Bible

 

Jérémie 51:25

Studie

       

25 Voici, j'en veux à toi, montagne qui détruis, dit l'Eternel, qui détruis toute la terre; et j'étendrai ma main sur toi, et je te roulerai en bas du haut des rochers, et je te réduirai en montagne d'embrasement.

Ze Swedenborgových děl

 

Apocalypse Explained # 1034

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 1232  
  

1034. Verse 2. With whom the kings of the earth committed whoredom, signifies that they have falsified all the truths of the church. This is evident from the signification of "committing whoredom," as being to falsify (See n. 141, 161, 817, 881); also from the signification of "the kings of the earth," as being the truths of the church, "kings" being truths, and the "earth" the church. "Kings" are mentioned in many places in the Word, and it is supposed that kings or their kingdoms are thereby meant; but in the Word "kings" mean all who are in truths from good from the Lord, and in an abstract sense, in which is the spiritual sense, they mean truths from good. That this is the meaning of "kings" may be seen above (n. 29, 31, 553, 624, 625). This can be further seen from the following in Revelation:

Jesus Christ, the Prince of the kings of the earth, who hath made us kings and priests (Revelation 1:5-6).

Again:

The Lamb made us kings and priests, that we might reign upon the earth (Revelation 5:10; likewise Revelation 16:12, 14).

[2] Because "kings" signify truths from good, they also signify in the contrary sense falsities from evil. For most expressions in the Word have also a contrary sense. Such is the signification of "kings" in the following passages in this chapter:

The seven heads of the beast are seven kings; the five are fallen, and the one is, and the other is not yet come; and when he is come he must continue a little while (Revelation 17:10).

Also:

The ten horns that thou sawest are ten kings (Revelation 17:12).

Again:

The woman is the great city which hath kingship over the kings of the earth (Revelation 17:18).

So, too, in a subsequent passage, where it is said:

That the beast, the kings of the earth, and their armies, made war with Him that sat on the white horse (Revelation 19:19).

All this makes clear the signification of the words "the kings of the earth committed whoredom with the harlot that sitteth upon many waters," namely, that the truths of the church have been falsified by those who are of Babylon. So again in a subsequent passage, where it is said that:

The kings of the earth committed whoredom with that woman, and the merchants of the earth are waxed rich from the abundance of her delicacies. The kings of the earth, who have committed whoredom and lived deliciously with her, shall weep and lament over her (Revelation 18:3, (Revelation 18:9)Revelation 18:11).

"Kings" have a like signification in Daniel:

As for the ten horns of the fourth beast, out of this kingdom ten kings shall arise; and another shall arise after them, and he shall be diverse from the former, and he shall put down three kings (Daniel 7:24).

[3] "Kings" signify those who are in truths from good, and in an abstract sense truths from good, because the Lord is called "king" from Divine truth, and "priest" from Divine good; and therefore the heaven where Divine truth reigns is called "His throne." For the same reason angels in the heavens and men on earth who are in truths from good from the Lord are called "sons of the king," also "sons of the kingdom" and "heirs;" consequently such are meant by "kings" where the Lord is called "King of kings" (as in the fourteenth verse of this chapter, and in chapter 19 Revelation 17:17; and elsewhere (Revelation 19:16).

  
/ 1232  
  

Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.

Ze Swedenborgových děl

 

