Bible

 

Exode 12:42

Studie

       

42 C'est la nuit qui doit être soigneusement observée à [l'honneur] de l'Eternel, parce qu'[alors] il les retira du pays d'Egypte; cette même nuit-là est à observer à [l'honneur] de l'Eternel, par tous les enfants d'Israël en leurs âges.

Ze Swedenborgových děl

 

Arcanes Célestes # 7828

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 10837  
  

7828. Le premier, lui, pour vous des mois de l'année, signifie le commencement d'où dérivent tous les états suivants durant l'éternité : on le voit par la signification d'être le premier, quand cela est dit des mois de l'année, et, dans le sens interne, des états de la vie, en ce que c'est le commencement : par la signification des mois, en ce qu'ils sont les états, ainsi qu'il vient d'être montré numéro 7827 ; et par la signification de l'année, en ce que c'est la période de la vie depuis le commencement jusqu'à la fin, numéro 2906 ; ici, comme il s'agit de ceux de l'Église spirituelle dans l'autre vie, desquels la période de la vie a un commencement, mais non une fin , l'année signifie la période de la vie depuis le commencement durant l'éternité ; que l'année soit aussi cela, on le voit ; numéro 2906 (fin). Si ce mois est devenu la tête des mois et le premier de tous, c'est parce qu'il signifie le commencement de la délivrance, de ceux qui étaient de l'Église spirituelle, et qui jusque-là avaient été dans un état de captivité, parce qu'ils étaient détenus dans la terre inférieure, et y étaient infestés par les méchants qui sont représentés par Pharaon et par les Égyptiens. Que leur premier état quand ils ont été délivrés ait été le principal de tous et le principe d'où proviennent tous les états suivants durant l'éternité, c'est parce que ceux qui étaient dans la terre inférieure ont été délivrés par l'avènement du Seigneur dans le monde, et que sans l'avènement du Seigneur dans le monde ils n'auraient pu en aucune manière être sauvés ; et parce qu'ils ont été délivrés alors que le Seigneur est ressuscité. De là il est évident que cet état, savoir, quand ils ont été délivrés, a été pour eux le principal de tous les états : il en a été aussi de même dans la suite pour tous ceux qui ont été de l'Église spirituelle, ils n'auraient pu en aucune manière être sauvés, si le Seigneur ne fût pas venu dans le monde et n'eût pas glorifié son Humain, c'est-à-dire s'il ne l'eût pas fait Divin ; que ceux qui étaient de l'Église spirituelle avant l'avènement du Seigneur aient été détenus dans la terre inférieure, et qu'ils aient été délivrés et sauvés par le Seigneur, on le voit numéro 6854, 6914 ; et qu'en général ceux qui sont de l'Église spirituelle aient été sauvés par l'avènement du Seigneur, on le voit numéro 2661, 2716, 6372, 7035, 7091 (fin). : c'est pourquoi dans le sens suprême ces paroles signifient que toute salvation provient de la glorification et de la résurrection du Seigneur quant à son Humain.

  
/ 10837  
  

Ze Swedenborgových děl

 

Arcanes Célestes # 2256

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 10837  
  

2256. De faire mourir le juste avec l'impie, et qu'ainsi le juste soit comme l'impie, signifie que le bien ne peut mourir, parce que le mal peut en être séparé : cela est évident par la signification du juste, en ce que c'est le bien, et de l'impie en ce que c'est le mal, ainsi qu'il a été dit ci-dessus, numéro 2250 ; de là, de faire mourir le juste avec l'impie, c'est le bien avec le mal. Ces choses ne devant pas se faire, et y penser faisant horreur, elles sont écartées dans le sens interne, et alors se présentent celles-ci, que le bien ne peut mourir, parce que le mal en peut être séparé. Peu d'Hommes, si toutefois il y en a, ont connaissance de ce qui se passe à cet égard ; il faut qu'on sache que tout bien, quel qu'il soit, que l'homme a pensé et fait, depuis son enfance jusqu'au dernier instant de sa vie, reste. Il en est de même de tout mal, au point qu'il n'en périt absolument rien ; tout a été inscrit dans son livre de vie, c'est-à-dire dans l'un et l'autre de ses mémoires et dans sa nature, c'est-à-dire encore dans son caractère et dans son génie. C'est de là qu'il s'est formé une vie, et pour ainsi dire une âme qui est telle après la mort ; mais jamais les biens ne sont mêlés avec les maux ni les maux avec les biens, au point de ne pouvoir être séparés ; car s'ils étaient mêlés, l'homme périrait pour l'éternité ; le Seigneur y pourvoit. Quand l'homme vient dans l'autre vie, s'il a vécu dans les biens de l'amour et de la charité, le Seigneur sépare alors les maux, et par les biens il l'élève à Lui dans Je ciel. Si, au contraire, il a vécu dans les maux, savoir, dans ce qui est opposé à l'amour et à la charité, le Seigneur alors sépare les biens d'avec cet homme et les maux le portent dans l'enfer. Tel est le sort de chacun après la mort ; mais c'est une séparation, il n'y a jamais enlèvement complet. De plus encore, la volonté de l'homme, qui est une des deux parties de la vie, ayant été entièrement pervertie, le Seigneur sépare cette partie pervertie d'avec l'autre partie qui appartient à son intellectuel, et il implante dans l'intellectuel le bien de la charité, et par ce bien une nouvelle volonté chez ceux qui sont régénérés ; ce sont ceux-là qui ont la conscience. C'est aussi de cette manière que, dans le commun, le Seigneur sépare le mal d'avec le bien. Tels sont les arcanes qui ont été entendus, dans le sens interne, quand il est dit que le bien ne peut mourir, parce que le mal peut en être séparé.

  
/ 10837