Bible

 

Genèse 24:6

Studie

       

6 Abraham lui dit : Garde-toi bien d'y ramener mon fils.

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Arcanes Célestes # 3049

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3049. Et tout le bien de son Seigneur (était) dans sa main, signifie les biens et les vrais de ces scientifiques chez lui : on le voit par la signification de tout le bien de son Seigneur, en ce que c'est et le bien et le vrai, car le vrai en soi est le bien, parce qu'il vient du bien, le vrai est la forme du bien, c'est-à-dire que quand le bien est formé pour qu'il soit perçu intellectuellement, il est alors appelé le vrai ; par la signification de la main, en ce qu'elle est la puissance, numéro 878, ainsi celle qui fut chez lui : les scientifiques communs ne sont point des biens en eux-mêmes, et ne sont point vivants, mais leur affection fait qu'ils sont des biens et qu'ils vivent, car alors ils ont en vue l'usage ; personne n'est affecté par quelque scientifique ou par quelque vrai, si ce n'est en vue de l'usage ; l'usage fait que cela est un bien ; mais tel est l'usage, tel est le bien.

  
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Arcanes Célestes # 561

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561. Mais qu'on sache ce que c'est que les Restes (Relique) : Ce sont non seulement les biens et les vrais procédant de la Parole du Seigneur, qui sont enseignés à l'homme dès son enfance et qui s'impriment ainsi dans sa mémoire ; mais ce sont aussi tous les états qui en dérivent, comme les états d'innocence pendant l'enfance ; les états d'amour envers les parents, les frères, les instituteurs, les amis ; les états de charité à l'égard du prochain, et de compassion envers les pauvres et les indigents ; en un mot, tous les états du bien et du vrai. Ces états, avec les biens et les vrais imprimés dans la mémoire, sont les Restes (Reliquice) qui sont conservés par le Seigneur chez l'homme, et renfermés dans son homme Interne, sans qu'il en sache absolument rien ; et ils sont soigneusement séparés de toutes les choses qui sont les propres de l'homme ou des maux et des faux. Tous ces états sont ainsi conservés par le Seigneur chez l'homme, afin que le moindre d'entre eux ne périsse pas. C'est ce qu'il m'a été donné de savoir en ce que chaque état de l'homme, depuis son enfance jusqu'à son extrême vieillesse, non-seulement resté dans l'autre vie, mais encore revient, et même tout à fait tel qu'il avait été quand l'homme vivait dans le monde ; ainsi, non-seulement les biens et les vrais imprimés dans la mémoire sont reproduits, mais encore tous les états d'innocence et de charité ; et quand les états de mal et de faux, ou de méchanceté et de fantaisie reparaissent, car ils restent aussi et reparaissent tous jusque dans leurs plus petites circonstances, alors ces états sont tempérés par le Seigneur au moyen des autres. On peut conclure de là que si l'homme n'avait aucun Reste, il ne lui serait jamais possible d'éviter la damnation éternelle. Voir ce qui a été précédemment dit, numéro 468.

  
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