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Genèse第9章:6

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6 Celui qui aura répandu le sang de l'homme dans l'homme, son sang sera répandu; car Dieu a fait l'homme à son image.

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Arcanes Célestes#996

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996. Le potager signifie ce qu'il y a de grossier dans les plaisirs : on peut s'en assurer par ce qui a été dit. Ces choses grossières sont nommées le potager de l'herbe (plus herbe, la partie potagère de l'herbe), parce qu'elles sont seulement mondaine ; et corporelles, ou externes ; car, comme on l'a dit, les voluptés qui sont dans les corporels ou dans les externes tirent leur origine des plaisirs intérieurs par ordre. Les plaisirs qui sont perçus dans les externes ou dans les corporels sont grossiers en comparaison des autres ; car il est dans la nature de tout plaisir d'être d'autant plus grossier qu'il s'approche davantage des externes, et d'autant plus parfait qu'il s'approche davantage des internes. C'est pourquoi, comme on l'a dit, selon que les externes sont déroulés par ordre, ou que les langes sont enlevés, les plaisirs deviennent des charmes et des félicités ; c'est ce qui résulte suffisamment de ce que le plaisir des voluptés de l'homme tant qu'il vit dans le corps, est grossier, en comparaison de son plaisir après la vie du corps, quand il vient dans le monde des esprits, et même tellement grossier, que les bons esprits méprisent totalement les plaisirs du corps, et ne voudraient pas rentrer dans ces plaisirs, lors même qu'on leur donnerait toutes les voluptés et tous les plaisirs du monde entier. Le plaisir de ces esprits devient pareillement grossier pour eux quand ils sont élevés par le Seigneur dans le ciel des esprits angéliques, car ils abandonnent alors ces plaisirs interdits, et jouissent de plaisirs plus intérieurs. De même le plaisir que les esprits angéliques ont goûté dans leur ciel devient grossier pour eux, quand le Seigneur les élève dans le Ciel angélique, on troisième ciel : il règne dans ce Ciel une félicité ineffable, parce que les internes vivent, et qu'il n'y existe qu'un amour mutuel. Voir numéro 545, ce que j'ai dit d'après l'expérience sur le plaisir intérieur ou la félicité. On peut, par ce qui précède, voir ce que signifient ces mots : comme le potager de l'herbe je vous l'ai donné tout. Comme les Reptiles signifient tant les voluptés du corps que les voluptés des sensuel, auxquelles on donne pour attribut le potager de l'herbe, il y a dans la langue originale un mot qui signifie le potager (olus), de même que le vert (viride) ; le potager par rapport aux voluptés des volontaires ou des affections célestes ; le vert par rapport aux voluptés des intellectuels ou des affections spirituelles. On voit dans la Parole, que le potager de l'herbe, ou le vert de l'herbe signifie des choses d'un vil prix ; ainsi, dans Ésaïe :

« Les eaux de Nimrim seront des désolations, car le foin s'est séché, l'herbe a été consumée, il n'y a pas de Vert. » - Ésaïe 15:6.

Dans le Même ;

« Leurs habitants, à la main courte, ont été consternés et accablés de honte ; ils sont devenus (tels que) l'herbe du champ et le Potager de l'herbe, le gazon des toits. » - .

Le potager de l'herbe est employé là pour ce qu'il a de plus grossier.

Dans Moïse :

« La terre dans laquelle tu viens pour la posséder, » n’(est) point comme cette terre d'Egypte d'où tu es sorti, où tu sèmes ta semence, et (L'arrosés avec ton pied comme au jardin du potager.

Deutéronome 11:10.

Le jardin du potager est mis là pour ce qui est vil.

Dans David :

« Les méchants seront soudainement retranchés comme le foin, et ils seront consumés comme le potager de l'herbe. » - Psaumes 38:2.

Là, le foin et le potager de l'herbe sont pris pour ce qu'il y a de plus vil.

  
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Arcanes Célestes#545

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545. Pour que je pusse savoir ce que c'est que le Ciel et quel est le Ciel, et ce que c'est que la joie céleste, il m'a été souvent et longtemps donné par le Seigneur de percevoir les charmes des joies célestes ; je peux donc les connaître, puisque c'est par vive expérience, mais je ne saurais jamais les décrire ; cependant, pour qu'on en ait seulement une idée, je dirai que c'est une Affection de plaisirs et de joies innombrables, présentant une sorte de commun simultané, dans lequel commun, ou dans laquelle commune affection, il y a des harmonies d'affections innombrables qui parviennent à la perception, non distinctement, mais obscurément, parce que la perception est très-commune ; toutefois, il m'a été donné de percevoir qu'elles renferment des choses innombrables, placées dans un tel ordre qu'on ne saurait jamais les décrire ; ces choses innombrables découlent, telles qu'elles sont, de l'ordre du Ciel : il y a un ordre semblable dans chaque partie d'une affection et dans ses plus petites parties, qui ne se présentent que comme une unité très-commune, et sont perçues selon la capacité de celui qui en est l'objet ; en un mot, il y a des choses en nombre indéfini dans la forme la mieux ordonnée dans chaque commun ; et il n'y a rien qui ne vive, qui n'affecte, même les intimes, car les joies célestes découlent des intimes. J'ai perçu aussi que la joie et le délice partaient comme du cœur pour se répandre avec la plus grande suavité dans toutes les fibres intimes, et de là dans les faisceaux de fibres, avec un tel sens intime de plaisir, qu'il semble que chaque fibre ne soit autre chose qu'une joie et qu'un délice, et pareillement chaque perceptif et chaque sensitif ; tout vit de félicités ; la joie des voluptés du corps, comparée à ces joies, est comme un brouillard épais et piquant comparé à un air pur et très-doux.

  
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