profaner ; voir ce qui a déjà été dit et montré sur la profanation, numéros 301, 302, 303, 571, 582, 593, 1001, 1008, 1010, 4059, 1327, 1328, 2051, 2426, 3398, 3399, 3402, 3489, 3898, 4289, 4601.

  
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