圣经文本

 

Genèse第45章:18

学习

       

18 Et prenez votre père et vos familles, et revenez vers moi, et je vous donnerai du meilleur du pays d'Egypte; et vous mangerez la graisse de la terre.

来自斯威登堡的著作

 

Arcanes Célestes#3021

学习本章节

  
/10837  
  

3021. Mets, je te prie, ta main sous ma cuisse, signifie son engagement quant à la puissance pour le bien de l'amour conjugaison le voit par la signification de la main, en ce qu'elle est la puissance, numéro 878 ; et par la signification de la cuisse, en ce qu'elle est le bien de l'amour conjugal, ainsi qu'il va être expliqué. Que ce soit un engagement quant à cette puissance, on le voit, en ce que ceux qui s'engageaient à quelque chose qui concernait l'amour conjugal, mettaient, d'après un rite ancien, la main sous la cuisse de celui avec qui ils prenaient l'engagement, et qui alors les adjurait, et cela, parce que la cuisse signifiait l'amour conjugal, et la main, la puissance ou autant qu'on pouvait ; car toutes les parties du corps humain correspondent aux spirituels et aux célestes dans le Très-Grand Homme, qui est le Ciel, comme il a été montré, numéro 2996, 2998, et comme dans la suite, d'après la Divine Miséricorde du Seigneur, il sera montré plus amplement : les cuisses elles-mêmes avec les Lombes correspondent à l'Amour Conjugal ; ces correspondances avaient été connues des Très-Anciens, c'est pourquoi il en était résulté chez eux plusieurs rites religieux, parmi lesquels était aussi celui de mettre la main sous la cuisse, lorsqu'on s'engageait à quelque bien de l'amour conjugal ; la connaissance de ces rites, qui était très-estimée des Anciens, et qu'ils plaçaient au rang des choses les plus importantes de leur science et de leur intelligence, est aujourd'hui entièrement perdue, au point qu'on ignore même qu'il existe quelque Correspondance, et peut-être, par suite de cette ignorance, sera-t-on étonné que de telles choses soient signifiées par ce rite : ici, comme il s'agit des fiançailles de Isaac fils d'Abraham avec quelque fille de sa famille, et qu'il est dit au serviteur le plus ancien de s'acquitter de ce devoir, c'est pour cela que ce rite est observé. Que la cuisse signifie l'Amour conjugal, d'après la Correspondance, ainsi qu'il vient d'être dit, c'est ce qu'on peut voir aussi par d'autres passages dans la Parole, par exemple, par la procédure prescrite dans Moïse, quand une femme était accusée d'adultère par son mari :

« Le prêtre adjurera la femme par un serment de malédiction, et le prêtre dira à la femme : Jéhovah te donnera toi-même en malédiction et en adjuration au milieu de ton peuple, en ce que Jéhovah rendra ta Cuisse tombante et ton ventre enflé. Quand il lui aura donné à boire les eaux, et il arrivera que si elle est souillée et a prévariqué de prévarication envers son mari, et les eaux maudites viendront en elle en amertumes, et son ventre enflera, et sa Cuisse tombera, et la femme sera en exécration au milieu de son peuple. » - Nombres 5:21, 27.

La cuisse qui devait tomber signifiait le mal de l'amour conjugal ou l'adultère ; les autres actes de cette procédure signifiaient, chacun en particulier, des spécialités de l'affaire même, de sorte qu'il n'y a pas le moindre détail qui ne renferme quelque chose, tellement que l'homme qui lit la Parole, sans l'idée du saint, doit s'étonner d'y rencontrer de tels détails. Par suite de la signification de la cuisse, qui est le bien de l'amour conjugal, il est dit quelquefois : sortis de sa cuisse, par exemple, au sujet de Jacob :

« Fructifie et multiplie ! Une nation et une assemblée de nations seront suscitées de toi, et des rois sortiront de tes cuisses, » - Genèse 35:11.

Et ailleurs :

« Toute âme qui vint avec Jacob en Egypte, ceux qui étaient sortis de sa cuisse. » - Genèse 46:26. Exode 1:5.

Et au sujet de Gidéon :

« Gidéon avait soixante-dix fils sortis de sa cuisse. » - Juges 8:30.

Et comme les cuisses, le dedans des cuisses et les lombes signifient les choses qui appartiennent à l'amour conjugal, ils signifient aussi celles qui appartiennent à l'amour et à la charité, et cela, parce que l'amour conjugal est l'amour fondamental de tous les amours, Voir numéros 686, 2733, 2737, 2738, 2739, car ils viennent de la même origine, savoir, du Mariage céleste, qui est le mariage du bien et du vrai, Voir numéros ; que la cuisse signifie le bien de l'amour céleste et le bien de l'amour spirituel, on peut le voir par ces passages, dans Jean :

« Celui qui était monté sur le Cheval blanc avait sur son vêtement et sur sa cuisse ce nom écrit : le Roi des rois et le Seigneur des Seigneurs. » - Apocalypse 19:16.

