Bible

 

Jérémie 51:17

Studie

       

17 Tout homme paraît abruti dans sa science; tout fondeur est rendu honteux par les images taillées; car ce qu'ils fondent est une fausseté, et il n'y a point de respiration en elles.

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Arcanes Célestes # 2686

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2686. Que l'arc soit la doctrine du vrai, c'est ce qu'on voit par sa signification. Dans la Parole, partout où il s'agit de Guerres, et partout où sont racontées des guerres, il n'est signifié, dans le sens interne, que des guerres spirituelles, numéro 1664. Il y a eu aussi, dans l'Ancienne Église, des Livres qui étaient intitulés les Guerres de Jéhovah, comme on le voit dans Moïse, - Nombres 21:14-15, 16, - ces guerres qui avaient été écrites en style prophétique avaient un sens interne, et traitaient des combats et des tentations du Seigneur, ainsi que des combats et des tentations de l'Église et des hommes qui sont de l'Eglise ; c'est ce qui est évident, parce que quelques passages en ont été extraits par Moïse ; on le voit aussi par d'autres Livres de cette Église, qui sont nommés Livres des Enoncés prophétiques, - dont il est parlé, Nombres 21:27, 28, 29, 30, - dans lesquels sont presque les mêmes paroles qu'on trouve dans Jérémie, Confér. Nombres 21:28, Jérémie 48:45.

On peut aussi conclure par ces Livres que l'Ancienne Église a eu des Écrits, tant Historiques que Prophétiques, qui étaient Divins et inspirés, et qui, dans le sens interne, traitaient du Seigneur et de son Royaume, et que ces Écrits étaient la Parole pour les hommes de cette Église, comme sont pour nous les Livres Historiques et Prophétiques qui, dans le sens de la lettre, traitent des Juifs et des Israélites, mais qui, dans le sens interne, traitent du Seigneur et des choses appartenant au Seigneur. Comme la Guerre, dans la Parole ainsi que dans les Livres de l'Ancienne Eglise, signifiait la Guerre spirituelle, de même toutes les armes, telles que l'Épée, la Lance, le Bouclier, l'Écu, les Traits, les Flèches et l'Arc, signifiaient spécialement les choses qui appartiennent à la Guerre prise dans le sens spirituel ; il sera dit ailleurs, par la Divine Miséricorde du Seigneur, ce que signifie spécialement chacune de ces armes ; ici, il va être parlé de ce qui concerne l'arc, en ce qu'il signifie la doctrine du vrai, et cela, en raison des traits, flèches ou javelots, qui sont les doctrinaux d'après lesquels et avec lesquels combattent ceux surtout qui sont spirituels et qui, à cause de cela, furent jadis appelés Tireurs d'arc : que l'Arc signifie la Doctrine du vrai, c'est ce dont on peut se convaincre par ces passages ; dans Ésaïe :

« Les traits de Jéhovah (sont) aigus, et tous ses Arcs tendus ; les sabots de ses chevaux sont réputés comme le roc, et ses roues comme la tempête. » - Ésaïe 5:28.

Là, il s'agit des vrais de la doctrine ; les traits sont les vrais spirituels, l'arc la doctrine, les sabots des chevaux les vrais naturels ; les roues leur doctrine ; et comme ces choses ont de telles significations, elles sont attribuées à Jéhovah, auquel elles ne peuvent l'être que dans un sens spirituel, autrement ces expressions seraient vaines et non convenables.

Dans Jérémie :

« Le Seigneur a tendu son Arc comme un ennemi, il a affermi sa droite comme celui qui attaque, et il a tué tout ce qui était désirable à l'œil dans la tente de la fille de Sion, il a répandu comme un feu sa colère. » - Lamentations 2:4.

L'Arc est la doctrine du vrai, laquelle se montre à ceux qui sont dans les faux comme quelque chose d'ennemi et d'hostile ; aucun autre arc ne peut se dire du Seigneur.

Dans Habacuc :

« Jéhovah, tu montes sur tes chevaux, tes chars (sont) le salut ; ton Arc sera mis entièrement à nu. » - Lamentations 3:8-9 ;

Dans ce passage l'arc est aussi la doctrine du bien et du vrai.

Dans Moïse :

« Ils l'aigriront et ils lanceront des traits, et ils auront de la haine contre lui les Archers ; il s'assiéra sur la fermeté de son Arc, et les bras de ses mains seront fortifiés par les mains du puissant de Jacob ; de là (il sera) le Pasteur, la Pierre d'Israël. » - Genèse 49:23-24.

