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Genèse第46章:2

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2 Et Dieu parla à Israël dans les visions de la nuit, en disant : Jacob, Jacob! Et il répondit : Me voici.

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Arcanes Célestes#3021

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3021. Mets, je te prie, ta main sous ma cuisse, signifie son engagement quant à la puissance pour le bien de l'amour conjugaison le voit par la signification de la main, en ce qu'elle est la puissance, numéro 878 ; et par la signification de la cuisse, en ce qu'elle est le bien de l'amour conjugal, ainsi qu'il va être expliqué. Que ce soit un engagement quant à cette puissance, on le voit, en ce que ceux qui s'engageaient à quelque chose qui concernait l'amour conjugal, mettaient, d'après un rite ancien, la main sous la cuisse de celui avec qui ils prenaient l'engagement, et qui alors les adjurait, et cela, parce que la cuisse signifiait l'amour conjugal, et la main, la puissance ou autant qu'on pouvait ; car toutes les parties du corps humain correspondent aux spirituels et aux célestes dans le Très-Grand Homme, qui est le Ciel, comme il a été montré, numéro 2996, 2998, et comme dans la suite, d'après la Divine Miséricorde du Seigneur, il sera montré plus amplement : les cuisses elles-mêmes avec les Lombes correspondent à l'Amour Conjugal ; ces correspondances avaient été connues des Très-Anciens, c'est pourquoi il en était résulté chez eux plusieurs rites religieux, parmi lesquels était aussi celui de mettre la main sous la cuisse, lorsqu'on s'engageait à quelque bien de l'amour conjugal ; la connaissance de ces rites, qui était très-estimée des Anciens, et qu'ils plaçaient au rang des choses les plus importantes de leur science et de leur intelligence, est aujourd'hui entièrement perdue, au point qu'on ignore même qu'il existe quelque Correspondance, et peut-être, par suite de cette ignorance, sera-t-on étonné que de telles choses soient signifiées par ce rite : ici, comme il s'agit des fiançailles de Isaac fils d'Abraham avec quelque fille de sa famille, et qu'il est dit au serviteur le plus ancien de s'acquitter de ce devoir, c'est pour cela que ce rite est observé. Que la cuisse signifie l'Amour conjugal, d'après la Correspondance, ainsi qu'il vient d'être dit, c'est ce qu'on peut voir aussi par d'autres passages dans la Parole, par exemple, par la procédure prescrite dans Moïse, quand une femme était accusée d'adultère par son mari :

« Le prêtre adjurera la femme par un serment de malédiction, et le prêtre dira à la femme : Jéhovah te donnera toi-même en malédiction et en adjuration au milieu de ton peuple, en ce que Jéhovah rendra ta Cuisse tombante et ton ventre enflé. Quand il lui aura donné à boire les eaux, et il arrivera que si elle est souillée et a prévariqué de prévarication envers son mari, et les eaux maudites viendront en elle en amertumes, et son ventre enflera, et sa Cuisse tombera, et la femme sera en exécration au milieu de son peuple. » - Nombres 5:21, 27.

La cuisse qui devait tomber signifiait le mal de l'amour conjugal ou l'adultère ; les autres actes de cette procédure signifiaient, chacun en particulier, des spécialités de l'affaire même, de sorte qu'il n'y a pas le moindre détail qui ne renferme quelque chose, tellement que l'homme qui lit la Parole, sans l'idée du saint, doit s'étonner d'y rencontrer de tels détails. Par suite de la signification de la cuisse, qui est le bien de l'amour conjugal, il est dit quelquefois : sortis de sa cuisse, par exemple, au sujet de Jacob :

« Fructifie et multiplie ! Une nation et une assemblée de nations seront suscitées de toi, et des rois sortiront de tes cuisses, » - Genèse 35:11.

Et ailleurs :

« Toute âme qui vint avec Jacob en Egypte, ceux qui étaient sortis de sa cuisse. » - Genèse 46:26. Exode 1:5.