Celui qui était monté sur le cheval blanc est la Parole, ainsi le Seigneur qui est la Parole, Voir numéros 2760, 2761, 2762 ; le Vêtement est le Divin Vrai, numéro 2576 ; c'est pour cela qu'il est appelé le Roi des rois, numéro 3009 ; de là on voit clairement ce que c'est que la cuisse, savoir, le Divin Bien qui appartient à son amour, ce qui fait aussi qu'il est appelé le Seigneur des Seigneurs, numéros ; comme cela est la qualité du Seigneur, il est dit qu'il avait ce nom écrit sur son vêtement et sur sa cuisse, car le nom signifie la qualité, numéros 1896, 2009, 2724, 3006.

Dans David :

« Ceins ton épée sur la cuisse, ô puissant par ta gloire et par ton honneur ! » - Psaumes 45:4.

Là, il s'agit du Seigneur ; l'épée est le vrai qui combat, numéro 2799 ; la cuisse est le bien de l'amour ; ceindre l'épée sur la cuisse signifie que le vrai par lequel il combattrait procédait du bien de l'amour.

Dans Ésaïe :

« La justice sera la ceinture de ses reins, et la vérité la ceinture de ses cuisses. » - Ésaïe 11:5.

Là, il s'agit aussi du Seigneur ; la justice, parce qu'elle se dit du bien de l'amour, numéro 2235, est nommée ceinture des reins ; la vérité, parce qu'elle procède du bien, est appelée ceinture des cuisses ; ainsi les reins se disent de l'amour du bien, et les cuisses, de l'amour du vrai.

Dans le Même :

« Il n'est point fatigué ni abattu en Lui-même, il ne sommeillera point et ne dormira point, et la ceinture de ses cuisses n'a point été déliée, et la courroie de ses souliers n'a point été rompue. » - Ésaïe 5:27.

Il s'agit du Seigneur ; la ceinture de ses cuisses, c'est l'amour du vrai, comme ci-dessus.

Dans Jérémie, Jéhovah lui ordonna d'acheter une ceinture de lin, et de la mettre sur ses reins, mais de ne pas la passer par l'eau ; et de s'en aller vers l'Euphrate, et de la cacher dans un trou de rocher ; cela étant fait, lorsqu'il y retourna et qu'il la retira du lieu, elle était pourrie. » - .

La ceinture de lin, c'est le vrai ; il était représenté que le vrai procédait du bien, en ce qu'il la mettait sur ses reins ; chacun peut voir que ce sont là des représentatifs et qu'on ne peut savoir ce qu'ils signifient que par les Correspondances, dont il sera traité, d'après la Divine Miséricorde du Seigneur, à la fin de quelques Chapitres ; on ne comprendrait pas autrement non plus les choses qui furent vues par Ézéchiel, par Daniel et par Nébuchadnézar : par Ézéchiel :

« Au-dessus de l'étendue, qui (était) sur la tête des Chérubins, (il y avait) comme l'aspect d'une pierre de Saphir une ressemblance de trône, et sur la ressemblance du trône une ressemblance comme l'aspect d'un Homme sur lui, au-dessus : et je vis comme une apparence de braise ardente, comme un aspect de feu au dedans d'elle (et) tout autour ; depuis L'aspect de ses Reins et au-dessus, et depuis l'aspect de ses Reins et au-dessous, je vis comme un aspect de feu, et sa splendeur tout autour comme l'aspect de l'arc-en-ciel, qui est dans une nuée en un jour de pluie ; ainsi (était) l'aspect de la splendeur tout autour, ainsi (était) l'aspect de la ressemblance de la gloire de Jéhovah. » - Ézéchiel 1:26-27, 28.

Que ce soit là un représentatif du Seigneur et de son Royaume, c'est ce qu'on peut voir ; et que l'aspect des reins en dessus et des reins en dessous soit le représentatif de son amour, cela est évident par la signification du feu, en ce qu'il est l'amour, numéro 934, et par la signification de la splendeur et de l'arc-en-ciel, en ce qu'ils désignent la sagesse et l'intelligence qui procèdent de l'amour, numéros 1042, 1043, 1053 : par Daniel :

« L'homme qu'il vit était vêtu de lin, et ses Reins étaient ceints d'or d'Uphaz, et son corps (était) comme une Tharschisch, et ses faces comme l'aspect de l'éclair, et ses yeux comme des lampes de feu, et ses bras et ses pieds comme la splendeur de l'airain poli. » - Daniel 10:5-6.

