Bible

 

Genèse 30:6

Studie

       

6 Rachel dit: Dieu m'a rendu justice, il a entendu ma voix, et il m'a donné un fils. C'est pourquoi elle l'appela du nom de Dan.

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Arcanes Célestes # 9325

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9325. Il n'y aura ni avortante ni stérile dans ta terre, signifie que les biens et les vrais procéderont dans leur ordre en progression continue : on le voit par la signification de ne point avorter et ne point être stérile, en ce que c'est le progressif de la régénération dans son ordre, par conséquent c'est que les biens et les vrais procéderont dans leur ordre en progression continue, ainsi qu'il sera montré ; et par la signification de dans la terre, en ce que c'est dans l'Église, car la terre est l'Église, numéros 566, 662, 1066, 1067, 1262, 1413, 1607, 1733, 1850, 2117, 2118 (fin), 2571, 2928, 3355, 3368, 3379, 4447, 4535, 5577, 8011, 8732 ; si la terre signifie l'Église, c'est parce qu'il est entendu la terre de Canaan, où était l'Église, et où elle avait été dès les très-anciens temps, numéros 3686, 4447, 4454, 4516, 4517, 5136, 6516, 8317 ; et dans le monde spirituel, quand une terre est nommée, ce n'est point la terre qui est perçue, mais c'est quant à sa religiosité la qualité de la nation qui l'habite ; ainsi quand dans la Parole la terre est nommée, et que par elle il est entendu la terre de Canaan, c'est l'Église qui est perçue : d'après cela, on peut voir ce qui est entendu dans les Prophétiques de la Parole par le Nouveau Ciel et la Nouvelle Terre, à savoir, que c'est l'Église interne et l'Église externe, numéros 1850, 3355, 4535, car il y a des hommes internes et il y a des hommes externes. Si ces paroles

“ Il n'y aura ni avortante ni stérile dans ta terre, » signifient que les biens et les vrais procéderont dans leur ordre en progression continue, c'est parce toutes les choses qui appartiennent à l'enfantement signifient, dans le sens interne de la Parole, des choses qui appartiennent à l'enfantement spirituel, ainsi à la régénération, numéros 2584, 3860, 3905, 3915 : les choses qui appartiennent à l'enfantement spirituel ou à la régénération, sont les vrais de la foi et les biens de la charité, car c'est par eux que l'homme est conçu et naît de nouveau : que les enfantements aient cette signification, on le voit clairement par plusieurs passages dans la Parole, et d'une manière bien manifeste par ces paroles du Seigneur à Nicodème :

« Jésus lui dit : En vérité, en vérité, je te dis : Si quelqu'un n'est engendré de nouveau, il ne peut voir le Royaume de Dieu. Nicodème dit : Comment un homme peut-il être engendré de nouveau étant vieux ? Peut-il dans l'utérus de sa mère une seconde fois entrer et être engendré. Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te dis : Si quelqu'un n'a pas été engendré d'eau et d'esprit, il ne peut entrer dans le Royaume de Dieu ; ce qui a été engendré de la chair est chair, et ce qui a été engendré de l'esprit est esprit. Nicodème dit : Comment ces choses peuvent-elles se faire ? Jésus répondit : Toi, n'es-tu pas un maître en Israël ? Et ces choses tu ne connais pas ! » - Jean 3:3-4, 5-6, 9-10.

être engendré d'eau et d'esprit, c'est l'être par les vrais de la foi et par le bien de l'amour, voir les passages cités, numéro 9274 : si de telles choses sont signifiées par les enfantements dans la Parole, cela vient de la correspondance des mariages dans les terres avec le mariage céleste, qui est le mariage du bien et du vrai ; sur cette correspondance, voir numéros ; mais aujourd'hui il est à peine quelqu'un qui sache, et à peine quelqu'un qui veuille reconnaître que l'amour véritablement conjugal descend de ce mariage céleste, car devant les yeux sont les terrestres et les corporels qui éteignent et étouffent, quand on pense à une telle Correspondance : comme l'amour véritablement conjugal vient de là, c'est pour cela aussi que les enfantements et les générations, dans le sens interne de la Parole, signifient les choses qui appartiennent à l'enfantement et à la génération nouvelle par le Seigneur ; c'est de là aussi que le Père, la Mère, les Fils, les Filles, les Gendres, les Brus, les Petits-fils, et plusieurs autres qui proviennent des mariages, signifient les biens et les vrais, et des dérivations du bien et du vrai, dont il a été souvent parlé dans les explications. D'après cela, on peut donc voir que par