Là, il s'agit de Joseph ; l'Arc est la doctrine du bien et du vrai.

Dans Jean :

« Je vis, et voici un cheval blanc, et celui qui était monté dessus avait un Arc ; on lui donna une couronne. » - Apocalypse 6:2.

Le cheval blanc est la sagesse, et celui qui était dessus est la Parole, ainsi qu'il est clairement dit au Chapitre 19 : Vers. 13, où il s'agit de nouveau du cheval blanc ; et comme celui qui était dessus est la Parole, il est évident que l'Arc est la doctrine du vrai, Dans Ésaïe :

« Qui a de l'orient excité la justice ? Il l'a appelé à sa suite ; il a placé devant Lui les nations ; et l'a fait dominer sur les rois ; il (les) a livrés comme de la poussière à son épée, comme de la paille agitée à son Arc. » - Ésaïe 41:2.

Là, il s'agit du Seigneur ; l'épée est le vrai, l'arc est la doctrine qui procède du Seigneur.

Dans le Même :

« Je poserai en eux un signe, et j'enverrai des réchappes d'entre eux vers les nations de Tharschisch, de Pul et de Lud, qui tirent de l'arc, de Thubal et de Javan. » - Ésaïe 66:19.

Ceux qui tirent de l'arc sont ceux qui enseignent la doctrine ; on a vu ce qui est signifié par Tharschisch, numéro 1156 ; par Lud, numéros 1195, 1231 ; par Thubal, numéro 1151 ; par Javan, numéro 1152, 1153, 1155.

Dans Jérémie :

« A la voix du cavalier et du tireur d'arc, toute la ville a fui ; ils sont entrés dans les nuées, et ils sont montés dans les rochers ; toute la ville a été abandonnée. » - Jérémie 4:29.

Le cavalier signifie ceux qui disent le vrai, l'arc est la doctrine du vrai que fuient ou craignent ceux qui sont dans les faux.

Dans le Même :

« Rangez l'armée contre Babel, tout à l'entour ; vous tous qui tendez l'arc, tirez contre elle, n'épargnez pas les traits, parce qu'elle a péché contre Jéhovah. » - Jérémie 50:44, Jérémie 51:2-3.

Là, ceux qui tirent et qui tendent l'arc sont ceux qui disent et qui enseignent la doctrine du vrai.

Dans Zacharie :

« Je retrancherai le Char d'Ephraïm, et le cheval de Jérusalem ; et l'Arc de guerre sera retranché ; et il parlera de paix aux nations. » - .

Ephraïm, c'est l'entendement du vrai de l'Église ; l'arc, c'est la doctrine. Dans Samuel :

« David prononça une lamentation sur Saül et sur Jonathan son fils ; et il l'intitula : Enseignement aux fils de Juda pour l'arc. » - 2 Samuel 1:17-18.

Là, il s'agit, non de l'arc, mais des doctrinaux de la foi.

Dans Ézéchiel :

« Parole du Seigneur Jéhovih : c'est le jour dont j'ai parlé ; et les habitants des villes d'Israël sortiront, et ils embraseront et brûleront les armes, et l'écu, et le bouclier, et l'Arc, et les traits, et le bâton de main et la lance, et ils y embraseront le feu sept ans. » - Ézéchiel 39:9.

Les armes, nommées dans ce passage, sont toutes des armes de la guerre spirituelle ; l'arc avec les traits, c'est la doctrine et ses vrais.

Dans l'autre vie, les vrais mêmes séparés d'avec les biens paraissent comme des traits, quand ils sont représentés à la vue. De même que l'Arc signifie la doctrine du vrai, de même il signifie dans le sens opposé la doctrine du faux : les expressions de ce genre, dans la Parole, ont pour la plupart un sens opposé, comme il a été dit et montré très souvent ;

Par exemple, dans Jérémie :

« Voici, un peuple vient de la terre du Septentrion, et une grande nation sera excitée des confins de la terre ; ils saisissent l'Arc et la lance ; cette (nation est) cruelle, et ils n'auront point de compassion ; leur voix sera tumultueuse comme la mer, ils seront montés sur des chevaux, équipés comme un homme de guerre, contre toi, fille de Sion. » - Jérémie 6:22-23 ; dans ce passage l'arc est pris pour la doctrine du faux.

