Bible

 

Genèse 41:43

Studie

       

43 Et le fit monter sur le chariot qui était le second après le sien, et on criait devant lui; qu'on s'agenouille; et il l'établit sur tout le pays d'Egypte.

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Arcanes Célestes # 5291

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5291. Et qu'il impose au cinquième la terre d'Egypte, signifie les choses qui doivent être conservées et ensuite renfermées : on le voit par la signification d'imposer au cinquième, en ce qu'ici cela enveloppe la même chose que dîmer ; dans la Parole dîmer signifie faire des restes (reliquiœ) ; faire des restes, c'est rassembler les vrais et les biens et ensuite les renfermer ; que des restes soient des biens et des vrais renfermés par le Seigneur dans l'homme intérieur, on le voit, numéro 468, 530, 560, 561, 661, 1050, 1906, 2284, 5135 ; et que dans la Parole les restes soient signifiés par des dîmes, on le voit, numéro 576, 1738, 2280 ; et pareillement par dix, numéro 1906, 2284 ; de là aussi par cinq, nombre qui est la moitié du nombre dix ; la moitié et le double, quant aux nombres dans la Parole, enveloppent la même chose ; par exemple, vingt la même chose que dix, et quatre la même chose que deux, six la même que trois, vingt-quatre la même que douze, et ainsi du reste ; il en est de même des nombres encore multipliés ; ainsi cent, et aussi mille, enveloppent la même chose que dix ; soixante-douze, et aussi cent quarante-quatre, la même que douze ; par les nombres simples, par lesquels et avec lesquels des nombres ont été composés par multiplication, on peut donc savoir ce qu'enveloppent les nombres composés ; on peut aussi par des nombres entiers savoir ce qu'enveloppent des nombres plus simples, ainsi par dix ce qu'enveloppe cinq, par cinq ce qu'enveloppe deux et demi, et ainsi du reste ; en général, il faut qu'on sache que les nombres multipliés enveloppent la même chose mais plus pleinement, et que les nombres divisés enveloppent la même chose mais non si pleinement. Quant à ce qui concerne spécialement cinq, ce nombre a une double signification, il signifie peu et par suite quelque chose, et il signifie les restes ; s'il signifie peu, c'est d'après son rapport avec ces nombres qui signifient beaucoup, à savoir, avec mille et cent, et par suite aussi avec dix ; car mille et cent signifient beaucoup, voir numéro 2575, 2636 ; et dix aussi, numéro 3107, 4638 ; c'est de là que cinq signifie peu et aussi quelque chose, numéro 649, 4638 ; si cinq signifie les restes, c'est quand il se réfère à dix, car dix signifie les restes, ainsi qu'il a été dit ci-dessus : que tous les nombres dans la Parole signifient des choses, on le voit, numéro 575, 647, 648, 755, 813, 1963, 1988, 2075, 2252, 3252, 4264, 4495, 4670, 5265. Celui qui ne sait pas qu'il y a dans la Parole un sens interne, qui ne se montre pas dans la lettre, sera extrêmement étonné que les nombres dans la Parole signifient aussi des choses, et cela surtout, parce qu'il ne peut former aucune idée spirituelle d'après les nombres ; mais toujours est-il que les nombres découlent de l'idée spirituelle, qui est chez les Anges, ainsi qu'on le voit, numéro 5265 ; on peut savoir, il est vrai, quelles sont les idées, ou quelles sont les choses, auxquelles correspondent les nombres, mais on ignore encore d'où vient cette correspondance ; par exemple, d'où vient la correspondance de douze avec toutes les choses de la foi, la correspondance de sept avec les choses saintes, la correspondance de dix et aussi celle de cinq avec les biens et les vrais renfermés par le Seigneur dans l'homme intérieur, et ainsi du reste : mais néanmoins il suffit de savoir qu'il y a une correspondance, et que d'après cette correspondance tous les nombres dans la Parole signifient quelque chose dans le monde spirituel, qu'en conséquence il y a aussi renfermé en eux un Divin inspiré ; comme, pour exemple, dans les passages suivants, où cinq est nommé ; ainsi, dans la Parabole du Seigneur sur

« l'homme qui s'en alla en voyage, et livra à ses serviteurs ses richesses, à l'un cinq talents, à un autre deux, et à un troisième un ; celui qui avait reçu cinq talents, les fit valoir et gagna cinq autres talents ; de même, celui qui en avait reçu deux, en gagna deux autres : mais celui qui en avait reçu un seul cacha l'argent de son seigneur dans la terre. » Matthieu 25:14, [Il manque du texte ici], ; ; ; , ,1551, 2954, car la foi sans la charité ne peut pas faire du profit ou porter du fruit ; telles sont les choses enveloppées dans ces nombres. Il en est de même dans d'autres paraboles, par exemple, dans celle de