“ Il n'y aura ni avortante ni stérile dans ta terre, » il est signifié que les biens et les vrais procéderont dans leur ordre en progression continue. Que l'avortante et la stérile signifient les choses qui appartiennent à l'avortement et à la stérilité dans le sens spirituel, lesquelles sont les perversions du bien et du vrai, et aussi les vastations et les négations de l'un et de l'autre, c'est ce qui est évident par les passages suivants ; dans Osée :

« Éphraïm, quand je l'ai vu jusqu'à Tyr, planté (était) dans la beauté ; et Éphraïm de mener au tueur ses fils. Donne-leur, Jéhovah, une matrice qui avorte, et des mamelles desséchées : à cause de la malice de leurs œuvres je les chasserai de ma maison. » - Osée 9:13, 14, 15.

si l'on ne sait pas ce qui est signifié dans le sens interne par Éphraïm, par Tyr, par le tueur, par les fils, par la matrice qui avorte, par les mamelles desséchées, il est absolument impossible de savoir ce qu'enveloppent ces prophétiques ; Éphraïm est l'intellectuel de l'Église, c'est-à-dire, l'intellectuel illustré sur les vrais et sur les biens de la foi d'après la Parole, numéros 3969, 5354, 6222, 6234, 6238, 6267 ; et Tyr les connaissances du vrai et du bien, numéro 1201, d'où l'on voit clairement ce qui est signifié par

« Éphraïm, quand je l'ai vu jusqu'à Tyr, planté était dans la beauté ; » le tueur est celui qui prive de la vie spirituelle, ou de la vie provenant du vrai et du bien, Nos3607, 6767, 8902, et les fils sont les vrais de la foi, numéros 489, 491, 533, 1147, 2623, 2813, 3373, 3704, 4257, d'où l'on voit clairement ce qui est signifié par

« Éphraïm de mener au tueur ses fils » ; les mamelles sont les affections du bien et du vrai, numéro 6432, par suite les mamelles desséchées signifient qu'il n'y a plus d'affections, et qu'elles sont remplacées par les cupidités de pervertir, d'où l'on voit clairement ce que c'est que la matrice qui avorte, à savoir, que c'est la perversion du bien et du vrai ; que par toutes ces expressions soient signifiées les choses qui appartiennent à la vie spirituelle, cela est évident, car il est dit, « à cause de la malice de leurs œuvres je les chasserai de ma maison » ; de la maison de Jéhovah, c'est de l'Église et du ciel, numéros 2233, 2234, 3720, 5640.

Dans Malachie :

« Je réprimerai à cause de vous celui qui consume, afin qu'il ne corrompe point pour vous le fruit de la terre, et que pour vous n'avorte point le cep dans le champ ; et vous diront heureux toutes les nations ; et vous serez, vous, la terre du bon plaisir. » - Malachie 3:11-12.

Le cep n'avortera point dans le champ, signifie que les vrais et les biens de la foi procéderont dans leur ordre chez ceux qui sont dans l'Église, car le cep est le vrai et le bien de l'Église spirituelle, numéros 1069, 6375, 6376, 9277, et le champ est l'Église, numéros 2971, 3766, 7502, 9139, 9295 ; la terre du bon plaisir est l'Église agréable au Seigneur, car quiconque, au dedans de l'Église, a été régénéré par le vrai et par le bien, est l'Église, d'où l'on voit clairement ce que c'est que « vous serez la terre du bon plaisir ; » que la terre soit l'Église, on vient de le voir.

Dans Moïse :

« Si vous écoutez mes jugements, au point de les garder et de les faire, béni tu seras par-dessus tous les peuples, il n'y aura point parmi toi d'infécond ni de stérile, ni parmi ta bête : Jéhovah éloignera de toi toute maladie, et toutes les langueurs malignes d'Egypte. » - Deutéronome 7:11, 14-15.

Il n'y aura point d'infécond ni de stérile, c'est-à-dire qu'il n'y aura personne sans la vie d'après le vrai et le bien, ainsi tous seront spirituellement vivants : comme telle était la signification de la stérile, c'est pour cela que dans les Églises anciennes les femmes étaient réputées non vivantes, quand elles étaient stériles, par exemple Rachel, qui en parlant d'elle-même le disait ainsi à Jacob :

« Rachel vit qu'elle n'enfantait point à Jacob, et elle dit à Jacob : Donne-moi des fils, et sinon morte, moi. » - Genèse 30:1. Numéro 3908.

Les stériles signifient aussi ceux qui ne sont point dans le bien parce qu'ils ne sont point dans les vrais, et qui cependant désirent les vrais afin d'être dans le bien, comme sont les nations probes qui sont hors de l'Église ; par exemple dans Ésaïe :

« Chante, stérile, elle n'avait pas enfanté ; fais retentir tes chants et sois dans la jubilation, elle n'avait pas été en travail d'enfant, car plus nombreux les fils de la désolée que les fils de celle qui était mariée. » - Ésaïe 54:1 :

Dans David :

« Jéhovah qui élève de la poussière le froissé, du fumier relève l'indigent, pour le placer avec les princes de son peuple, qui fait habiter la stérile de la maison, mère joyeuse de fils. » - Psaumes 118:7, 8, 9.