Personne ne peut comprendre ce que signifient toutes ces choses, sinon par les représentations et leurs correspondances, ce que signifient par exemple les reins, le corps, les faces, les yeux, les bras, les pieds ; d'après les représentations et les correspondances, on voit que c'est le Royaume céleste du Seigneur, qui a été ainsi représenté ; les reins sont le Divin amour ; l'or d'Uphaz dont ils étaient ceints est le bien de la sagesse qui procède de l'amour, numéros 113, 1551, 1552 : par Nébuchadnézar, dans Daniel :

« La tête de la statue était d'or fin ; sa Poitrine et ses Bras, d'argent ; son Ventre et ses Cuisses, d'airain ; ses Pieds en partie de fer et en partie d'argile. » - Daniel 2:32-33.

Par cette statue ont été représentés les Etats successifs de l'Église ; par la Tête qui était d'or, le premier état qui fut céleste, parce qu'il appartenait à l'amour pour le Seigneur ; par la poitrine et les bras qui étaient d'argent, le second état qui fut spirituel, parce qu'il appartenait à la charité envers le prochain ; par le ventre et les cuisses qui étaient d'airain, le troisième état qui fut celui du bien naturel, lequel est l'airain, numéros 425, 1551 ; le bien naturel appartient à l'amour ou à la charité envers le prochain dans un degré au-dessous du bien spirituel ; par les pieds qui étaient de fer et d'argile, le quatrième état qui fut celui du vrai naturel, lequel est le fer, numéros 425, 426, et aussi celui de nulle cohérence avec le bien, qui est l'argile. D'après tout ce qui vient d'être dit, on peut voir ce que signifient les cuisses et les reins, savoir, l'amour conjugal principalement, et par suite tout amour réel, comme on le voit d'après les passages cités, et aussi d'après Genèse 32:26, 32, Ésaïe 20:2-3, Nahum 2:2. Psaumes 69:24. Exode 12:11. Luc 12:35-36.

Et même, dans le sens opposé, les amours contraires, savoir, les amours de soi et du monde, - Luc 1 Rois 2:5, Ésaïe 32:10-11. . Ézéchiel 29:7. Amos 8:10.

  
/10837  
  

来自斯威登堡的著作

 

Arcanes Célestes#2441

学习本章节

  
/10837  
  

2441. Le Soleil se leva sur la terre, signifie le dernier temps qui est appelé jugement dernier : cela est évident d'après la signification du lever du Soleil, quand il s'agit des temps et des états de l'Eglise ; que les temps du jour, comme aussi les temps de l'année, signifient dans le Sens interne les états de l'Eglise, c'est ce qui a déjà été montré numéro 2323 ; et que l'Aurore ou le Matin signifie l'avènement du Seigneur, ou l'approche de son Royaume, on l'a vu numéro 2505 ; ainsi maintenant le Lever du Soleil ou son apparition sur la terre signifie la présence du Seigneur ; et cela, parce que le Soleil ainsi que l'Orient signifie le Seigneur ; le Soleil, numéros 31, 32, 1053, 1521, 1529, 1530, 1531, 2120 ; et l'Orient numéro 101. Si la présence du Seigneur est la même chose que le dernier temps qu'on appelle jugement, c'est parce que sa présence sépare les bons d'avec les méchants, et a pour conséquence que les bons sont élevés dans le Ciel, et que les méchants se précipitent dans l'Enfer ; voici en effet, comment la chose se passe dans l'autre vie : le Seigneur est le Soleil pour tout le ciel, Voir numéros 1053, 1521, 1529, 1530, 1531, car le Divin Céleste de son Amour est ce qui apparaît ainsi devant les yeux des anges et constitue effectivement la Lumière même du Ciel ; autant donc on est dans le Céleste amour, autant on est élevé dans cette Céleste lumière qui procède du Seigneur ; mais autant on est éloigné du Céleste amour, autant on s'éloigne de la lumière pour se précipiter dans les ténèbres infernales : c'est de là que le Lever du Soleil, par lequel est signifié la présence du Seigneur, renferme tant la Salvation des bons que la damnation des méchants ; et que maintenant il est d'abord dit que Loth arriva à Zoar, c'est-à-dire que les hommes représentés ici par Loth ont été sauvés, et ensuite que Jéhovah fit pleuvoir sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu, c'est-à-dire que les méchants ont été damnés. Quant à ceux qui sont dans les maux de l'amour de soi et du monde, c'est-à-dire qui sont dans les haines contre tout ce qui appartient à l'amour pour le Seigneur et à la charité envers le prochain, la lumière du ciel leur parait effective-ment comme une obscurité, aussi est-il dit dans la Parole que le Soleil a été noirci pour eux, ce qui signifie qu'ils ont rejeté tout ce qui appartient à l'amour et à la charité, et ont reçu tout ce qui y est opposé ; comme dans Ézéchiel :

« Lorsque je l'aurai éteint, je couvrirai tes Cieux, et je noircirai leurs Etoiles ; je couvrirai te Soleil d'un nuage, et la Lune ne fera point luire sa lumière. Tous les Luminaires de lumière dans les cieux, je (les) noircirai sur toi, et je mettrai les ténèbres sur la terre. » - Ézéchiel 32:7-8.