« l'homme parti pour un pays éloigné, afin de recevoir pour lui un royaume ; il donna à ses serviteurs dix mines, et il leur dit d'en trafiquer jusqu'à ce qu'il soit revenu ; lorsqu'il revint, le premier dit : Seigneur, ta mine a produit dix mines. Il lui dit : Bien, bon serviteur, parce que dans une très-petite (chose) tu as été fidèle, sois avec pouvoir sur dix villes. Le second dit : Seigneur, ta mine a fait cinq mines. Il lui dit de même : Toi aussi, sois sur cinq villes. Un troisième avait mis la mine dans un linge, mais le seigneur dit : Otez-lui la mine, et donnez-la à celui qui a les dix mines. » Luc 19:12, , [Il manque du texte ici], Luc 14:19 ; du riche, quand il dit a Abraham : J'ai cinq frères, envoie Lazare pour qu'il les avertisse, de peur qu'ils ne viennent dans ce lieu de tourment. » Luc 16:28 ; des

« dix vierges, dont cinq prudentes, et cinq insensées. » : pareillement dans ces paroles du Seigneur :

« Pensez-vous que je sois venu donner la paix sur la terre ? non, vous dis-je, mais la division ; car ils seront désormais cinq dans une maison, divisés ; trois contre deux, et deux contre trois. » Luc 12:51-52 ; et aussi dans ces historiques eux-mêmes, où il est dit que le Seigneur

« nourrit cinq mille hommes avec cinq pains et deux poissons ; et qu'alors il les fit asseoir par centaines et par cinquantaines, et qu'après qu'ils eurent mangé, on ramassa douze corbeilles de morceaux. » . Marc 6:38, ; comme ces passages sont historiques, à peine peut-on croire que les nombres aient une signification, ainsi le nombre cinq mille qui fut celui des hommes, le nombre cinq qui fut celui des pains, le nombre deux qui fut celui des poissons, les nombres cent et cinquante qui furent ceux des rangées de personnes assises, et enfin le nombre douze qui fut celui des corbeilles où furent mis les morceaux ; et cependant dans chacun de ces nombres il y a un arcane ; car c'est par la Providence que tout cela est arrivé, afin que les Divins fussent représentés. Dans les passages suivants, cinq signifie aussi dans le monde spirituel des choses auxquelles correspond ce nombre dans l'un et l'autre sens, le réel et l'opposé ; dans Ésaïe :

« Il sera laissé en lui des grappillages, comme à l'olivier qu'on a secoué, deux, trois baies, à la tête d'une branche ; quatre, cinq, dans ses branches fertiles. » Ésaïe 17:6-7.

Dans le Même :

« En ce jour-là, il y aura cinq villes dans la terre d'Egypte, parlant des lèvres de Canaan, et jurant à Jéhovah Sébaoth. » Ésaïe 19:18.

Dans le Même :

« Un millier devant la réprimande d'un seul, devant la réprimande de cinq vous fuirez, jusqu'à ce que vous soyez de reste comme le mat sur la tête de la montagne, et comme l'étendard sur la colline. » Ésaïe 30:17.

Dans Jean :

« Le cinquième ange sonna de la trompette, alors je vis une étoile qui du ciel tomba en la terre, et lui fut donnée la clef du puits de l'abîme ; aux sauterelles, qui en sortaient, il fut dit de ne point tuer les hommes qui n'auraient point le sceau de Dieu sur leurs fronts, mais de les tourmenter cinq mois. apoc. Jean 9:1, 5, 10.

Dans le Même :

« Ici est l'intelligence, si quelqu'un a de la sagesse : Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise, et ce sont sept rois, les cinq sont tombés, et l'un est, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, peu de temps il faut qu'il demeure. apoc. Jean 17:9-10. Et il y avait pareillement un représentatif dans le nombre cinq dans ces passages, à savoir, que l'estimation de l'homme et de la femme serait selon les années,

« depuis un mois jusqu'à cinq ans, et depuis cinq ans jusqu'à vingt. » : que

« si l'on rachetait un champ, on ajouterait le cinquième. » Lévitique 27:19 : que

« si l'on rachetait les dîmes, on ajouterait aussi le cinquième. » Lévitique 27:31 : que les premiers-nés de superflu

« devaient être rachetés cinq sicles. » ;

Que le premier-né de la bête impure devait être racheté « en ajoutant le cinquième. » Lévitique 27:27 :

Que dans certaines prévarications pour amende « on ajouterait le cinquième. » , Nombres 5:6, 7, 8 :

Et que « celui qui aurait dérobé un bœuf ou une pièce de menu bétail, et l'aurait tué ou vendu, restituerait cinq bœufs pour le bœuf, et quatre pièces de menu bétail pour la pièce de menu bétail. .

