Bible

 

Lévitique 15:10

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10 Celui qui touchera une chose quelconque qui a été sous lui sera impur jusqu'au soir; et celui qui la portera lavera ses vêtements, se lavera dans l'eau, et sera impur jusqu'au soir.

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Explication de Lévitique 15:10

Napsal(a) Henry MacLagan (strojově přeloženo do Français)

Verset 10. Tout réceptacle de bien dans la volonté qui est, de la même manière, contaminé, est impur jusqu'à un changement d'état ; et même la simple pensée d'une telle contamination, bien qu'elle puisse paraître nécessaire, exige une purification extérieure et intérieure, par un changement d'état.

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Arcanes Célestes # 4169

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4169. Tes brebis et tes chèvres n'ont point avorté, signifie son état quant au bien et au bien du vrai : on le voit par la signification de la brebis, en ce qu'elle est le bien, ainsi qu'il va être expliqué ; et par la signification de la chèvre, en ce qu'elle est le bien du vrai, numéro 3995, 4006 ; par le bien simplement dit est entendu le bien de la volonté, mais par le bien du vrai est entendu le bien de l'entendement ; le bien de la volonté, c'est d'après le bien faire le bien ; mais le bien de l'entendement, c'est d'après le vrai faire le bien ; à ceux qui font le bien d'après le vrai, il semble que ces biens soient un, mais néanmoins ils diffèrent beaucoup entre eux ; en effet, faire le bien d'après le bien, c'est le faire d'après la perception du bien, la perception du bien n'existe pas chez d'autres que chez les célestes, tandis que faire le bien d'après le vrai, c'est le faire d'après la science et d'après l'entendement qui résulte de la science, mais sans la perception que cela est ainsi, seulement on a été instruit par d'autres, ou l'on a conclu de soi-même par sa faculté intellectuelle que cela est ainsi ; cela peut être un vrai erroné, mais néanmoins si l'on a la fin du bien, alors ce qu'on fait d'après ce vrai devient comme bien. Que les brebis signifient les biens, on peut le voir par plusieurs passages de la Parole, dont je vais seulement rapporter ceux-ci.

Dans Ésaïe :

« Il a été affligé, et il n'a pas ouvert sa bouche ; comme la bête (du menu bétail) à la tuerie il est mené, et comme une Brebis devant ceux qui la tondent ; et il n'a pas ouvert sa bouche, » Ésaïe 53:7 ; il s'agit du Seigneur, et là il est comparé à une brebis non d'après le vrai, mais d'après le bien.

Dans Matthieu :

« Jésus dit aux douze qu'il envoya.

Dans un chemin de nations n'allez point, et dans une ville des Samaritains n'entrez point : allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d'Israël. » Matthieu 10:5-6 ; les nations vers lesquelles ils ne devaient point aller, désignent ceux qui sont dans les maux, car les nations sont les maux, voir numéro 1259, 1260, 1849 ; les villes des Samaritains signifient ceux qui sont dans les faux, et les brebis ceux qui sont dans les biens.

Dans Jean :

« Jésus après la résurrection dit à Pierre ; Pais mes agneaux ; il dit une seconde fois : Pais mes brebis ; et une troisième fois il dit : Pais mes brebis. » Jean 21:15-16, 17 ; les agneaux signifient ceux qui sont dans l'innocence ; les brebis nommées en premier lieu désignent ceux qui sont dans le bien d'après le bien ; les brebis nommées en dernier lieu désignent ceux qui sont dans le bien d'après le vrai.

Dans Matthieu :

« Quand viendra le Fils de l'homme dans sa gloire, il mettra les brebis à sa droite, et les boucs à sa gauche ; et il dira à ceux qui (seront) à sa droite : Venez, les bénis de mon Père, possédez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde ; car j'ai eu faim, et vous M'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous M'avez donné à boire ; j'ai été passager, et vous M'avez recueilli ; j'ai été nu, et vous M'avez vêtu ; j'ai été malade, et vous M'avez visité ; j'ai été en prison, et vous êtes venus vers Moi. En tant que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits de mes frères, vous Me les avez faites. » .

Là, il est bien évident que les brebis désignent les biens, c'est-à-dire, ceux qui sont dans le bien ; tous les genres de biens de la charité y sont contenus dans le sens interne, il en sera parlé ailleurs par la Divine Miséricorde du Seigneur ; les boucs signifient spécialement ceux qui sont dans la foi et qui n'ont aucune charité ; pareillement dans Ézéchiel :

« Vous, mon troupeau, a dit le Seigneur Jéhovah ; voici, Moi je juge entre, bête et bête, entre les Béliers des brebis et les boucs. » Ézéchiel 34:17 ; que les boucs soient spécialement ceux qui sont dans la foi sans aucune charité, on peut le voir par la signification des boucs, en ce que, dans le sens bon, ils sont ceux qui vivent dans le vrai de la foi, et par suite dans quelque charité ; mais, dans le sens opposé, ceux qui, étant dans la foi sans aucune charité, raisonnent sur le salut d'après les principes que la foi sauve ; c'est même ce qui se manifeste par les choses que le Seigneur dit des boucs dans Matthieu au passage cité ; quant à ceux qui ne sont dans aucun vrai de la foi, ni en même temps dans aucun bien de la charité, ils sont portés dans l'enfer sans un tel jugement, c'est-à-dire, sans qu'on les convainque qu'ils sont dans le faux.

  
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