Bible

 

Jérémie 51:15

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15 C'est lui qui a fait la terre par sa vertu, et qui a rangé le monde habitable par sa sagesse, et qui a étendu les cieux par son intelligence.

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L’Apocalypse Révélée # 496

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496. Vers. 11:6. Ceux-ci ont pouvoir de fermer le Ciel, afin qu'il ne tombe point de pluie dans les jours de leur prophétie, signifie que ceux qui ont de l'aversion pour ces deux Essentiels de la Nouvelle Église ne peuvent recevoir aucun vrai venant du Ciel. Ici, par le Ciel est entendu le Ciel Angélique ; par conséquent par la pluie est signifié le vrai de l'Église qui en procède ; c'est pourquoi, par fermer le Ciel, afin qu'il ne tombe point de pluie, il est signifié qu'ils ne peuvent recevoir aucun vrai de l'Église venant du Ciel ; le vrai de l'Église, venant du Ciel, est le vrai de la doctrine d'après la Parole : il est dit que les Témoins ont ce pouvoir, mais il est entendu, ici comme ci-dessus, Nos. 494, que non pas eux ont le pouvoir de fermer le Ciel, mais que ceux-là se le ferment, qui ont de l'aversion pour ces deux Essentiels de la Nouvelle Église, parce qu'ils demeurent dans leurs faux. Que la Pluie signifie le Divin Vrai venant du Ciel, on le voit par ces passages :

— « Elle découlera comme la pluie, ma doctrine ; elle distillera comme la rosée, ma parole. » — Deutéronome 32:2.

— « Si vous servez d'autres dieux, Jéhovah fermera le Ciel, en sorte qu'il n'y ail point de pluie. » — Deutéronome 11:11, 14, 16-17.

— « Je mettrai ma vigne en désolation ; aux nuées je commanderai de ne point faire pleuvoir sur elle de pluie. » — Ésaïe 5:6.

— « Retenues ont été les pluies, et de pluie d'arrière-saison il n'y a point eu ; mais cependant un front de femme prostituée t'est resté. » — Jérémie 3:3.

— « De même que descend ta pluie du Ciel, de même sera ma parole, qui sort de ma bouche. » — Ésaïe 55:10-11.

— « Fils de Sion, soyez dans la joie et dans l'allégresse en Jéhovah, car il vous a donné la pluie juste à propos. » — Joël 2:23.

— « une pluie de bienveillances tu fais dégoutter, ô Dieu! » — Psaumes 68:10.

— « Il descendra comme la pluie sur l'herbe du pré ; dans ses jours fleurira le juste. » — Psaumes 72:6-7.

— « Jéhovah viendra comme la pluie pour nous, comme une pluie d'arrière-saison qui arrose la terre, » — Hosée 6:3.

— « Sur eux dégouttera ma parole, et ils M'attendront comme la pluie ; et leur bouche ils ouvriront pour la pluie de l'arrière-saison. » — Job 29:22-23.

— « Fils de l'homme, dis : Toi, (tu es) une terre qui n'a point été nettoyée, qui n'a point eu de pluie au jour de la colère ; complot de ses prophètes au milieu d'elle. » — Ézéchiel 22:24-25 ; — et en outre ailleurs, — Ésaïe 30:23 ; Jérémie 5:24 ; 10:12-13 ; 14:3-4 ; 51:16 ; Ézéchiel 34:26-27 ; 4:7-8 ; Zacharie 10:1 ; Psaumes 65:10-11 ; 135:7 ; 2 Samuel 23:3-4.

— Pluie inondante au lieu de dévastation du vrai, — Ézéchiel 13:11, 13-14 , Ézéchiel 38:23.

