Bible

 

Exode 21:33

Studie

       

33 Si un homme met à découvert une citerne, ou si un homme en creuse une et ne la couvre pas, et qu'il y tombe un boeuf ou un âne,

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Arcanes Célestes # 9090

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9090. Et quand aura blessé un bœuf d'un homme le bœuf son compagnon, signifie deux vrais dont les affections sont ffêrentes, et dont l'affection de l'un a lésé celle de l'autre : le voit par la signification de blesser (faire une plaie), en ce que c'est la lésion du vrai, numéros 9057 ; par la signification du bœuf, en qu'il est l'affection du bien, et dans le sens opposé l'affection du il dans le naturel, numéro 9065 ; et par la signification de l'homme, ce qu'il est le vrai, numéro 9034 ; de là par l'homme et par son compagnon sont signifiés deux vrais ; que ce soient des affections differentes qui sont signifiées, c'est parce que ce sont des bœufs qui se :ssent, par lesquels sont signifiées les affections, caries choses qui it différentes se lèsent, mais non celles qui ne sont pas différenier. Celui qui ne sait pas ce qu'il en est des représentatifs et des respondances, peut s'étonner qu'un bœuf puisse signifier l'affecction du bien ou du mal chez l'homme, parce que le bœuf est une le ; mais qu'il sache que toutes les bêtes signifient des choses qui partiennent à quelque affection ou à quelque inclination ; dans le Dnde spirituel cela est très-connu, car il y apparaît fréquemment les bêtes de divers genres, comme bœufs, taureaux, vaches, chevaux, mulets, ânes, brebis, chèvres, chevreaux, agneaux ; et aussi des bêtes méchantes, comme tigres, panthères, ours, chiens, eo-ons, serpents ; et même des bêtes qui n'ont été vues nulle part sur terre, outre des oiseaux aussi de divers genres. Que de telles }ses y apparaissent, cela surpasse la foi chez ceux qui croient î ce qu'ils ne voient point des yeux du corps n'est rien ; mais ces imes hommes ne croient pas non plus qu'il y ait des esprits ou ; anges, ni à plus forte raison que ces esprits apparaissent comme hommes, qu'ils se voient mutuellement, parlent entre eux, se touchent ; la raison pour laquelle ils ne croient pas, c'est qu'ils sont si sensuels et si corporels, qu'ils s'imaginent qu'il n'y a que les corps qui vivent ; de là vient, comme il a été dit, que ces choses surpassent la foi chez eux : mais non-seulement j'ai.vu ces choses des milliers de fois, mais même à l'égard des animaux que je voyais, j'ai été instruit d'où ils provenaient et de ce qu'ils signifiaient ; ainsi j'ai appris que les affections du bien dans le naturel, lorsqu'elles se pré-sentent à la vue dans une forme animale, apparaissent comme des bœufs paisibles, et les affections du mal comme des bœufs irrités ; et que toutes les autres affections apparaissent dans les formes des autres animaux : c'est de là que les bêtes de divers genre signifient chez l'homme les choses auxquelles elles correspondent : mais sur ce sujet, voir ce qui a déjà été montré, numéros 142, 143, 246, 714, 715, 716, 719, 1823, 2179, 2180, 2781, 2805, 2807, 2830, 3218, 3519, 5198, 7523.

  
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Arcanes Célestes # 9034

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9034. Et quand aura, frappé un homme son serviteur ou sa irvante avec le bâton, signifie si quelqu'un au dedans de l'Elise traite mal d'après la propre puissance un vrai scientifine ou l'affection de ce vrai : on le voit par la signification de frapper en ce que c'est traiter mal, car frapper se dit d'un dom-lage quelconque ; par la signification de l'homme, ici d'un homme entre les fils d'Israël, en ce que c'est celui qui est de l'Église et ar suite dans le Vrai spirituel, qui est le vrai de la doctrine de la foi de l'Église d'après la Parole, numéros 6426, 6437, 6862, 6868, , 7062, 7198, 7201, 7215, 7223, 7957, 8234, 8805 ; par i signification du serviteur, en ce qu'il est le vrai scientifique, qui stle Vrai de la Parole, mais du sens littéral, ainsi qu'il sera ex-liqué ; par la signification de la servante, en ce qu'elle est l'affec-ion naturelle, ainsi l'affection des scientifiques, parce que les scien-ifiquessont dans le naturel, numéros 1895, 2567, 3835, 3849, 8993, 1994 ; et par la signification du bâton, en ce qu'il est la puissance aturelle, numéros 4876, 4936, 6947, 7011, 7026, ici la propre puis-ance, parce que c'est d'un serviteur acheté qu'il est question : d'a-irès cela, il est évident que ces paroles,

« quand aura frappé un homme son serviteur ou sa servante avec le bâton, » signifient si quelqu'un au dedans de l'Église traite mal d'après la propre puis-sance un vrai scientifique ou l'affection de ce vrai. Si le serviteur est un vrai du sens littéral de la Parole, c'est parce que le serviteur en général signifie les inférieurs ou les extérieurs, puisqu'ils servent les supérieurs ou les intérieurs, numéros 2541, 5161, 5164, 5936, 7143 ; de là, le serviteur signifie le naturel, puisque le naturel sert le spirituel, numéros 3019, 3020, 5305, 7998, par conséquent il signifie le vrai scientifique qui appartient au sens littéral de la Parole, car ce vrai sertie Vrai spirituel qui appartient au sens interne ; le Vrai du sens interne de la Parole est une môme chose que le vrai réel de la doctrine de la foi de l'Église. Il faut dire en peu de mots comment le vrai du sens littéral de la Parole sert le vrai spirituel : L'homme de l'Église apprend d'abord le vrai d'après le sens littéral de la Parole, c'est le vrai commun mis à la portée de l'homme Externe qui est dans la lumière naturelle ; ce vrai est reçu par le chemin externe, c'est-à-dire, par l'ouie, et il est déposé dans la mémoire de l'homme Externe, où sont aussi les divers scientifiques qui proviennent du monde, numéros : ensuite le ? choses déposées dans cette mémoire sont soumises à la vue ou à l'intuition de l'homme Interne, qui voit d'après la lumière du ciel ; cet homme par un choix en évoque les vrais concordants avec le bien qui influe par le chemin de l'âme, et que l'homme avait reçu ; là, le Seigneur conjoint les vrais au bien ; les vrais qui ont été ainsi conjoints dans l'homme Interne sont appelés vrais spirituels, et le bien avec lequel les vrais ont été conjoints est appelé bien spirituel ; ce bien formé par les vrais est ce qui fait la vie spirituelle de l'homme ; les vrais eux-mêmes y sont appelés vrais de la foi, et le bien est appelé bien de la charité ; le bien, dans lequel les vrais ont été ainsi implantés, est l'Église chez l'homme. D'après cela, on voit clairement comment les vrais du sens litt@©ral de la Parole servent à former les vrais spirituels, en général à former la foi et la charité qui font la vie spirituelle, vie qui consiste à être affecté des vrais pour le bien, et à être affecté du bien d'après les vrais, et enfin à être affecté des vrais d'après le bien.

  
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