Dans le Même :

« Voici, un peuple vient du septentrion, et une grande nation et plusieurs rois seront excités des confins de la terre ; ils tiennent l'Arc et la lance, ils (sont) cruels, et ils n'ont point de compassion. » - Jérémie 50:41-42.

Même signification.

Dans le Même :

« Ils tendent leur langue, leur Arc (pour) le mensonge, et non pour la vérité ; ils prévalent dans la terre, » parce qu'ils s'en sont allés d'un mal dans un mal, et ils ne M'ont point connu. » - Jérémie 9:1, 2.

Que l'arc soit la doctrine du faux, ou le voit clairement, car il est dit qu'ils tendent la langue, que leur arc est pour le mensonge et non pour la vérité.

Dans le Même :

« Ainsi a dit Jéhovah Zebaoth : voici, Moi je vais briser l'Arc et d'Elam, le principe de sa force. » - Jérémie 49:35.

Dans David :

« Allez, voyez les œuvres de Jéhovah, qui met des solitudes en la terre, faisant cesser les guerres jusqu'à l'extrémité de la terre ; il brise l'Arc, il coupe la lance, il brûle les chariots au feu.

Psaumes 46:9-10.

Dans le Même :

« En Juda Dieu est connu, en Israël son Nom (est) grand ; et en Schalem sera son tabernacle, et son habitacle en Sion ; là il a brisé les traits enflammés de l'Arc, le bouclier, et l'épée, et la guerre. » - Psaumes 76:2-3, 4.

Dans le Même :

« Voici, les impies tendent l'Arc, ils préparent leurs flèches sur la corde pour (les) lancer dans les ténèbres contre ceux qui ont le cœur droit. » - Psaumes 11:2.

Ici, l'arc et les flèches sont évidemment pris pour les doctrinaux du faux.

  
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Arcanes Célestes # 9182

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9182. Quand aura persuadé un homme à une vierge, qui ne sera, point fiancée, signifie le bien non conjoint au vrai : on le voit par la signification de persuader, quand cela est dit d'un homme et d'une vierge, en ce que c'est attirera la conjonction ; par la signification de l'homme, en ce qu'il est le vrai, numéros 3134, 7716, 9007 ; par la signification de la vierge, en ce que c'est, l'Église quant au bien, numéros 3081, 4638 ; ainsi le bien qui appartient à l'Église ; et par la signification d'être fiancé, en ce que c'est la conjonction. Il sera dit ici en peu de mots d'où la Loi sur la conjonction illégitime, dont il s'agit maintenant, tire sa cause et son origine : Toutes les lois données aux fils d'Israël ont leur cause dans le ciel, et tirent leur origine des lois de l'ordre qui existe dans le ciel ; les lois de l'ordre dans le ciel viennent toutes du Divin Vrai et du Divin Bien qui procèdent du Seigneur, de là les lois du bien de l'amour et du vrai de la foi ; la conjonction du bien et du vrai dans le ciel est appelée mariage céleste ; et ce mariage est représenté dans les mariages sur la terre, et est aussi signifié par les mariages dans la Parole ; d'après cela, on voit clairement ce qu'enveloppent les conjonctions illégitimes, et aussi ce qu'enveloppent les scortations et les adultères ; dans ces deux Versets, il s'agit de la conjonction illégitime qui ensuite ou devient légitime, ou se dissout ; dans ce Verset il s'agit de la conjonction illégitime qui ensuite devient légitime ; et dans le Verset suivant, il s'agit de la conjonction illégitime qui ensuite se dissout. Est illégitime la conjonction qui se fait non d'après l'affection conjugale, mais d'après toute autre affection, telle que l'affection de la beauté, l'affection du gain, l'affection de la dignité de la personne, et aussi celle qui se fait d'après la lasciveté ; ces conjonctions sont illégitimes dans le principe par la raison que ce sont les externes qui conjoignent, et non en môme temps les internes : mais néanmoins d'après les externes comme moyens la conjonction peut ensuite devenir légitime, ce qui arrive quand les mentals naturels se conjoignent ; et la conjonction peut aussi d'après les externes devenir ensuite nulle, ce qui arrive quand les mentais naturels se disjoignent ; qu'il en soit ainsi, cela est communément notoire dans le monde. La conjonction légitime, qui est celle des mentais naturels, se fait quand ils sont tous deux dans un semblable bien et dans un semblable vrai, car le bien et le vrai font la vie de l'homme, le bien et le vrai moraux et civils la vie de l'homme externe, et le bien et le vrai spirituels la vie de l'homme interne ; il faut qu'on sache que la vie de l'homme ne vient d'autre part que du bien et du vrai, car tout ce que l'homme aime est appelé bien., et tout ce que l'homme croit est appelé vrai, ou, ce qui est la même chose, tout ce que l'homme veut est appelé bien, et tout ce que l'homme comprend est appelé vrai ; de là il est évident que la conjonction légitime se fait quand l'un des époux est dans le vrai, et que l'autre est dans le bien correspondant ; car ainsi dans les deux est représenté le mariage céleste, qui est celui du bien et du vrai : c'est de là que l'amour conjugal descend de ce mariage, voir numéros , 2803, 3132, 4434, 4835. D'après ces détails, comme préliminaires, on peut savoir ce qu'il en est de ces conjonctions, dont il s'agit dans ce Verset et dans le suivant. Les fiançailles précédant les mariages avaient été reçues dans les temps Anciens, et elles représentaient la première conjonction, qui est celle de l'homme Interne sans l'homme Externe ; ensuite les mariages eux-mêmes représentaient la seconde conjonction, qui est celle de l'homme Interne avec l'homme Externe ; car lorsque l'homme est régénéré par les biens et par les vrais de la foi, l'homme Interne est d'abord régénéré, et ensuite l'homme Externe, parce que celui-ci l'est par celui-là, numéros 3286, 3321, 3493, 3882, 8746. D'après cela, on voit clairement ce qui est signifié, dans la Parole, par les fiançailles et par être fiancé, et aussi ce qui est signifié par le fiancé et la fiancée, savoir, par les fiançailles la conjonction du vrai et du bien dans l'homme Interne ; par le fiancé, lorsqu'il s'agit du Seigneur et de l'Église, le bien ; et par la fiancée, le vrai ; comme dans les passages suivants ; dans Jérémie :