Et au sujet de Gidéon :

« Gidéon avait soixante-dix fils sortis de sa cuisse. » - Juges 8:30.

Et comme les cuisses, le dedans des cuisses et les lombes signifient les choses qui appartiennent à l'amour conjugal, ils signifient aussi celles qui appartiennent à l'amour et à la charité, et cela, parce que l'amour conjugal est l'amour fondamental de tous les amours, Voir numéros 686, 2733, 2737, 2738, 2739, car ils viennent de la même origine, savoir, du Mariage céleste, qui est le mariage du bien et du vrai, Voir numéros ; que la cuisse signifie le bien de l'amour céleste et le bien de l'amour spirituel, on peut le voir par ces passages, dans Jean :

« Celui qui était monté sur le Cheval blanc avait sur son vêtement et sur sa cuisse ce nom écrit : le Roi des rois et le Seigneur des Seigneurs. » - Apocalypse 19:16.

Celui qui était monté sur le cheval blanc est la Parole, ainsi le Seigneur qui est la Parole, Voir numéros 2760, 2761, 2762 ; le Vêtement est le Divin Vrai, numéro 2576 ; c'est pour cela qu'il est appelé le Roi des rois, numéro 3009 ; de là on voit clairement ce que c'est que la cuisse, savoir, le Divin Bien qui appartient à son amour, ce qui fait aussi qu'il est appelé le Seigneur des Seigneurs, numéros ; comme cela est la qualité du Seigneur, il est dit qu'il avait ce nom écrit sur son vêtement et sur sa cuisse, car le nom signifie la qualité, numéros 1896, 2009, 2724, 3006.

Dans David :

« Ceins ton épée sur la cuisse, ô puissant par ta gloire et par ton honneur ! » - Psaumes 45:4.

Là, il s'agit du Seigneur ; l'épée est le vrai qui combat, numéro 2799 ; la cuisse est le bien de l'amour ; ceindre l'épée sur la cuisse signifie que le vrai par lequel il combattrait procédait du bien de l'amour.

Dans Ésaïe :

« La justice sera la ceinture de ses reins, et la vérité la ceinture de ses cuisses. » - Ésaïe 11:5.

Là, il s'agit aussi du Seigneur ; la justice, parce qu'elle se dit du bien de l'amour, numéro 2235, est nommée ceinture des reins ; la vérité, parce qu'elle procède du bien, est appelée ceinture des cuisses ; ainsi les reins se disent de l'amour du bien, et les cuisses, de l'amour du vrai.

Dans le Même :

« Il n'est point fatigué ni abattu en Lui-même, il ne sommeillera point et ne dormira point, et la ceinture de ses cuisses n'a point été déliée, et la courroie de ses souliers n'a point été rompue. » - Ésaïe 5:27.

Il s'agit du Seigneur ; la ceinture de ses cuisses, c'est l'amour du vrai, comme ci-dessus.

Dans Jérémie, Jéhovah lui ordonna d'acheter une ceinture de lin, et de la mettre sur ses reins, mais de ne pas la passer par l'eau ; et de s'en aller vers l'Euphrate, et de la cacher dans un trou de rocher ; cela étant fait, lorsqu'il y retourna et qu'il la retira du lieu, elle était pourrie. » - .

La ceinture de lin, c'est le vrai ; il était représenté que le vrai procédait du bien, en ce qu'il la mettait sur ses reins ; chacun peut voir que ce sont là des représentatifs et qu'on ne peut savoir ce qu'ils signifient que par les Correspondances, dont il sera traité, d'après la Divine Miséricorde du Seigneur, à la fin de quelques Chapitres ; on ne comprendrait pas autrement non plus les choses qui furent vues par Ézéchiel, par Daniel et par Nébuchadnézar : par Ézéchiel :