Dans le Prophétique de Channah après qu'elle eut enfanté Samuel :

« Les rassasiés pour le pain se sont loués, et les affamés ont cessé (de l'être), tellement que la stérile en a enfanté sept, et la féconde a défailli. “ - 1 Samuel 2:5 ;

Dans ces passages, par les stériles sont entendues les nations qui sont appelées à l'Église, et auxquelles est transportée l'Église quand, la vieille Église a pris fin, c'est-à-dire, quand ceux qui étaient auparavant de l'Église ne sont plus dans la foi, parce qu'ils ne sont dans aucune charité ; c'est cette Église qui est entendue par la féconde qui a défailli, et par celle qui était mariée, tandis que la nouvelle Église, savoir, celle des Nations, est entendue par la stérile et la désolée qui auront des fils en grand nombre, et par la stérile de la maison, mère joyeuse de fils ; enfanter sept, c'est être régénéré jusqu'au plein, car là sept signifie jusqu'au plein et non pas sept, numéro 9228 : d'après cela, on voit clairement ce qui est entendu par ces paroles du Seigneur :

« Viendront les jours où l'on dira : Heureuses les stériles, et les ventres qui n'ont point engendré, et les mamelles qui n'ont point allaité. » - Luc 23:29.

Là, il s'agit de la consommation du siècle, qui est le dernier temps de l'Église. Dans 2 Rois :

« Les hommes de Jéricho dirent à Elisée : Voici, le séjour de la ville, bon ; mais les eaux mauvaises, et la terre stérile. Alors Elisée dit de mettre du sel dans un plat neuf, et d'en jeter le sel dans la source des eaux ; et les eaux devinrent saines, et il n'en résulta plus ni mort ni stérilité. » - 2 Rois 2:19, 20, 21 ;

Ce qu'enveloppent ces paroles, personne ne peut le savoir que par le sens interne ; en effet, tous les miracles, qui sont dans la Parole, enveloppent des choses qui sont dans le Royaume du Seigneur ou dans l'Église, numéros 7337, 7465, 8364, 9086 ; il faut donc qu'on sache ce que représentait Elisée, ce que signifiait la ville de Jéricho, ce que signifiaient les eaux mauvaises et la terre stérile, le plat neuf et le sel dans ce plat, et aussi ce que signifiait la source des eaux dans laquelle on devait jeter le sel ; Elisée a représenté le Seigneur quant à la Parole, voir numéro 2762 ; et les eaux signifient les vrais de la foi, numéros 28, 2702, 3058, 3424, 4976, 5668, 6346, 7307, 8137, 8138, 8568 ; de là les eaux mauvaises signifient les vrais sans le bien ; et la terre stérile, le bien de l'Église par suite non vivant ; le plat neuf ou le vase neuf, les scientifiques et les connaissances du bien et du vrai, numéros 3068, 3079, 3316, 3318 ; le sel, le désir du bien pour le vrai, numéro 9207 ; la source des eaux signifie le naturel de l'homme, qui reçoit les connaissances du vrai et du bien, et qui est amendé par le désir du vrai pour le bien : d'après cela, on voit clairement ce qu'enveloppait ce miracle, à savoir, que c'est l'amendement de l'Église et de la vie par la Parole d'après le Seigneur, et par le désir du vrai pour le bien qui en provient ; et que l'amendement se fait quand le naturel de l'homme d'après un tel désir reçoit les vrais provenant de la Parole : si cela a été fait vers la ville de Jéricho, c'est parce que cette ville était située non loin du Jourdain, et que le Jourdain signifie, chez l'homme de l'Église, ce qui d'abord reçoit les vrais, ainsi le naturel, numéros 1585, 4255 ; que le naturel de l'homme soit ce qui d'abord reçoit du Seigneur les vrais provenant de la Parole, et ce qui est, régénéré en dernier lieu, et que, lorsqu'il a été régénéré, l'homme tout entier ait été régénéré, c'est ce qui a été signifié par les paroles du Seigneur à Pierre, quand il lava les pieds des disciples :

« Jésus dit : Celui qui a été lavé n'a besoin que quant aux pieds d'être lavé, et net il est tout entier. » - Jean 13:10.