« Je me suis souvenu pour toi de la miséricorde de ta jeunesse, de l'amour de tes fiancailles, quand tu allais après Moi, dans le désert, dans une terre non ensemencée. “ - Jérémie 2:2 ;

Là, il s'agit de l'Église Ancienne, et de l'instauration de cette Église par le Seigneur ; l'amour des fiançailles est l'affection de la vie spirituelle, qui provient des vrais de la foi et du bien de l'amour ; l'état de désir, quand on était encore dans l'ignorance et dans le manque de ces vrais et de ce bien, est signifié par aller après Moi dans le désert et dans une terre non ensemencée.

Dans Osée :

« Je traiterai pour eux alliance en ce jour-là avec l'animal du champ, et avec l'oiseau des deux, et le reptile de la terre ; et arc et épée et guerre je briserai ; et je te fiancerai à Moi en justice et en jugement, et en miséricorde et en commisérations. » - Osée 2:18-19 ;

Là, il s'agit de l'instauration de l'Église nouvelle ; traiter alliance avec l'animal du champ, avec l'oiseau et avec le reptile de la terre, c'est la conjonction du Seigneur par le bien et le vrai internes et externes chez l'homme ; l'alliance est la conjonction, numéros 665, 666, 1023, 1038, 1864, 1996, 2003, 2021, 6804, 8767, 8778 ; l'animal du champ est la vie d'après le bien, numéros 841, 908 ; l'oiseau est la vie du vrai, numéros 40, 745, 776, 991, 3219, 5149, 7441 ; le reptile de la terre, ce sont les biens et les vrais de l'homme externe et sensuel, numéros 746, 909 ; briser l'arc, l'épée et la guerre, c'est détruire la doctrine et les forces du faux, l'arc est la doctrine du faux, numéros 2686, 2709 ; l'épée est le faux qui combat contre le vrai, numéros 2799, 4499, 6353, 7102 ; la guerre est le combat lui-même, ou le combat spirituel, numéros 1664, 2686, 8273 ; les briser, c'est les détruire ; fiancer en justice et en jugement, c'est être conjoint au Seigneur dans le bien et dans le vrai ; fiancer, c'est conjoindre à soi ; la justice se dit du bien, et le jugement se dit du vrai, numéro 2235 ; fiancer en miséricorde et en commisérations, c'est d'après l'amour envers ceux qui sont dans le bien, et dans l'amour envers ceux qui sont dans les vrais ; la miséricorde du Seigneur se dit à l'égard de ceux qui sont dans le manque et cependant dans le désir du bien, et les commisérations se disent à l'égard de ceux qui sont dans l'ignorance et cependant dans le désir du vrai ; d'après cela, il est évident que les fiançailles sont la conjonction du bien et du vrai chez l'homme par le Seigneur ; chacun peut voir que de telles choses sont signifiées dans ce passage, car devant une perception, qui résulte seulement de la lueur naturelle, il est évident que Jéhovah traite alliance, non avec l'animal du champ, ni avec l'oiseau, ni avec le reptile de la terre, mais avec ceux qui sont dans le bien et le vrai de la foi, ainsi avec le bien et le vrai chez l'homme, que par conséquent ce sont de telles choses qui sont cachées dans ce prophétique.