« Au-dessus de l'étendue, qui (était) sur la tête des Chérubins, (il y avait) comme l'aspect d'une pierre de Saphir une ressemblance de trône, et sur la ressemblance du trône une ressemblance comme l'aspect d'un Homme sur lui, au-dessus : et je vis comme une apparence de braise ardente, comme un aspect de feu au dedans d'elle (et) tout autour ; depuis L'aspect de ses Reins et au-dessus, et depuis l'aspect de ses Reins et au-dessous, je vis comme un aspect de feu, et sa splendeur tout autour comme l'aspect de l'arc-en-ciel, qui est dans une nuée en un jour de pluie ; ainsi (était) l'aspect de la splendeur tout autour, ainsi (était) l'aspect de la ressemblance de la gloire de Jéhovah. » - Ézéchiel 1:26-27, 28.

Que ce soit là un représentatif du Seigneur et de son Royaume, c'est ce qu'on peut voir ; et que l'aspect des reins en dessus et des reins en dessous soit le représentatif de son amour, cela est évident par la signification du feu, en ce qu'il est l'amour, numéro 934, et par la signification de la splendeur et de l'arc-en-ciel, en ce qu'ils désignent la sagesse et l'intelligence qui procèdent de l'amour, numéros 1042, 1043, 1053 : par Daniel :

« L'homme qu'il vit était vêtu de lin, et ses Reins étaient ceints d'or d'Uphaz, et son corps (était) comme une Tharschisch, et ses faces comme l'aspect de l'éclair, et ses yeux comme des lampes de feu, et ses bras et ses pieds comme la splendeur de l'airain poli. » - Daniel 10:5-6.

Personne ne peut comprendre ce que signifient toutes ces choses, sinon par les représentations et leurs correspondances, ce que signifient par exemple les reins, le corps, les faces, les yeux, les bras, les pieds ; d'après les représentations et les correspondances, on voit que c'est le Royaume céleste du Seigneur, qui a été ainsi représenté ; les reins sont le Divin amour ; l'or d'Uphaz dont ils étaient ceints est le bien de la sagesse qui procède de l'amour, numéros 113, 1551, 1552 : par Nébuchadnézar, dans Daniel :

« La tête de la statue était d'or fin ; sa Poitrine et ses Bras, d'argent ; son Ventre et ses Cuisses, d'airain ; ses Pieds en partie de fer et en partie d'argile. » - Daniel 2:32-33.

Par cette statue ont été représentés les Etats successifs de l'Église ; par la Tête qui était d'or, le premier état qui fut céleste, parce qu'il appartenait à l'amour pour le Seigneur ; par la poitrine et les bras qui étaient d'argent, le second état qui fut spirituel, parce qu'il appartenait à la charité envers le prochain ; par le ventre et les cuisses qui étaient d'airain, le troisième état qui fut celui du bien naturel, lequel est l'airain, numéros 425, 1551 ; le bien naturel appartient à l'amour ou à la charité envers le prochain dans un degré au-dessous du bien spirituel ; par les pieds qui étaient de fer et d'argile, le quatrième état qui fut celui du vrai naturel, lequel est le fer, numéros 425, 426, et aussi celui de nulle cohérence avec le bien, qui est l'argile. D'après tout ce qui vient d'être dit, on peut voir ce que signifient les cuisses et les reins, savoir, l'amour conjugal principalement, et par suite tout amour réel, comme on le voit d'après les passages cités, et aussi d'après Genèse 32:26, 32, Ésaïe 20:2-3, Nahum 2:2. Psaumes 69:24. Exode 12:11. Luc 12:35-36.

Et même, dans le sens opposé, les amours contraires, savoir, les amours de soi et du monde, - Luc 1 Rois 2:5, Ésaïe 32:10-11. . Ézéchiel 29:7. Amos 8:10.

  
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Arcanes Célestes#2235

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2235. La justice concerne le bien, et le jugement concerne le vrai : c'est ce qu'on peut voir par la signification de la Justice et par la signification du Jugement.

Dans la Parole, la Justice et le Jugement sont nommés plusieurs fois ensemble ; mais que signifient-ils dans le sens interne, c'est ce qu'on n'a pas encore su.

