Bible

 

Exode 22:10

Studie

       

10 Si quelqu'un donne à garder à son prochain un âne, un bœuf, quelque menue ou grosse bête, et qu'elle meure, ou qu'elle se soit cassé [quelque membre], ou qu'on l'ait emmenée sans que personne l'ait vu,

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Arcanes Célestes # 9143

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9143. Quand sera sorti un feu, signifie la colère d'après l'affection du mal : on le voit par la signification du feu, en ce qu'il est l'amour, ici l'amour du mal et l'affection du mal, numéro 9141 ; il est dit l'affection du mal, parce que par l'affection est entendu le continu de l'amour ; que le feu soit la colère d'après l'affection du mal, c'est parce que la colère provient de là, car lorsque ce qu'aime l'homme est attaqué, l'igné éclate et s'embrase pour ainsi dire ; de là vient que la colère est décrite dans la Parole par le feu, et est dite s'embraser ; comme dans David :

« Il monta une fumée de son Nez, et un feu de sa bouche, des charbons s'embrasèrent par Lui. “ - Psaumes 18:9.

Dans le Même :

« Baisez le Fils, de peur qu'il ne s'irrite, parce que s'embrasera bientôt sa co1ère. “ - Psaumes 2:12.

Dans Ésaïe :

« Qui de nous demeurera au feu dévorant ? Qui de nous demeurera aux foyers d'éternité. “ - Ésaïe 33:14. –

Dans le Même :

« Il a répandu sur lui l'ardeur de sa colère ; elle l'a enflammé de toute part, et il ne l'a point reconnu ; elle l'a incendié ; et cependant il ne s'est point mis cela sur le cœur. “ - Ésaïe 42:25.

Dans le Même :

« Voici, Jéhovah dans le feu viendra, et comme la tempête (seront) ses chars, pour rétribuer dans l'ardeur de sa colère, et sa réprimande (sera) dans des flammes de feu. “ - Ésaïe 66:15.

Dans Moïse :

« Je me retournai et je descendis de la montagne, tandis que la montagne (était) ardente de feu : je craignais à cause de la colère et de l'emportement, dont était irrité Jéhovah contre nous. » - Deutéronome 9:15, 19 ;

Dans ces passages et dans plusieurs autres la colère est décrite par le feu ; la colère est attribuée à Jéhovah, c'est-à-dire, au Seigneur, mais elle est chez l'homme, numéros 5798, 6997, 8282, ; que le Seigneur ait apparu sur la montagne de Sinaï au peuple Israélite selon la qualité de ce peuple, ainsi dans le feu, dans la fumée, dans l'obscurité, on le voit, numéro 6832. Mais il faut qu'on sache que la colère est un feu qui éclate d'après l'affection du mal, et le Zèle un feu qui éclate d'après l'affection du bien, numéros 4164, 4444, 8598 ; c'est pour cela que le Zèle est aussi décrit par le feu ; dans Moise :

« Jéhovah ton Dieu est un feu dévorant, un Dieu Jaloux (Zélé). » - Deutéronome 4:24 ;

Et dans Zéphanie :

« Je répandrai sur eux tout l'emportement de ma colère, parce que dans le feu de mon Zèle sera dévorée toute la terre, “ - Zéphanie 3:8.

Que le Zèle de Jéhovah soit l'amour et la miséricorde, et qu'il soit appelé colère, parce qu'il apparaît comme une colère aux méchants, quand ils se jettent dans la peine de leur mal, on le voit, numéros 8875.

  
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Arcanes Célestes # 3921

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3921. Et dit Rachel : Dieu m'a jugée, et même il a entendu ma voix, signifie, dans le sens suprême la Justice et la Miséricorde, dans le sens interne le saint de la foi, dans le sens externe le bien de la vie : on le voit par la signification de Dieu qui juge, et par la signification d'entendre ma voix ; que Dieu qui juge, ce soit la Justice du Seigneur, et que entendre ma voix, ce soit la Miséricorde, c'est ce qu'on voit sans explication ; car le Seigneur nous juge tous d'après la Justice, et nous entend tous d'après la Miséricorde ; il juge d'après la justice parce que c'est d'après le Divin vrai, et il entend d'après la Miséricorde parce que c'est d'après le Divin Bien, d'après la Justice ceux qui ne reçoivent pas le Divin Bien, et d'après la Miséricorde ceux qui le reçoivent ; mais néanmoins quand c'est d'après la Justice, c'est aussi en même temps d'après la Miséricorde, car dans toute Justice Divine il y a la Miséricorde, comme dans le Divin Vrai il y a le Divin Bien ; toutefois, comme ces choses sont trop profondes pour être dites en peu de mots, elles seront, d'après la Divine Miséricorde du Seigneur, exposées ailleurs plus amplement. Que, dans le sens interne, Dieu m'a jugée et même il a entendu ma voix signifie le saint de la foi, c'est parce que la foi, qui se dit du vrai, correspond à la Justice Divine, et que le saint, qui est le bien, correspond à la Miséricorde Divine du Seigneur ; et en outre juger ou le jugement se dit du vrai qui appartient à la foi, numéro 2235 ; et comme c'est de Dieu qu'il est dit il a jugé, c'est le bien ou le saint ; de là, il est évident que c'est le saint de la foi qui en même temps est signifié par l'une et l'autre expression ; comme l'une et l'autre en même temps signifient cela seul, les deux sont conjointes par et même. Que, dans le sens externe, ce soit le bien de la vie, c'est aussi d'après la correspondance, car au saint de la foi correspond le bien de la vie. Que, sans le sens interne, on ne puisse pas savoir ce que signifie Dieu m'a jugée, et même il a entendu ma voix, cela est évident en ce que, dans le sens de la lettre, les deux membres de phrase ne sont pas tellement cohérents, qu'ils présentent une seule idée de l'entendement. Si dans ce Verset, et dans les suivants jusqu'à Joseph, il est dit Dieu, et si dans ceux qui précèdent immédiatement il est dit JEHOVAH, c'est parce que dans ceux-ci il s'agit de la régénération de l'homme Spirituel, et que dans les précédents il s'agissait de la régénération de l'homme Céleste ; car Dieu est nommé quand il s'agit du bien de la foi qui appartient à l'homme Spirituel, et Jéhovah est nommé quand il s'agit du bien de l'amour qui appartient à l'homme Céleste, voir Numéro 2586, 2769, 2807, 2822 ; en effet, Jehudah, jusqu'auquel est continué le nom de Jéhovah dans le Chapitre précédent, représentait l'homme Céleste, voir numéro 3881 ; mais Joseph, jusqu'auquel est continué le nom de Dieu dans ce Chapitre, représente l'homme Spirituel, ainsi qu'il sera expliqué Vers. 23 et 24. On peut voir, dans le Chapitre précédent, Vers. 32, 33, 35, que Jéhovah a continué à être nommé jusqu'à Jehudah ; et, dans ce Chapitre Vers. 6, 8, 17, 18, 20, 22, 23, que Dieu continue à être nommé jusqu'à Joseph ; et, ensuite, que Jéhovah est nommé de nouveau parce que le sujet s'avance de l'homme spirituel vers l'homme céleste : c'est là un arcane qui est caché dans ces expressions, et que personne ne peut connaître que d'après le sens interne, et aussi qu'à moins de savoir ce que c'est que l'homme Céleste, et ce que c'est que l'homme Spirituel.

  
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