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Ézéchiel第16章:60

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60 Mais pourtant je me souviendrai de l'alliance que j'ai traitée avec toi dans les jours de ta jeunesse, et j'établirai avec toi une alliance éternelle.

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Arcanes Célestes#6432

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6432. Des bénédictions des mamelles, signifie d'affections du bien et du vrai : on le voit par la signification des mamelles, en ce qu'elles sont les affections du bien et du vrai ; que les mamelles soient ces affections, c'est parce qu'elles communiquent avec les organes de la génération, et appartiennent par cela même à la province de l'amour conjugal, province dont il est parlé, numéros , et que l'amour conjugal correspond au mariage céleste, qui est le mariage du bien et du vrai, car l'amour conjugal descend de ce mariage, numéros 2618, 2728, 2729, 2803, 3132, 4434, 4835, 6179 ; de là les mamelles signifient les affections du bien et du vrai ; c'est aussi parce que par les mamelles sont nourris les enfants, et que par cette affection elles signifient la conjonction de l'amour conjugal avec l'amour à l'égard de la progéniture. Ces affections sont aussi signifiées par les mamelles dans Ésaïe :

« Tu suceras le lait des nations, et les mamelles des rois tu suceras ; au lieu de l'airain je ferai venir de l'or, et au lieu du fer de l'argent. » - Ésaïe 60:16-17.

sucer les mamelles des rois, c'est le bien d'après le vrai, car les rois signifient les vrais, numéro 1672, 2015, 2069, 3009, 3670, 4575, 4581, 4966, 5044, 5068, 6148 ; que le lait des nations et les mamelles des rois signifient quelque chose de caché, qui est spirituel, cela est évident, car autrement ce serait des paroles privées de sens ; que ce soit le bien et le vrai, on le voit clairement par les paroles qui suivent,

« au lieu de l'airain je ferai venir de l'or, et au lieu du fer, de l'argent ; car l'airain est le bien naturel, numéro 425, 1551, l'or le bien céleste, numéros 113, 1551, 1552, 5658 ; le fer est le vrai naturel, numéro 425, 426, et l'argent le vrai spirituel, numéro 1551, 2954, 5658, 6112.

Dans Ézéchiel :

« Quant à l'accroissement, comme le germe du champ je t'ai rendue ; de là tu as crû et tu as grandi, et tu es venue dans la beauté des beautés, tes mamelles se sont affermies, et ton poil a poussé. » - Ézéchiel 16:7.

Là, il s'agit de Jérusalem, par qui est signifiée l'Église spirituelle Ancienne ; les mamelles affermies sont les affections intérieures du bien et du vrai ; ton poil a crû, ce sont les extérieures qui appartiennent au naturel ; que le poil soit le naturel quant au vrai, on le voit, numéro 3301, 5247, ; qu'il y ait dans ces paroles un sens spirituel qui ne se manifeste pas dans la lettre, cela est évident ; car, sans un tel sens, qu'est-ce que ce serait de dire de Jérusalem que ses mamelles se sont affermies, et que son poil a poussé.

Dans le Même :

« Deux femmes, filles d'une même mère il y a eu, qui ont commis scortation en Egypte ; dans leur adolescence elles ont commis scortation ; là ont été pressées leurs mamelles, et là on a touché les mamelles de leur virginité. » - Ézéchiel 23:2-3, 8, 21.

Là, il est dit que les deux femmes sont Jérusalem et Samarie, par qui dans le sens interne sont signifiées les Églises ; leur scortation avec l'Egypte dans leur adolescence, signifie qu'elles ont falsifié les vrais de l'Église par les scientifiques ; que commettre scortation, ce soit falsifier les vrais, on le voit, numéro 2466, 4865, et que l'Egypte soit le scientifique, on le voit, numéro 1164, 1165, 1186, 1462, 5700, 5702 ; de là leurs mamelles pressées sont les affections du bien et du vrai devenues perverses par les falsifications ; que la scortation des femmes et la pression de leurs mamelles signifient de telles choses, c'est ce que peuvent voir ceux qui portent leur attention sur le sens de la description de ces femmes.

Dans Osée :

« Plaidez avec votre mère ; qu'elle éloigne ses scortations de ses faces, et ses adultères d'entre ses mamelles, de peur que peut-être je ne la dépouille toute nue, et ne la réduise comme le désert, et ne la rende comme une terre de sécheresse, et ne la tue par la soif. » - Osée 2:2-3.

La mère, là, c'est l'Église, numéro 289, 2691, 2717, 3703, 4257, 5581 ; les scortations sont les falsifications du vrai, numéro 2466, 4865 ; les adultères sont les adultérations du bien, numéro 2466, 2729, 3399 ; de là, les adultères d'entre les mamelles sont les affections adultérées du bien et du vrai ; dépouiller nue, c'est priver de tout vrai, numéro 1073, 4958, 5433 ; la réduire comme le désert, la rendre comme une terre de sécheresse, et la tuer par la soif, c'est éteindre tout vrai.

Dans le Même :

« Donne-leur une matrice qui avorte, et des mamelles desséchées. » - Osée 9:14.

Les mamelles desséchées, ce sont les affections du non-vrai et du non-bien.

Dans Ésaïe :

« Femmes qui êtes dans la sécurité, arrêtez-vous, écoutez ma voix ; filles qui vous tenez en assurance, par vos oreilles percevez mon discours ; dépouille-toi, et mets-toi nue, et ceins-toi sur les reins ; sur les mamelles elles se frappent, à cause des champs de vin, et du cep fécond. " - Ésaïe 32:9, 11-12.