Que le nombre cinq contienne en soi un arcane céleste, et le même que dix, on le voit clairement par les Chérubins, dont il est parlé dans le Premier Livre des Rois :

« Salomon fit dans le sanctuaire deux Chérubins de bois d'olivier, dix coudées la hauteur de chacun ; cinq coudées l'aile d'un Chérubin, et cinq coudées l'aile de l'autre Chérubin ; dix coudées depuis les extrémités de ses ailes jusqu'aux extrémités de ses ailes ; ainsi dix coudées le Chérubin, même mesure et même proportion aux deux Chérubins. »  ;

Et on le voit clairement aussi par les bassins autour du temple ; puis, par les chandeliers, dont il est parlé dans le même Livre :

« On plaça cinq bases de bassins près de l'épaule de la maison à droite, et cinq près de l'épaule de la maison à gauche. On plaça cinq Chandeliers à droite, et cinq à gauche devant le sanctuaire. » 1 Rois 7:39, 49.

Si la Mer d'airain était de « dix aunes de son bord à son bord, et de cinq aunes de hauteur, et de trente aunes de circonférence, » (1 Rois 7:23), c'était afin que les choses saintes fussent signifiées, tant par les nombres dix et cinq, que par trente, nombre de la circonférence, lequel, il est vrai, ne répond pas géométriquement au diamètre, mais néanmoins enveloppe spirituellement ce qui est signifié par le pourtour de ce vase. Que tous les nombres signifient des choses dans le monde spirituel, cela est très-évident par les nombres dans Ézéchiel, où il s'agit de la nouvelle Terre, de la nouvelle Cité, et du nouveau Temple, dont l'Ange mesura chaque partie, voir les Chapitres Ézéchiel 40:41, , ; la description de presque toutes les choses saintes y est produite par des nombres, c'est pourquoi celui qui ne sait pas ce qu'enveloppent ces nombres peut à peine savoir quelque chose des arcanes qui y sont contenus ; on y trouve le nombre dix et le nombre cinq, Chapitre Ézéchiel 40:7, 11, 48. Ézéchiel 41:2, 9, 11-12. Ézéchiel 42:4, 45:11, 14, outre les nombres multipliés, à savoir, vingt-cinq, cinquante, cinq cent, cinq mille ; que la nouvelle terre, la nouvelle cité et le nouveau temple, y signifient le Royaume du Seigneur dans les cieux, et par suite l'Église du Seigneur dans les terres, on l'y voit par chaque détail. Ces détails sur le nombre cinq ont été rassemblés, parce qu'ici et dans les versets suivants il s'agit de la terre d'Egypte, à savoir, qu'on y doit rassembler pendant les sept années d'abondance la cinquième partie des vivres, et les conserver pour l'usage des années suivantes de famine ; il a donc été montré que la cinquième partie signifie les biens et les vrais renfermés chez l'homme par le Seigneur, et réservés pour l'usage, quand arrivera la famine, c'est-à-dire, quand il y aura manque et privation du bien et du vrai ; car si ces biens et ces vrais n'étaient pas renfermés par le Seigneur chez l'homme, il n'y aurait dans l'état de tentation et de vastation rien qui l'élevât, par conséquent rien par quoi il pût être régénéré, ainsi l'homme serait sans moyen de salut dans l'autre vie.

  
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Arcanes Célestes # 4495

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4495. Il arriva au troisième jour, signifie le continu jusqu'à la fin : on le voit par la signification du troisième jour, en ce que c'est le complet depuis le commencement jusqu'à la fin, numéro 2788, par conséquent aussi le continu ; que le troisième jour ait cette signification, c'est ce que peuvent à peine croire ceux qui s'imaginent que les Historiques de la Parole sont seulement des historiques mondains, et qu'ils ne sont saints que parce qu'ils sont dans le Code sacré ; mais, dans les explications qui précèdent, il a été montré que non seulement les historiques de la Parole enveloppent eux-mêmes des spirituels et des célestes, qui ne se manifestent pas dans la lettre, mais qu'il en est aussi de même de tous les mots, et aussi de tous les nombres ; que la chose soit ainsi, c'est ce qui sera, d'après la Divine Miséricorde du Seigneur, encore plus évident dans les prophétiques, qui ne tiennent pas le mental dans le sens de la lettre quant à la série comme les historiques : que le nombre trois, comme aussi le nombre sept, et comme le nombre douze, enveloppe des arcanes, c'est ce qui peut être évident pour quiconque scrute la Parole quant à ses intérieurs ; et s'il y a des arcanes dans ces nombres, il s'ensuit qu'il y en a aussi dans tous les autres nombres qui sont dans la Parole, car la Parole est sainte dans tout ce qu'elle contient : parfois, quand j'ai conversé avec des Anges, des nombres m'ont apparu comme écrits devant les yeux, de même que ceux qui sont écrits sur le papier à la clarté du jour, et j'ai perçu que les choses mêmes, dont ils parlaient, tombaient dans ces nombres ; par cette expérience il m'a aussi été donné de savoir que chaque nombre, dans la Parole, contient quelque arcane ; c'est ce qu'on peut voir clairement par ces paroles dans Jean :

