Bible

 

Amos 1:9

Studie

       

9 Ainsi a dit l'Eternel : à cause de trois crimes de Tyr, même à cause de quatre, je ne rappellerai point cela, [mais je le ferai] parce qu'ils ont livré ceux de Juda en une captivité entière à Edom, et ne se sont point souvenus de l'alliance fraternelle.

Komentář

 

Philistines

  

The Philistines play a large role in the Bible as one of the longest-standing and most bitter rivals of the people of Israel, clashing with them in repeated wars. The Philistines were a remnant of the Ancient Church, or church of Noah, but had turned the deep wisdom of that church into a worship that focused solely on knowledge of religious ideas and the details of ritual, with no concept of putting religious ideas to work in living a good life. People would be esteemed for their knowledge, no matter how evil they might be in their lives. This was a particularly attractive trap for the people of Israel, who lived in a state of obedience to a long list of spiritually meaningful rules. It was easy for them to forget about the “obedience” part and focus instead on the “rules” part, which made them akin to the Philistines. This is also a threat to us in our own lives. We need to remember that simply knowing a lot and believing the right things will not make us good people -- we have to use that knowledge to treat other people in a loving, caring way.

In 1 Samuel 5,6, this signifies people in faith separated from charity. (Divine Providence 326[12])

In Jeremiah 47:2, 3, this represents people who hold false ideas, and reason about spiritual things from them. (Arcana Coelestia 705) Philistia signifies this religion. (Arcana Coelestia 727)

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Arcanes Célestes # 4865

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4865. Et il la prenait pour une courtisane, signifie qu'elle ne les considérait pas autrement que comme le faux : on le voit par la signification de courtisane, en ce que c'est le faux, numéros 2466, 2729, 3399, qu'ainsi la nation Juive d'après sa religiosité considérait l'interne de l'Église non autrement que comme le faux : si la courtisane est le faux, c'est parce que le mariage représente le mariage céleste, qui est celui du bien et du vrai ; le mari est le bien et l'épouse le vrai, et par suite les fils sont les vrais, et les filles les biens, et le gendre et la bru, le beau-père et la belle-mère, et aussi plusieurs autres affinités, sont, selon les degrés, des choses qui appartiennent au mariage céleste ; par cette raison les adultères et les prostitutions, parce que ce sont des opposés, signifient le mal et le faux ; et aussi par le fait même ce sont des opposés, car ceux qui passent leur vie dans l'adultère et dans la prostitution, ne s'inquiètent nullement du bien et du vrai ; et cela parce que l'amour conjugal réel descend du mariage céleste, c'est-à-dire, du mariage du bien et du vrai, tandis que les adultères et les prostitutions proviennent de la conjonction du mal et du faux, laquelle émane de l'enfer, voir numéros . Que la Nation Juive ait considéré et considère encore aujourd'hui les internes de l'Église non autrement que comme des faux, c'est ce qui est signifié en ce que Jehudah n'a pris Thamar, sa bru, que pour une courtisane, et qu'il s'est conjoint avec elle comme avec une courtisane ; une telle origine de cette nation représente d'où provient sa religiosité, et quelle en est la qualité. Que cette Nation considère l'interne de l'Église comme une prostituée, ou comme le faux, cela est bien évident ; par exemple, qu'on dise à des Juifs que c'est un interne de l'Église, que le Messie, annoncé dans les prophétiques de la Parole et qu'en conséquence ils attendent, est le Seigneur, ils rejettent entièrement cela comme un faux : qu'on leur dise que c'est un interne de l'Église, que le Royaume du Messie n'est ni mondain ni temporel, mais qu'il est céleste et éternel, ils déclarent aussi que cela est un faux : qu'on leur dise que les rites de leur Église ont représenté le Messie et son Royaume céleste, ils ne savent ce que c'est que cela : qu'on leur dise que l'interne de l'Église est le bien de la charité et le vrai de la foi dans la doctrine et en même temps dans la vie, ils regardent cela non autrement que comme un faux : il en est de même pour le reste ; bien plus, à la seule proposition qu'il y a un interne de l'Église, ils rient stupidement : cela vient de ce qu'ils sont seulement dans les externes, et même dans les infimes des externes, qui consistent à aimer les choses terrestres, car plus que tous les autres ils sont dans l'avarice, qui est absolument terrestre ; de tels hommes ne peuvent en aucune manière considérer autrement les intérieurs de l'Église, car ils sont plus éloignés que tous les autres de la lumière céleste, et par conséquent plus que tous les autres dans une obscurité profonde.

  
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