— Au lieu de tentation, — 7:24-27

  
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Arcanes Célestes # 9258

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9258. Et tu aurais négligé de lui retirer, signifie la non-réception du vrai : on le voit par la signification de négliger de retirer, en ce que c'est ne point instruire et ne point amender, ici ne pouvoir pas être instruit, ainsi ne point recevoir le vrai, parce que cela est dit du faux qui ne concorde point avec le bien de l'Église, ce faux est tel : que retirer ait cette signification dans le sens spirituel, cela est évident en ce que les mots s'appliquent au sujet, ainsi retirer dans le sens de la lettre s'applique à la charge sous laquelle l'âne est couché, et dans le sens interne il s'applique au faux qui ne concorde point avec le bien de l'Église ; c'est pourquoi dans ce sens est signifié le non-éloignement du faux par l'amendement, par conséquent aussi la non-réception du vrai par lequel il y a amendement ou éloignement. Il y a des faux qui concordent avec le bien de l'Église, et il y a des faux qui ne concordent point avec ce bien ; les faux qui concordent sont ceux dans lesquels est caché le bien, et qui ainsi par le bien peuvent être ployés vers les vrais ; les faux qui ne concordent point avec le bien de l'Église sont ceux dans lesquels est caché le mal, et qui ainsi ne peuvent être ployés vers les vrais. Quant au bien qui est intérieurement caché dans les vrais réels ou dans les vrais non-réels qui ont été ci-dessus appelés faux, et au mal qui est intérieurement dans les faux et aussi dans les vrais, il en est d'eux comme du prolifique dans la semence du fruit ; quand le fruit naît, toutes ses libres sont tournées vers le prolifique de la semence, et par un suc passant au travers elles le nourrissent et le- forment, mais quand il a été formé, les fibres rebroussent chemin et portent le suc à partir de la semence ; de là, la chair du fruit dépérit et pourrit, et ensuite elle sert d'humus au prolifique ; cela a pareillement lieu pour la semence elle-même, quand son prolifique commence de nouveau à se produire dans la terre : le prolifique dans les plantes correspond au bien dans l'homme, la semence elle-même correspond aux internes, et la chair du fruit autour de la semence correspond aux externes ; quand l'interne de l'homme est formé de nouveau ou régénéré, les scientifiques et les vrais qui appartiennent à l'homme Externe, sont comme les fibres du fruit, par lesquelles le suc est transporté vers l'interne, et dans la suite, quand l'homme a été régénéré, ils sont aussi séparés et servent d'humus ; pareille chose arrive à l'Interne de l'homme, auquel la semence correspond ; alors le bien, qui a été ainsi formé, produit un nouvel homme, comme le prolifique dans la semence produit un nouvel arbre ou une nouvelle plante ; ainsi toutes choses, deviennent nouvelles, et dans la suite elles sont multipliées et fructifiées éternellement : de là, l'homme nouveau devient comme un jardin et comme un paradis, auxquels il est même comparé dans la Parole. Cela est entendu par les paroles du Seigneur dans Matthieu :

« Semblable est le Royaume des deux à un grain de Sénevé, qu'un homme ayant prix sema dans son champ ; plus petit il est que toutes les semences ; mais quand il a crû, plus grand que les légumes il est, et il devient arbre, tellement que viennent les oiseaux du ciel, et ils font leurs nids dans ses branches. » - Matthieu 13:31-32 ;

D'après cela, on peut voir ce qui se passe à l'égard des vrais réels et non-réels, dans lesquels il y a intérieurement le bien, à savoir, que le bien, quand il a été formé, produit des vrais qui concordent avec le bien, lesquels, quoiqu'ils ne soient point des vrais réels, sont cependant acceptés comme réels, parce qu'ils se ressentent du bien, car ils en tirent leur essence et leur vie ; en effet, le bien prolifie et se produit par les vrais, et dans la production il est dans un continuel effort pour enfanter un nouveau bien, dans lequel il y ait un semblable prolifique ; c'est ainsi que fait le prolifique de la semence dans la plante ou dans l'arbre, quand il s'élance hors de terre pour produire de nouveaux fruits et de nouvelles semences : ruais il y a de perpétuelles variétés qui sont en rapport avec les biens formés par la vie de la charité selon les préceptes de la foi. On peut voir, d'après l'opposé, ce qui se passe à l'égard des faux dans lesquels il y a le mal, à savoir, qu'ils sont comme des arbres qui produisent de mauvais fruits, et qui doivent être arrachés et jetés au feu, selon les paroles du Seigneur dans Matthieu :

« Tout arbre bon des fruits bons fait, mais l'arbre pourri des fruits mauvais fait ; ne peut point arbre bon des fruits mauvais faire, ni arbre pourri des fruits bons faire : tout arbre ne faisant pas fruit bon, est coupé et dans le feu jeté ; donc d'après leurs fruits vous les connaîtrez. “ - Matthieu 7:17-18, 19, Matthieu 12:33,

Et dans Jean :

« Jésus dit : Comme le sarment ne peut fruit porter par lui-même, s'il ne demeure dans le cep, de même non plus vous, si en Moi vous ne demeurez : Moi, je suis le cep ; vous, les sarments ; celui qui demeure en Moi, et Moi en lui, celui-là porte du fruit en quantité, car sans Moi vous ne pouvez faire rien : si quelqu'un ne demeure pas en Moi, il sera jeté dehors comme le sarment ; et il sèche, et on le ramasse, et dans le feu on le jette, et il est brûlé. " - Jean 15:4-5, 6 :

De là, il est évident que tout bien qui portera quelque fruit vient du Seigneur, et que, s'il ne vient pas du Seigneur, ce n'est pas un bien.

  
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