« Il mesura la muraille de la Sainte Jérusalem, cent quarante-quatre coudées, Mesure d'homme, c'est-à-dire, d'Ange, apoc. Jean 21:17 : et ailleurs :

« Que celui qui a de l'intelligence compte le nombre de la bête, car nombre d'homme il est, et son nombre est six cent soixante-six. » Jean 13:18 ; que le premier nombre, savoir, cent quarante-quatre, vienne de douze multiplié par lui-même, et que le nombre six cent soixante-six vienne du nombre trois et du nombre six, cela est évident ; quant à ce que ces nombres enveloppent de saint, on peut le voir d'après le saint du nombre douze, numéro 577, 2089, 2129 (fin). 2130 (fin). 3272, 3858, 3913, et d'après le saint du nombre trois, numéro 720, 901, 1825, 2788, 4010 ; parce que celui-ci, savoir, le nombre trois, signifiait le complet jusqu'à la fin, par conséquent une période, grande ou petite, c'est pour cela qu'il a été reçu dans l'Église représentative, et était employé toutes les fois qu'une telle chose était signifiée, et aussi dans la Parole, où toutes choses en général et en particulier ont une signification, comme on peut le voir par ces passages, où il est dit, que

“ Ils iraient le chemin de trois jours et sacrifieraient, Exode 3:18, 5:3 : que

“ Ils s'apprêteraient pour le troisième jour, parce que le troisième jour Jéhovah descendrait sur la montagne de Sinaï. Exode 19:11, 15-16, 18 : que

« de la Chair du sacrifice il ne sérait rien laissé au troisième jour. » Lévitique 7:16, 17, Lévitique 19:6-7 : que

« sur l'impur serait versée l'eau de séparation au troisième jour et au septième jour. » ; et que

« ceux qui avaient touché un homme tué dans le combat, devaient être purifiés le troisième jour et le septième jour. » ; que

« Josué ordonna au peuple de passer le Jourdain en trois jours, » Josué 1:11, 3:2 ; que

« Jéhovah appela trois fois Samuel, et trois fois Samuel courut vers Eli, et qu'à la troisième fois Eli comprit que Jéhovah appelait Samuel. » Josué : que

« Jonathan dit à David de se cacher dans un champ jusqu'au troisième soir ; qu'il enverrait vers lui le troisième lendemain, et lui dévoilerait l'intention de son père ; et que Jonathan lancerait alors sur le côté de la pierre trois flèches : que David après cela se prosterna trois fois à terre devant Jonathan. » Josué 1 Samuel 20:5, 12, 19, , 35-36, 41 : que

« trois choses furent proposées à David, pour qu'il en choisit une ; ou la famine pendant sept années, ou de fuir trois mois devant les ennemis, ou la peste dans la terre pendant trois jours. » 2 Samuel 24:11-12, 13 : que

« Roboam dit à l'Assemblée d'Israël, qui demandait à être allégée du joug de son père, de s'en aller et de revenir dans trois jours ; et qu'ils vinrent vers Roboam le troisième jour, comme avait dit le Roi : Revenez vers moi le troisième jour. » 1 Rois 12:5, 12 : que

« Elie se mesura sur le fils de la veuve trois fois. » 1 Rois 17:21 : que

« Élie dit de répandre de l'eau sur l'holocauste et sur les bois une troisième fois, et qu'ils le firent une troisième fois, » 1 Rois 18:34 : que

« Jonas fut dans le ventre de la baleine trois jours et trois nuits. » Jon. Jonas 2:1. Matthieu 12:40 : que

« Le Seigneur, parlant d'un homme qui avait planté une vigne, dit qu'il envoya trois fois des serviteurs, et ensuite son Fils. » Marc 12:2, 4, 5, Luc 20:12-13 : que

« Il a dit de Pierre, qu'il Le renierait trois fois. » Jean 13:38 : que

« Il a dit trois fois à Pierre : M'aimes-tu ? » Jean 21:15-16, 17. D'après ces passages et plusieurs autres dans la Parole, on peut voir que dans le nombre ternaire il y avait un arcane, et que par suite ce nombre a été reçu parmi les significatifs dans les Eglises Anciennes ; qu'il signifie une période entière de l'Église et des choses dans l'Église, ainsi une période grande ou petite, cela est évident ; par conséquent le complet, et aussi le continu jusqu'à la fin ; comme on le voit clairement dans Osée :

« Jéhovah nous vivifiera après deux jours, et le troisième jour il nous élèvera, et nous vivrons devant Lui. » Osée 6:2.

  
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