Que les pieds soient les choses qui appartiennent à l'homme naturel, et en général le naturel, on le voit, numéros 2162, 3147, 3761, 3986, 4280, , 5327, 5328. Que l'homme naturel ou externe doive être en correspondance avec l'homme spirituel ou interne, pour que l'homme ait été régénéré, et qu'ainsi l'homme n'ait été régénéré que quand le naturel a été régénéré, on le voit, numéros 2850, 3167, 3286, 3321, 3470, 3493, 3508, 3509, 3518, 3573, 3576, 3579, 3620, 3623, 3671, 3882, 3969, 4353, 4588, 4612, 4618, 5168, 5326, 5373, 5651, 6299, 6454, 7442, 7443, , 9043, 9046, 9061.

  
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Arcanes Célestes # 4588

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4588. Et lui dit la sage-femme : Ne crains point, signifie la perception provenant du, naturel : on le voit par la signification de dire dans les historiques de la Parole, en ce que c'est la perception, numéro 1791, , 1819, 1822, 1898, 1919, 2080, 2619, 2862, 3395, 3509 ; et par la signification de la sage-femme, en ce qu'elle est le Naturel ; si la sage-femme ici est le Naturel, c'est parce que, quand des tentations intérieures sont subies, c'est-à-dire, quand l'homme intérieur subit des tentations, le naturel est comme une sage-femme, car si le naturel n'aide point, il n'y a jamais aucun enfantement du vrai intérieur ; en effet, c'est le naturel qui reçoit dans son sein les vrais intérieurs, quand ils sont nés, car il leur procure le moyen de pouvoir sortir ; les choses qui appartiennent à l'enfantement spirituel sont de telle sorte, que la réception doit être absolument dans le naturel ; voilà pourquoi, lorsque l'homme est régénéré, le Naturel est d'abord préparé pour recevoir, et autant il est devenu capable de recevoir, autant les vrais et les biens intérieurs peuvent sortir et être multipliés ; voilà pourquoi encore, si l'homme naturel n'a pas été préparé à recevoir les vrais et les biens de la foi dans la vie du corps, il ne peut les recevoir dans l'autre vie, ni par conséquent être sauvé ; c'est là ce qui est entendu par cette expression commune chez le vulgaire : Comme l'arbre tombe il reste, ou, comme l'homme meurt il devient ; en effet, dans l'autre vie, l'homme a avec lui toute la mémoire naturelle ou de l'homme externe, mais là il ne lui est pas permis de s'en servir, numéro ; c'est pourquoi elle est là comme un plan fondamental, dans lequel tombent les vrais et les biens intérieurs ; si ce plan n'est pas capable de recevoir les biens et les vrais qui influent de l'intérieur, les biens et les vrais intérieurs sont ou éteints, ou pervertis, ou rejetés : d'après ces explications, on peut voir que le Naturel est comme une sage-femme. Que le naturel, en tant qu'il reçoit quand l'homme intérieur enfante, soit comme une sage-femme, on peut aussi le voir par le sens interne des choses rapportées sur les sages-femmes qui laissèrent la vie aux fils des femmes des Hébreux, malgré l'ordre de Pharaon ; il en est parlé ainsi dans Moïse :

« Le roi d'Egypte dit aux Sages-femmes des Hébreuses ; et il dit ; Quand vous accoucherez les Hébreuses, et vous verrez sur les sièges ; si c'est un fils, vous le tuerez ; et si c'est une fille, qu'elle vive : et les Sages-femmes craignaient Dieu, et elles ne firent point comme leur avait parlé le roi d'Egypte ; elles vivifiaient les enfants (mâles). Et le roi d'Egypte appela les Sages-femmes, et il leur dit : Pourquoi faites-vous cette chose, et vivifiez-vous les enfants (mâles) ? Et les Sages-femmes dirent à Pharaon : Parce que, non comme les femmes Égyptiennes, les Hébreuses, car vives, elles (sont) ; avant que vienne à elle la Sage-femme, et elles ont enfanté. Et Dieu fit du bien aux Sages-femmes ; et le peuple se multiplia, et ils devinrent très-nombreux : et il arriva, parce que les sages-femmes avaient craint Dieu, et il leur fit des maisons. ; par les filles et les fils, que les femmes Hébreuses enfantèrent, sont représentés les biens et les vrais de la Nouvelle-Église ; par les sages-femmes, le Naturel en tant qu'il reçoit les biens et les vrais ; par le roi d'Egypte, le Scientifique dans le commun, numéro 1164, 1165, 1186, qui éteint les vrais, ce qui arrive quand le scientifique entre, par un chemin opposé à l'ordre, dans les choses qui appartiennent à la foi, en ne croyant rien, sinon ce qui est dicté par le sensuel et par le scientifique ; que là les sages-femmes soient les réceptions du vrai dans le naturel, c'est ce qui sera confirmé, d'après la Divine Miséricorde du Seigneur, quand il s'agira d'expliquer ce que renferme ce Chapitre de l'Exode.

  
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