Bible

 

Aggée 1:3

Studie

       

3 C'est pourquoi la parole de l'Eternel a été adressée par le moyen d'Aggée le Prophète, en disant :

Komentář

 

Peur

  
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La peur de l'inconnu et la peur du changement sont deux idées communes, qui couvrent ensemble un large spectre des peurs que nous avons tendance à avoir dans la vie naturelle. Dans un sens, elles se cachent également derrière le sens spirituel lorsque les gens sont décrits comme ayant "peur" dans la Bible.

(Odkazy: Arcanes Célestes 223-224, 2215, Arcanes Célestes 6849; Exode 3:6; Genèse 3:10, 18:15)


Selon les écrits, les gens sont décrits comme ayant peur lorsqu'un état spirituel plus exalté et plus interne entre en communication avec un état inférieur et plus externe et démontre la nécessité de réformer et d'élever cet état. C'est le cas des bergers du conte de Noël, qui ont d'abord réagi par la peur lorsque des anges sont venus leur parler d'une toute nouvelle ère spirituelle. C'est vrai pour Moïse au buisson ardent, pour Jacob après la vision de l'échelle, et même pour les disciples qui ont vu Jésus marcher sur la mer de Galilée - tous des cas où un état supérieur leur tendait la main et leur demandait d'embrasser une nouvelle phase de vie spirituelle.

Cela vaut également dans un sens plus négatif, lorsque des états de mal et de fausse pensée entrent en contact avec des choses spirituelles et se sentent menacés par la révélation de leur propre misère.

La Bible parle aussi fréquemment de personnes craignant Dieu, une idée connexe mais différente qui est couverte ailleurs.

(Odkazy: Arcanes Célestes 2543, 3718, 5534, 5647, 5662, 6569; L'Apocalypse Expliquée 677 [4])

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Arcanes Célestes # 2543

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2543. Ces hommes craignirent beaucoup, signifie jusqu'à ce qu'ils eussent en aversion : on le voit par la signification de craindre, ici ; et par la signification des hommes. Craindre ou la crainte, de même que toute affection, renferme en soi plusieurs choses, quoiqu'elle paraisse simple ; savoir, la perte de la vie, de la réputation, de l'honneur, du lucre, dans les choses mondaines ; et dans les choses célestes, la perte du bien et du vrai, et de la vie qui procède du bien et du vrai ; et comme elle renferme ces choses, elle renferme aussi l'aversion pour celles qui s'efforcent de les détruire, et cette aversion est d'autant plus grande que l'homme est dans l'affection du bien et du vrai ; à l'affection même est opposée l'aversion ; c'est pour cela qu'ici craindre signifie avoir en aversion : on voit combien dans le Seigneur fut grande l'aversion, par le zèle avec lequel ont été prononcées les paroles qu'on lit dans le Verset suivant ; c'était un zèle pour la Doctrine, afin qu'elle ne fût souillée par aucun rationnel ni par aucun scientifique : Que les hommes (viri) signifient les rationnels ou les scientifiques, ou les intellectuels quelconques, c'est ce qui a été montré numéros 158, 265, , 1007.

  
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