Bible

 

Exode 21:28

Studie

       

28 Si un boeuf frappe de ses cornes un homme ou une femme, et que la mort en soit la suite, le boeuf sera lapidé, sa chair ne sera point mangée, et le maître du boeuf ne sera point puni.

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Arcanes Célestes # 9090

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9090. Et quand aura blessé un bœuf d'un homme le bœuf son compagnon, signifie deux vrais dont les affections sont ffêrentes, et dont l'affection de l'un a lésé celle de l'autre : le voit par la signification de blesser (faire une plaie), en ce que c'est la lésion du vrai, numéros 9057 ; par la signification du bœuf, en qu'il est l'affection du bien, et dans le sens opposé l'affection du il dans le naturel, numéro 9065 ; et par la signification de l'homme, ce qu'il est le vrai, numéro 9034 ; de là par l'homme et par son compagnon sont signifiés deux vrais ; que ce soient des affections differentes qui sont signifiées, c'est parce que ce sont des bœufs qui se :ssent, par lesquels sont signifiées les affections, caries choses qui it différentes se lèsent, mais non celles qui ne sont pas différenier. Celui qui ne sait pas ce qu'il en est des représentatifs et des respondances, peut s'étonner qu'un bœuf puisse signifier l'affecction du bien ou du mal chez l'homme, parce que le bœuf est une le ; mais qu'il sache que toutes les bêtes signifient des choses qui partiennent à quelque affection ou à quelque inclination ; dans le Dnde spirituel cela est très-connu, car il y apparaît fréquemment les bêtes de divers genres, comme bœufs, taureaux, vaches, chevaux, mulets, ânes, brebis, chèvres, chevreaux, agneaux ; et aussi des bêtes méchantes, comme tigres, panthères, ours, chiens, eo-ons, serpents ; et même des bêtes qui n'ont été vues nulle part sur terre, outre des oiseaux aussi de divers genres. Que de telles }ses y apparaissent, cela surpasse la foi chez ceux qui croient î ce qu'ils ne voient point des yeux du corps n'est rien ; mais ces imes hommes ne croient pas non plus qu'il y ait des esprits ou ; anges, ni à plus forte raison que ces esprits apparaissent comme hommes, qu'ils se voient mutuellement, parlent entre eux, se touchent ; la raison pour laquelle ils ne croient pas, c'est qu'ils sont si sensuels et si corporels, qu'ils s'imaginent qu'il n'y a que les corps qui vivent ; de là vient, comme il a été dit, que ces choses surpassent la foi chez eux : mais non-seulement j'ai.vu ces choses des milliers de fois, mais même à l'égard des animaux que je voyais, j'ai été instruit d'où ils provenaient et de ce qu'ils signifiaient ; ainsi j'ai appris que les affections du bien dans le naturel, lorsqu'elles se pré-sentent à la vue dans une forme animale, apparaissent comme des bœufs paisibles, et les affections du mal comme des bœufs irrités ; et que toutes les autres affections apparaissent dans les formes des autres animaux : c'est de là que les bêtes de divers genre signifient chez l'homme les choses auxquelles elles correspondent : mais sur ce sujet, voir ce qui a déjà été montré, numéros 142, 143, 246, 714, 715, 716, 719, 1823, 2179, 2180, 2781, 2805, 2807, 2830, 3218, 3519, 5198, 7523.

  
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Arcanes Célestes # 142

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142. Vers. 19, 20. Et Jéhovah Dieu avait formé de l'humus toute bête du champ, et tout oiseau des cieux, et Il les amena vers l'homme, afin qu'il vit comment Il les appellerait ; et chaque fois, selon que l'homme appelait une âme vivante, cela était son nom.

Et l'homme appelait de noms toute bête, et l'oiseau des cieux, et toute bête sauvage (fera) du champ ; et à l'homme point ne se trouva d'aide comme auprès de lui. Par les Bêtes sont signifiées les affections célestes, par les Oiseaux des cieux, les affections spirituelles ; ou, par les bêtes les choses qui appartiennent à la volonté, et par les oiseaux celles qui appartiennent à l'entendement : les amener vers l'homme, afin qu'il vit comment il les appellerait, c'est lui donner à connaître quelles elles sont ; et les avoir appelés de noms signifie qu'il connut quelles elles étaient ; et bien qu'il eut connu quelles étaient les affections du bien et les connaissances du vrai dont il avait été confirmé par le Seigneur, il n'en désirait pas moins le propre, ce qui est exprimé, de la même manière qu'auparavant, en ce que : Point ne se trouva d'aide comme auprès de lui.

  
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