Bible

 

Jérémie 51:23

Studie

       

23 Et par toi j'ai mis en pièces le pasteur et son troupeau; et par toi j'ai mis en pièces le laboureur et ses bœufs accouplés; et par toi j'ai mis en pièces les gouverneurs et les magistrats.

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Marriage # 93

  
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93. Those who are spiritually adulterous are distinguished from those who are naturally adulterous. The latter, if they have taken pleasure in adulteries and no pleasure in marriages are shut out of heaven and are sent to hells. But the spiritually adulterous, although they feel there is nothing in adulteries which is not allowed, are all the same examined, and some are reformed; others are given places in accordance with their lives.

  
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Thanks to the Swedenborg Society for the permission to use this translation.

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Arcanes Célestes # 916

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916. Tout animal et tout reptile signifient les biens de l'homme de cette Eglise, l'animal, les biens de l'homme interne ; le reptile les biens de l'homme externe, Tout oiseau et tout ce qui rampe sur la terre signifient les vérités ; l'oiseau, les vérités de l'homme interne ; ce qui rampe sur la terre, les vérités de l'homme externe.

Ces significations résultent évidemment de ce qui a été dit et expliqué, vers. 17, au sujet de l'animal, de l'oiseau et du reptile rampant. Là, c'était le reptile rampant, parce qu'il signifiait tout à la fois et le bien et le vrai de l'homme externe. Comme c'est ici la conclusion de ce qui précède, on y adjoint ce qui appartient à l'Eglise, savoir : ses biens et ses vérités ; et par eux on indique aussi la qualité de l'Eglise, c'est-à-dire qu'elle était spirituelle ; on indique encore qu'elle était devenue telle, c'est-à-dire que la charité ou le bien était le principal ; c'est pour cela qu'on nomme ici, d'abord l'animal et le reptile, et ensuite l'oiseau et ce qui rampe. L'Eglise est nommée spirituelle, quand elle agit par la charité ou par le bien de la charité ; quand elle dit avoir la foi sans la charité, elle ne peut être nommée spirituelle ; elle n'est pas même alors une Eglise ; car, qu'est-ce que la doctrine de la foi, si elle n'est la doctrine de la charité ? Et pourquoi y a-t-il une doctrine de la foi, si ce n'est pour qu'on agisse comme elle enseigne ? Savoir et penser comme elle enseigne, cela ne peut subsister ; mais devenir comme elle enseigne, voilà seulement ce qui subsiste. C'est pourquoi l'Eglise spirituelle n'est véritablement Eglise que quand elle agit par la Charité, qui est la doctrine même de la foi ; ou, ce qui est la même chose, ce n'est qu'alors seulement que l'homme de l'Eglise devient Eglise. De même, qu'est-ce que le précepte ? Est-ce pour qu'on le sache qu'il a été donné ? N'est-ce pas plutôt pour que l'homme y conforme sa vie ? Car alors il a en soi le Royaume du Seigneur ; en effet le Royaume du Seigneur consiste seulement dans l'amour mutuel, et dans la félicité qui en résulte. Ceux qui séparent la foi d'avec la charité, et qui placent le salut dans la foi sans les biens de la charité, sont des Caïnites, qui tuent leur frère Habel, c'est-à-dire, la charité ; ils sont comme des oiseaux qui voltigent autour d'un cadavre ; car une telle foi est un oiseau, et le cadavre est l'homme sans la charité. C'est aussi de cette manière qu'ils se font une conscience bâtarde suivant laquelle ils peuvent vivre comme des diables, haïr et persécuter le prochain, passer toute leur vie dans les adultères, et néanmoins être sauvés, ainsi qu'on le sait très-bien dans le Monde Chrétien. Que peut-il y avoir de plus doux pour l'homme que d'entendre direct de se persuader qu'il peut être sauvé, quand bien même il vivrait comme une bête féroce ? Les Gentils eux-mêmes perçoivent que cette croyance est fausse, et un grand nombre d'entre eux, voyant quelle est la vie des Chrétiens, abhorrent leur doctrine il réquite aussi de la qu'on ne mène nulle part une vie plus détestable que dans le Monde Chrétien.

  
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