Dans le sens le plus proche la Justice s'applique au juste, et le Jugement au droit ; le juste, c'est quand on juge de quelque chose d'après le bien, et cela selon la conscience ; le droit, c'est quand l'homme juge d'après la loi, et ainsi d'après le juste de la loi, par conséquent aussi selon la conscience, parce que la loi lui sert de règle ; mais dans le sens interne la Justice est ce qui procède du bien, et le Jugement ce qui procède du vrai ; le bien est tout ce qui appartient à l'amour et à la charité ; le vrai est tout ce qui appartient à la foi qui provient de l'amour et de la charité ; le vrai tire son essence du bien et est appelé le vrai procédant du bien ; de même que la foi procède de l'amour, de même aussi le jugement procède de la justice. Que la justice et le Jugement aient ces significations, c'est ce qu'on voit par ces passages de la Parole.

Dans Jérémie :

« Ainsi a dit Jéhovah : Faites le Jugement et la Justice, et arrachez le dépouillé de la main de l'oppresseur. Malheur à celui qui bâtit sa maison sans la Justice, et ses chambres hautes sans le Jugement. Ton père n'a t-il pas mangé et bu, et fait le Jugement et la Justice ? Alors le bien (était) à lui. » - Jérémie 22:3, 13, 15.

Le jugement désigne les choses qui appartiennent au vrai, et la justice celles qui appartiennent au bien.

Dans Ézéchiel :

« Si l'impie s'est détourné de son péché et qu'il ait fait le Jugement et la Justice, tous ses péchés qu'il a commis ne lui seront point rappelés ; il a fait le Jugement et la Justice, en vivant il vivra. Quand l'impie sera revenu de son impiété et aura fait le Jugement et la Justice, à cause de ces choses là, il vivra. » - Ézéchiel 33:14, 16, 19.

De même le jugement désigne le vrai qui appartient à la foi, et la justice le bien qui appartient à la charité.

Dans Amos :

« Que le Jugement coule comme les eaux, et la Justice comme un fort torrent. » - Amos 5:24.

Là il en est de même.

Dans Ésaïe :

« Ainsi a dit Jéhovah : Gardez le Jugement et faites la Justice, parce que mon salut (est) prêt à venir, ma Justice à se révéler. » - Ésaïe 56:1.

Dans le Même :

« Il n'y aura point de fin à la Paix sur le trône de David et sur son règne, pour l'affermir et le soutenir dans le Jugement et la Justice, dès maintenant et jusque dans l'éternité. » - Ésaïe 9:6.

C’est-à-dire qu'il sera dans les vrais de la foi et dans les biens de la charité.

Dans le Même :

« Jéhovah (sera) exalté, parce qu'il habite en haut ; il a rempli Sion de Jugement et de Justice. » - Ésaïe 33:5.

Je jugement désigne la foi, la justice l'amour, et Sion l'Eglise ; le jugement est placé le premier, parce que l'amour arrive par la foi ; mais quand la justice est placée la première, c'est que la foi vient de l'amour ; comme dans Osée :

« Je te fiancerai à Moi pour l'éternité, et je ne te fiancerai à Moi dans la Justice et le Jugement, et dans la Miséricorde et dans les commisérations, et je te fiancerai à Moi dans la foi, et tu connaîtras Jéhovah. » - Ésaïe 2:19, 20.

Là, la Justice ainsi que la Miséricorde, qui appartiennent à l'amour, sont placées les premières, et le Jugement ainsi que les Commisérations, qui appartiennent à la foi procédant de l'amour sont nommées ensuite ; l'un et l'autre sont appelés Foi ou Fidélité.

Dans David :

« Jéhovah ! Ta Miséricorde est dans les cieux, ta Vérité (va) jusqu'aux éthers ; ta Justice (est) comme les montagnes de Dieu, tes Jugements (sont)

un grand abîme. » - Psaumes 36:6, 7.

