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Jérémie 51:18

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18 Elles ne sont que vanité, et un ouvrage propre à abuser; elles périront au temps de leur visitation.

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L’Apocalypse Révélée # 672

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672. Vers. 15:7. Et l'un des quatre Animaux donna aux sept Anges sept fioles d'or, signifie que ces vrais et ces biens, par lesquels les maux et les faux de l'Église sont découverts, sont tirés du sens de la lettre de la Parole. Que les quatre animaux, qui sont des Chérubins, signifient la Parole dans les derniers, et les gardes, de peur que ses vrais et ses biens réels ne soient violés, on le voit ci-dessus. No. 239 ; et comme les vrais et les biens intérieurs de la Parole sont gardés par le sens de sa lettre, c'est pour cela que ce sens de la Parole est signifié par l'un des quatre animaux ; par les sept fioles, il est signifié la même chose que par les sept plaies, car elles sont les contenants, et par les contenants dans la Parole sont signifiées les mêmes choses que par les contenus ; par exemple, par la coupe la même chose que par le vin, et par le plat la même chose que par le mets : que par les coupes, les calices, les fioles, les plats, il soit signifié les mêmes choses que par les contenus, on le verra dans ce qui va suivre : ce qui est signifié par les sept Anges a été dit ci-dessus : s'il leur a été donné des fioles, c'est parce qu'il s'agit de l'influx du vrai et du bien dans l'Eglise pour découvrir les maux et les faux, et que les vrais et les biens nus ne peuvent influer ; en effet, ils ne sont point reçus, mais les vrais revêtus, tels qu'ils sont dans le sens de la lettre de la Parole, sont reçus ; et, outre cela, le Seigneur opère toujours d'après les intimes par les derniers, ou dans le plein : voilà pourquoi il fut donné aux Anges des fioles, par lesquellessont signifiés les vrais et les biens contenants, tels qu'ils sont dans le sens de la lettre de la Parole, par lesquels les faux et les maux sont découverts : que le sens de la lettre de la Parole soit le contenant, on le voit dans la DOCTRINE DE LA NOUVELLE JÉRUSALEM SUR L'ÉCRITURE SAINTE, Nos. 27 à 36, et 37 à 49. Que par les fioles, les plats, les coupes et les calices, et par les outres, soient signifiées les choses qui y sont contenues, on peut le voir par les passages suivants :

— « Ainsi m'a dit Jéhovah : Prends de ma main ce CALICE de colère, et fais boire toutes les nations ; quand elles refuseront de prendre le CALICE, lu diras : Buvant vous boirez. » — Jérémie 25:15-16, 28.

— « CALICE d'or, Babel, dans la main de Jéliovah, enivrant toute la terre. » — Jérémie 51:7.

— « Je mettrai le CALICE de la sœur dans ta main ; d'ivresse et de tristesse tu seras remplie, par le CALICE de dévastation, par le CALICE de ta sœur Samarie. » — Ézéchiel 23:31-34 — . « A ta ronde ira vers toi le CALICE de Jéhovah, afin qu'un vomissement soit sur ta gloire. » — Habacuc 2:16.

— « Aussi vers toi, Fille d'Édorn, passera le CALICE ; tu t'enivreras, et tu te mettras à nu. » — Lamentations 4:21.

— « Jéliovah fera pleuvoir sur les impics ; un vent de tcm.pétes (sera) la portion de leur CALICE. » — Psaumes 11:6.

— « Un CALICE est dans la main de Jéhovah, et du vin il y a mêlé ; il l'a rempli d'un mélange, et il en a versé ; ils-en boiront, tous les impies de la terre. » — Psaumes 75:9.

— « Ceux qui adoreront lu bêle boiront du vin de la colère de Dieu, mêlé au (vin) pur dans la COUPE de son emportement. » — Apocalypse 14:10.

— « Réveille-toi, lève-toi, Jérusalem, qui as bu de la main de Jéliovah le CALICE de sa colère ; les Iles du CALICE de tremblement, tu les as bues. » — Ésaïe 51:17.

— « La femme ayant en sa main une coupe d'or, pleine d'abomination et d'impureté de sa scortalion. » — Apocalypse 17:4.

— « Doublez-lui au double ; dans la COUPE où elle a mélangé, mélangez-lui double. » — Apocalypse 18:6.

— « Moi j'établis Jérusalem en CALICE de tremblement pour tous les peuples. » — Zacharie 12:2.

— « Pharisien aveugle, nettoie premièrement l'intérieur de la coupe, afin qu'aussi l'extérieur devienne net. » — Matthieu 23:25, 20 ; Luc 11:39.

— « Jésus dit aux fils de Zébédée : Pouvez-vous boire la COUPE que je dois boire ? » — Matthieu 20:22-23 ; Marc 10:38-39.

— « Jésus dit à Pierre : La COUPE, que M'a donnée le Père, ne la boirai-je pas ? » — Jean 18:11.

— « Jésus dans Getlisémané dit : S'il est possible, qu'elle passe loin de Moi, cette COUPE! » — Matthieu 26:39, 42, 44.

— « Jésus, prenant la COUPE, dit : Buvez-en tous ; ceci est mon sang, celui du Nouveau Testament. » — Matthieu 26:27-28 ; Marc 14:23, 24. Luc 22:17.

— « Jéhovah, mon CALICE ; Toi, tu soutiens mon lot. » — Psaumes 16:5.

— « Tu dresseras devant moi la table, ma coupe aura abondance. » — Psaumes 23:5.

— « Que rendrai-je à Jéhovah ? La COUPE de saints je prendrai. » — Psaumes 106:12, 13.

— « Abreuver du CALICE de consolations. » — Jérémie 16:7.

— Semblable chose que par le calice et la coupe est aussi signifiée par la fiole, et même par l'outre, — Matthieu 9:17 ; Luc 5:37-38 ; Jérémie 13:12 ; 48:12. Habacuc 2:15.

— Par les coupes, les encensoirs et les cassolelles, dans lesquels il y avait les parfums, il est signifié la même chose que par les parfums ; en général, par les vases de tout genre, la même chose que par ce qui est en eux.

  
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Arcanes Célestes # 582

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582. Après que furent entrés les fils de Dieu vers les filles de l‘homme, et qu'elles leur eurent enfanté, signifie que lorsqu'ils eurent plongé les doctrinaux de la foi dans leurs cupidités ils devinrent Néphilim : on le voit d'après ce qui vient d'être dit et montré, Vers. 2, à savoir, que les fils de Dieu signifient les doctrinaux de la foi, et les filles, les cupidités ; l'enfantement qui en résulte ne peut être que le mépris et la profanation des choses saintes de la foi ; car les cupidités de l'homme, qui proviennent de l'amour de soi et du monde, sont entièrement opposées à tout ce qui est saint et vrai ; et chez l'homme les cupidités ont le dessus ; en conséquence, quand le saint et le vrai, qui ont été reconnus, sont plongés dans les cupidités, s’en est fait de l'homme ; car ces cupidités ne peuvent être ni extirpées ni détruites ; elles sont inhérentes à chaque idée, et les idées, dans l'autre vie, ont une communication réciproque ; aussi dès que quelque idée du saint et du vrai est produite, le profane et le faux y sont adjoints, ce qui est aussitôt et à l'instant perçu : c'est pour cela que ceux qui sont dans cette position doivent nécessairement être séparés et précipités dans l'enfer.

  
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