Bible

 

Exode 18:3

Studie

       

3 Et les deux fils de cette femme, dont l'un s'appelait Guersom, parce, avait dit, que j'ai été voyageur dans un pays étranger;

Ze Swedenborgových děl

 

Arcanes Célestes # 8668

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 10837  
  

8668. Et raconta Moïse à son beau-père tout ce qu'avait fait Jéhovah à Pharaon et aux Égyptiens, signifie la perception alors par le Divin Vrai sur la puissance du Divin Humain du Seigneur contre ceux qui ont été dans les faux et ont infesté : on le voit par la signification de Moïse raconta, en ce que c'est la perception parle Vrai Divin, car raconter, c'est percevoir, numéro 3209, et Moïse est le Vrai Divin, numéros 6752, 6771, 7010, 7014, 7382 ; par la représentation du beau-père de Moïse, en ce qu'il est le Divin Bien dont provient le bien conjoint au Vrai Divin, numéros 8643, 8644 ; par la signification de tout ce qu'avait fait Jéhovah, en ce que ce sont les choses qui avaient été faites aux fils d'Israël en Egypte, et ensuite dans le désert ; comme ces choses dans le sens interne enveloppent celles qui ont été faites à ceux qui étaient de l'Église spirituelle du Seigneur et avaient été détenus dans la terre inférieure, jusqu'à ce que le Seigneur eût glorifié en Lui l'Humain, voilà pourquoi ces paroles signifient la perception sur la puissance du Divin Humain du Seigneur : que ceux qui étaient de l'Église spirituelle du Seigneur aient été détenus dans la terre inférieure, et sauvés par la puissance du Divin Humain du Seigneur, on le voit, numéros 6854, 7035, 7091 (fin), 7828, 8018, 8054, 8099, 8321 ; et par la représentation de Pharaon et des Égyptiens, en ce que ce sont ceux qui étaient dans les faux et infestaient, numéros 7097, 7107, 7110, 7126, 7142, 7220, 7228, 7317.

  
/ 10837  
  

Ze Swedenborgových děl

 

Arcanes Célestes # 8321

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 10837  
  

8321. Jusqu'à ce que soit passé ton peuple, signifie qu'ainsi sans danger d'infestation seront sauvés tous ceux qui sont dans la faculté de recevoir le vrai du bien et le bien du vrai : on le voit par la signification de passer, en ce que c'est être sauvé sans danger d'infestation, car lorsque ceux qui étaient dans les faux d'après le mal, et qui infestaient, ont été jetés dans l'enfer et éloignés, il n'y en a plus qui fassent obstacle en injectant des faux et des maux, et qui détournent ainsi de la réception du bien et du vrai provenant du Seigneur, voilà ce qui est signifié ici par passer ; en effet, tant que les méchants n'eurent pas été jetés dans l'enfer, il y eut à peine quelques-uns des bons qui purent passer, c'est-à-dire, être sauvés, car alors les méchants excitaient continuellement les maux et les faux chez ceux qui venaient dans l'autre vie, et par là les détournaient du bien et du vrai : afin donc que ceux qui étaient dans le bien et dans le vrai fussent délivrés de ces méchants, le Seigneur est venu dans le monde, et quand il fut dans le monde, il les subjugua tous par de continuelles tentations admises en Lui et par de continuelles victoires, et ensuite, par sa présence, il les fit se précipiter dans l'enfer, où investis par leurs maux et leurs faux ils devaient être tenus enchaînés pour l'éternité. Ici par le peuple sont entendus ceux qui sont dans la faculté de recevoir le vrai du bien et le bien du vrai, car le peuple en général signifie ceux qui sont dans le vrai et dans le bien de la foi, numéros 1259, 1260, 3295, 3581, 4619, ici il signifie Israël, c'est-à-dire, ceux qui sont de l'Église spirituelle ; ou, ce qui revient au même, ceux qui sont dans le vrai du bien et dans le bien du vrai, numéros 7957, 8234. Il est dit dans la faculté de recevoir le vrai du bien et le bien du vrai, parce qu'il n'y en a pas d'autres dans cette faculté, que ceux qui ont vécu la vie de la charité ; c'est cette vie qui donne cette faculté.

Dans quelle grande erreur sont ceux qui croient que la foi sans la charité peut donner cette qualité ! en effet, la foi sans la charité est dure et résistante, et elle rejette tout influx provenant du Seigneur, mais la charité avec la foi est cédante et tendre, et elle reçoit l'influx ; c'est de là que la charité donne cette faculté, et que la foi sans la charité ne la donne point ; et comme la charité donne cette faculté, c'est aussi elle qui sauve, car ceux qui sont sauvés le sont non par la charité qui vient d'eux-mêmes, mais par la charité qui procède du Seigneur, conséquemment par la faculté de la recevoir.

  
/ 10837