Là pareillement la Miséricorde et la Justice appartiennent à l'amour, et la Vérité et les Jugements appartiennent à la foi.

Dans le Même :

« Que la Vérité germe de la terre, et que la Justice regarde du Ciel ; Jéhovah aussi donnera le bien, et notre terre donnera son produit. » - Psaumes 85:12, 13 ;

Dans ce passage la Vérité qui appartient à la foi est à la place du Jugement, et la Justice désigne l'amour ou la miséricorde.

Dans Zacharie :

« Je les amènerai, et ils habiteront dans le milieu de Jérusalem, et ils Me seront en peuple, et Moi je leur serai en Dieu dans la Vérité et dans la Justice. » - Zacharie 8:8.

Par là on voit aussi que le jugement est le vrai et la justice le bien, puisqu'au lieu du jugement il y a ici la vérité.

Il en est de même dans David :

« (C'est) celui qui marche intègre, et qui fait la Justice et prononce le Jugement. » - Psaumes 15:2.

Parce que la foi appartient à la charité, ou parce que le vrai appartient au bien, il en résulte que les vrais du bien sont çà et là nommés Jugements de la Justice, et qu'ainsi les Jugements signifient presque la même chose que les préceptes, comme dans Ésaïe :

« Que de jour en jour ils me cherchent, et qu'ils désirent la science de mes voies, comme une nation qui fait la Justice et n'abandonne point le Jugement de son Dieu ; qu'ils M'interrogent sur les Jugements de Justice ; qu'ils désirent l'approche de Dieu. » - Ésaïe 58:2.

Dans David, on voit qu'ils sont des Préceptes :

« Sept fois le jour je T'ai loué sur les Jugements de ta Justice ; tous tes Préceptes (sont) Justice. » - Psaumes 119:64, 72. Il est dit surtout au sujet du Seigneur, qu'il fait le Jugement et la Justice, quand il crée l'homme de nouveau comme dans Jérémie :

« Que celui qui se glorifie se glorifie de cela comprendre et Me connaître, en ce que Moi Jéhovah je fais la Miséricorde, le Jugement et la Justice en la terre, parce que ces choses-là Me plaisent. » - Jérémie 9:23.

La Miséricorde qui appartient à l'amour est décrite là par le Jugement et la Justice.

Dans le Même :

« Je susciterai à David un germe juste, et il régnera (en) Roi, et il agira avec intelligence, et il fera le Jugement et la Justice en la terre. » - .

De là dans Jean :

« Si je m'en vais, j'enverrai le Paraclet vers vous, et quand il sera venu, il réprimandera le monde au sujet du Péché, de la Justice et du Jugement : au sujet du Péché, parce qu'ils ne croient point en Moi ; au sujet de la Justice, parce que je m'en vais à mon Père et que vous ne Me verrez plus ; au sujet du Jugement, parce que le prince de ce monde a été jugé. Jean 16:7-8, 9, 10, 11.

Là, le Péché désigne toute infidélité ; réprimander au sujet de la Justice, c'est au sujet de tout ce qui est contre le bien, quand cependant le Seigneur a uni l'Humain au Divin pour sauver le Monde, ce qui est signifié par : je m'en vais au Père et vous ne me verrez plus ; au sujet du Jugement, c'est au sujet de tout ce qui est contre le vrai, quand cependant les maux ont été jetés dans leurs enfers, afin qu'ils ne puissent plus causer de préjudice, ce qui est signifié par : le prince de ce monde a été jugé ; en général, réprimander au sujet du Péché, de la Justice et du Jugement, c'est réprimander au sujet de toute infidélité contre le bien et le vrai, par conséquent de ce qu'il n'y a aucune charité ni aucune foi ; car, dans les temps anciens, par la Justice et le Jugement on entendait, en ce qui concerne le Seigneur, toute Miséricorde et toute Grâce, et en ce qui concerne l'homme, toute Charité et toute Foi.

  
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