Dans Malachie :

« Perfidement a agi Jehudah, parce qu'il a profané la sainteté de Jéhovah, en ce qu'il a aimé et s'est fiancé la fille d'un Dieu étranger. " - Malachie 2:11.

se fiancer la fille d'un Dieu étranger, c'est être conjoint au mal du faux, le Dieu étranger est le faux, numéros 4402f., 4544, 7873. Que le fiancé, quand il s'agit du Seigneur et de l'Église, soit le bien, et la fiancée le vrai, on le voit dans Ésaïe :

« Jéhovah m'a revêtu de vêtements de salut, d'un manteau de justice il m'a couvert, comme le fiancé met une tiare, et comme la fiancée se pare de ses bijoux. » - Ésaïe 61:10 ;

Dans Jean :

« Je vis la ville, la sainte Jérusalem, descendant de Dieu par le ciel, parée comme une fiancée ornée pour son mari. “ - Apocalypse 21:1-2.

Dans le Même :

« L'Ange dit : Viens, je te montrerai la fiancée, de l'Agneau réponse. “ - Apocalypse 21:9-10 ;

Ici la fiancée est l'Église.

Dans Matthieu :

« Jésus dit aux disciples de Jean : Est-ce que peuvent les fils des noces s'affliger, tant qu'avec eux est le fiancé ? Mais viendront des jours, quand sera enlevé d'avec eux le fiancé, et alors ils jeûneront. “ - Jean 9:15 ; et Luc 5:3/i, 35 ;

-sont appelés fils des noces ceux qui sont dans les vrais de l'Eglise et reçoivent le bien, car le bien qui procède du Seigneur est le fiancé ; si les fils des noces ne doivent point s'affliger tant que le fiancé est avec eux, c'est parce qu'ils sont dans un état de béatitude et de félicité, ainsi chez le Seigneur, quand ils sont dans des vrais conjoints à leur bien ; ils jeûneront quand le fiancé sera enlevé d'avec eux, c'est qu'ils sont dans un état de malheur, quand le bien n'est plus conjoint aux vrais ; cet état est le dernier état de l'Église, mais l'autre est le premier état. La même chose est signifiée par le fiancé, à la rencontre duquel sortirent les dix vierges, dans ; car les vierges qui avaient de l'huile dans leurs lampes sont ceux qui ont le bien dans leurs vrais ; et celles qui n'avaient point d'huile dans leurs lampes sont ceux qui n'ont pas le bien dans leurs vrais, voir numéro 4633 ; et l'huile est le bien de l'amour, numéros 886, 3722, 4582.

Dans Jean :

« Jean dit : Je ne suis point, moi, le Christ, mais j'ai été envoyé devant Lui ; celui qui a la fiancée, fiancé il est ; mais l'ami au fiancé, qui se tient debout et L'écoute, de joie se réjouit à cause de la voix du Fiancé. " - Jean 3:28-29.

La fiancée est le vrai qui appartient à la foi de l'Église, et le fiancé est le bien qui appartient à l'amour de l'Église, l'un et l'autre procédant du Seigneur ; ainsi c'est l'homme de l'Église, chez lequel le bien a été conjoint aux vrais. D'après cela, on voit encore clairement ce qui est entendu dans le sens interne par la joie et par la voix du fiancé et de la fiancée, dans Ésaïe 62:5 ; dans . Apocalypse 18:23-c'est-à-dire que c'est le ciel et la félicité d'après la conjonction du bien et du vrai chez l'homme et chez l'Ange.

  
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