Chacun peut voir que couvrir les cieux, noircir les étoiles, couvrir le Soleil, noircir les luminaires de lumière, signifient des choses autres. De même dans Ésaïe :

« Le Soleil sera obscurci à son lever, et la Lune ne fera point resplendir sa lumière. » - Ésaïe 13:9-10 :

Et dans Joël :

« Le Soleil et la Lune sont noircis, et les Etoiles retirent leur splendeur. » - Joël 2:2, 10.

On doit donc voir clairement ce que signifient ces paroles du Seigneur, dans Mathieu, quand il s'agit du dernier temps de l'E-glise, qui est appelé jugement :

« Aussitôt après l'affliction de ces jours là, le Soleil sera obscurci, et la Lune ne donnera point sa lumière, et les Etoiles tomberont du Ciel. » - .

C’est-à-dire que par le Soleil, la lune et les étoiles on entend pas le Soleil, la lune ni les étoiles, mais que le Soleil signifie l'amour et la charité ; la lune, la foi qui en procède ; et les étoiles, les connaissances du bien et du vrai ; et que ces astres sont dits obscurcis, perdre leur lumière et tomber du Ciel, quand il n'y a plus aucune reconnaissance du Seigneur, aucun amour en Lui, ni aucune charité envers le prochain ; toutes ces choses devenant nulles, l'amour de soi, avec tous les faux qui en proviennent, s'empare de l'homme, car l'un est la conséquence de l'autre. C'est de là aussi que dans Jean il est dit :

« Le quatrième Ange versa sa coupe dans le Soleil, et il lui fut donné de brûler les hommes par le feu ; c'est pourquoi les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent le nom de Dieu. » - Apocalypse 16:8-9.

Là aussi il s'agit des derniers temps de l'Eglise, lorsque tout amour et toute charité s'éteignent, ou pour parler le langage ordinaire, lorsqu'il n'y a plus aucune foi ; c'est l'extinction de l'amour et de la charité qu'on entend par la coupe versée dans le Soleil, et dès lors c'est l'amour de soi et ses cupidités qu'on entend par le feu qui brûle les hommes et qui les embrase d'une grande chaleur ; le blasphème du nom de Dieu en est la suite. Par le Soleil l'Eglise Ancienne n'entendait que le Seigneur et le Divin céleste de son amour, aussi d'après leur rite ils se tournaient vers l'orient pour prier, ne pensant pas même alors au soleil ; mais dans la suite leurs descendants ayant perdu le sens de ce rite avec tous les autres représentatifs et significatifs, commencèrent à adorer le Soleil lui-même et la lune elle-même ; et ce culte se répandit chez plusieurs nations, au point qu'elles leur élevèrent des temples et leur dressèrent des statues, et comme alors le soleil et la lune prirent un sens opposés, ils signifient l'amour de soi et l'amour du monde, qui sont absolument opposés à l'amour céleste et l'amour spirituel ; de là, dans la Parole, par le culte du soleil et de la lune on entend le culte de soi-même et du monde, comme Moïse :

« De peur que peut-être tu ne lèves tes yeux vers le Ciel, et que tu ne voies le Soleil et la Lune, et les Etoiles, toute l'armée des cieux, et que tu ne sois poussé, et que tu ne te prosternes devant eux et ne les serves. » - Deutéronome 4:19 :

Et dans le Même :

« S'il va et sert d'autres Dieux, et le Soleil ou la Lune, ou toute l'armée des cieux, ce que je n'ai point commandé ; alors tu les assommeras de pierres, et ils mourront. » - Deutéronome 17:3, 5.

C’est dans une telle idolâtrie que se changea le culte antique, lorsque les hommes ne crurent plus que rien d'interne fût signifié dans les rites de l'Eglise, et qu'ils considérèrent seulement l'externe ; on entend la même chose dans Jérémie :

« En ce temps-là les os des Rois de Juda, des princes des Prêtres, des Prophètes des habitants de Jérusalem, on les exposera au Soleil et à la Lune, et à toute l'armée des cieux, qu'ils ont aimés et qu'ils ont servis. » - Jérémie 8:1-2.

Le Soleil désigne l'amour de soi et les cupidités de cet amour ; exposer les os signifie les choses infernales qui proviennent de cet amour et de ses cupidités ; dans le Même :

« Il brisera les statues de la maison du Soleil, qui (est) dans la terre d'Egypte, et il brûlera au feu les maisons des Dieux de l'Egypte. » - Jérémie 43:13.

Les statues de la maison sont le culte de soi-même.

  
/10837