Arcanes Célestes # 3603

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 10837  
  

3603. Et tu briseras son joug de dessus ton cou, signifie qu'il y aura alors conjonction par le bien et que le vrai appartiendra au bien : on le voit par la signification de briser le joug de dessus le cou, en ce que c'est la délivrance ; que le cou signifie l'influx et la communication, et par suite la conjonction, et le joug sur le cou, la fermeture et l'interception, c'est ce qu'on voit numéro 3542 ; ainsi, briser le joug de dessus le cou, c'est la délivrance de la fermeture et de l'interception, par conséquent la conjonction par le bien, et alors le Vrai appartient au bien, car lorsqu'il n'y a plus ni fermeture ni interception, le bien influe et se conjoint au vrai. D'après ce qui a été dit et montré jusqu'ici, on peut voir comment ces choses se passent ; mais il en est peu qui comprennent ce que c'est que la priorité apparente du vrai et l'infériorité du bien pendant ce temps, et cela par cette raison principalement qu'il en est peu qui réfléchissent sur de telles choses, et que de plus on ne réfléchit pas même au sujet du bien, qu'il est distinct du vrai ; tous ceux-là qui vivent de la vie de l'amour de soi et de l'amour du monde ignorent aussi ce que c'est que le bien, car ils ne croient pas qu'il y ait d'autre bien que ce qui provient de ces deux amours ; et comme ils ignorent ce que c'est que le bien, ils ignorent aussi ce que c'est que le vrai, car le vrai appartient au bien ; ils savent, à la vérité, d'après la révélation, que le bien, c'est aimer Dieu et le prochain, et que le vrai ce sont les doctrinaux qui sont tirés de la Parole ; mais comme ils ne conforment pas leur vie à ces doctrinaux, ils n'ont aucune perception de ce bien ni de ce vrai, mais ils ont seulement des connaissances séparées d'avec le bien et le vrai ; bien plus, ceux-là mêmes qui sont régénérés ne savent pas non plus ce que c'est que le bien avant qu'ils aient été régénérés ; car avant cette régénération ils s'imaginaient que le vrai était le bien, et que faire selon le vrai, c'était faire le bien, lorsque cependant ce qu'ils font alors est non pas le bien, mais le vrai ; quand l'homme est dans cet état, il est dans l'état qui est décrit par Jacob et dans la bénédiction donnée à Jacob ; mais quand l'homme vient dans l'état où il fait le bien d'après l'affection du bien, c'est-à-dire quand il a été régénéré, il vient dans l'état qui est décrit dans la Bénédiction donnée à Esaü : cela peut être illustré par les choses qui se manifestent chez l'homme dans son premier âge et dans le second, et ensuite dans le troisième et le quatrième ; l'homme, dans le premier âge, ne sait que de mémoire les choses qui sont dans la Parole, il en est de même de celles qui sont dans les doctrinaux de la foi, et alors il se croit bon, quand il en connaît un grand nombre, et peut en appliquer quelques-unes non à sa vie, mais à celle des autres ; dans le second âge, quand il a grandi davantage, il n'est pas content de posséder par la mémoire seule les choses qui sont dans la Parole et celles qui sont dans les doctrinaux, mais il commence alors à y réfléchir, d'après sa pensée, et en tant qu'il peut y ajouter par sa pensée, cela lui plaît ; par là il est dans l'affection du vrai d'après un certain amour mondain, qui aussi est un moyen pour qu'il apprenne plusieurs choses qui sans cela auraient été laissées de côté : mais dans le troisième âge, s'il est du nombre de ceux qui peuvent être régénérés, il commence à penser à l'usage, et alors à réfléchir sur les choses qu'il lit dans la Parole et puise dans les doctrinaux, en vue de l'usage ; quand il est dans cet étal, l'ordre est renversé, savoir, en ce que le vrai n'est plus ainsi placé au premier rang : mais dans le quatrième âge, quand c'est l'âge de sa régénération, comme alors l'état est plein, ainsi qu'il a été dit numéro 2636, il aime la Parole et les doctrinaux tirés de la Parole, c'est-à-dire le Vrai, en vue du bien de la vie, par conséquent d'après le bien de la vie ; ainsi se trouve au premier rang le bien qui, jusqu'à ce moment, avait été en apparence au second rang : si le bien a été en apparence au second rang, cela vient de ce qu'il était caché intimement dans toute son affection, et n'a pu se manifester, parce qu'il y avait au dehors des choses avec lesquelles il ne pouvait pas concorder, savoir, des choses vaines et futiles, comme sont celles qui appartiennent à la gloire du monde et de soi-même ; mais après qu'il a été régénéré, ces choses se retirent ; et le bien, qui était caché intimement, son comme d'une prison et influe dans les choses qui sont au dehors, et il fait que les vrais sont à lui, ou sont des vrais du bien, et ainsi il se manifeste. Le Bien chez l'homme est, pendant ce temps-là, comme cet involontaire qui est dans son volontaire, dans chacune des choses qu'il pense, et par suite dans chacune des choses qu'il fait ; l'homme ne sait pas qu'il a cet involontaire, parce qu'il ne perçoit chez lui autre chose que ce qui est sien, c'est-à-dire volontaire ; cet involontaire est double, l'un est son héréditaire qui lui vient du père et de la mère, l'autre influe du Seigneur par le Ciel ; quand l'homme grandit, celui qui lui vient de ses parents par l'héréditaire se manifeste de plus en plus, si l'homme est tel qu'il ne se laisse point régénérer, car c'est delà qu'il tire les maux et qu'il les fait siens ou propres ; mais l'involontaire qui influe du Seigneur par le Ciel se manifeste dans l'âge adulte chez ceux qui sont régénérés ; chez ceux-ci cet involontaire a, pendant ce temps, disposé et gouverné en général et en particulier toutes les choses de la pensée et aussi de la volonté, quoiqu'il ne se soit pas montré.

  
/ 10837