Les filles, ce sont les affections, numéro 2362, 3024, 3963 ; se dépouiller, c'est être privé du vrai, numéro 1073, 4958, 5433 ; se ceindre sur les reins, c'est être dans la douleur à cause de la perte du bien ; se frapper sur les mamelles, c'est être dans la douleur à cause de la perte du bien du vrai ; et comme ce sont là les choses qui sont signifiées, il est dit

« à cause des champs de vin, et du cep fécond, car le champ est l'Église quant au bien, ainsi le bien de l'Église, numéro 2971, 3196, 3310, 3766 ; et le cep est l'Église spirituelle, par conséquent le bien du vrai, numéro 5113, 6375, 6376. Dans Apocalypse :

« Je vis sept Chandeliers d'or, et dans le milieu des sept chandeliers un pareil à un Fils d'homme, revêtu d'une robe longue, et ceint vers les mamelles d'une ceinture d'or. » - Apocalypse 1:12-13.

Les chandeliers d'or sont les vrais du bien ; un Fils d'homme, c'est le Divin vrai ; ceint vers les mamelles d'une ceinture d'or, c'est le bien de l'amour ; d'après la sainteté de la Parole, chacun peut conclure que les choses vues par Jean enveloppent des choses qui appartiennent au Royaume du Seigneur et à son Église, car qu'est-ce qu'il y aurait de saint à faire de telles prédictions sur les Royaumes du monde ; on peut donc voir que ce sont des choses célestes qui sont signifiées par les Chandeliers, et par un Fils d'homme revêtu d'une robe longue, et ceint vers les mamelles d'une ceinture d'or.

Dans Luc :

« Une certaine femme d'entre la foule, ayant élevé sa voix, dit de Jésus : Heureux le ventre qui T'a porté, et les mamelles que tu as sucées ! mais Jésus dit : Plutôt heureux ceux qui écoutent la Parole de Dieu et qui la gardent. » - Luc 11:27-28.

Par la réponse du Seigneur on voit clairement ce que signifie

« heureux le ventre et les mamelles, » à savoir,

« ceux qui écoutent la Parole de Dieu et qui la gardent, ainsi les affections du vrai pour ceux qui écoutent la Parole de Dieu, et les affections du bien pour ceux qui la gardent ou qui la font.

  
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Arcanes Célestes#5658

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5658. Notre argent en son poids, signifie les vrais selon l'état de chacun : on le voit par la signification de l'argent, en ce que c'est le vrai, numéro 1551, 2954 ; et par la signification du poids, en ce que c'est l'état de la chose quant au bien, numéro 3104 ; ainsi les vrais selon l'état de chacun, c'est selon le bien qu'ils peuvent recevoir. Les poids et les mesures sont nommés dans un grand nombre de passages de la Parole, mais dans le sens interne, ils ne signifient ni des poids ni des mesures ; les poids signifient les états de la chose quant au bien, et les mesures les états de la chose quant au vrai ; de même aussi la pesanteur et l'extension ; la pesanteur, qui est dans le monde naturel, correspond au bien dans le monde spirituel, et l'extension correspond au vrai ; cela vient de ce que dans le ciel, d'où proviennent les correspondances, il n'y a ni pesanteur ni extension, parce qu'il n'y a point d'espace ; il apparaît, il est vrai, chez les esprits, des choses pesantes et étendues, mais ce sont des apparences qui tirent leur origine des états du bien et du vrai dans le ciel supérieur. Que l'argent signifie le vrai, on le savait très-bien dans les temps Anciens ; de là les Anciens avaient distingué les temps, depuis le premier âge jusqu'au dernier temps du monde, en siècles d'or, d'argent, d'airain et de fer, auxquels ils avaient aussi ajouté ceux d'argile ; ils ont nommé siècles d'or ces temps où il y avait l'innocence et l'intégrité, et où chacun faisait le bien d'après le bien, et le juste d'après le juste ; ils ont appelé siècles d'argent ces temps où il n'y avait plus l'innocence, mais où il existait cependant une sorte d'intégrité qui consistait non pas en ce qu'on faisait le bien d'après le bien, mais en ce qu'on faisait le vrai d'après le vrai ; ils appelaient siècles d'airain et de fer les temps qui sont encore inférieurs : s'ils ont appelé ainsi les temps, c'était par correspondance et non par comparaison ; en effet, les Anciens ont su que l'argent correspondait au vrai, et l'or au bien, et ils l'ont su par la communication avec les esprits et les Anges, car lorsque dans le ciel supérieur on parle du bien, plus bas chez ceux qui sont dans le premier ou dernier ciel au-dessous de ceux qui parlent il apparaît de l'or ; et quand on parle du vrai, il y apparaît de l'argent, et parfois de manière que non-seulement les murs des appartements qu'ils habitent sont brillants d'or et d'argent, mais aussi l'atmosphère elle-même ; et chez les anges du premier ou dernier ciel qui sont dans le bien d'après le bien, il apparaît même des tables d'or, des chandeliers d'or, et beaucoup d'autres objets ; et chez ceux qui sont dans le vrai d'après le vrai, ces objets apparaissent d'argent : mais qui sait aujourd'hui que les Anciens ont appelé les temps siècles d'or et d'argent d'après la correspondance ? qui sait même aujourd'hui quelque chose de la correspondance ? et celui qui n'en connaît rien, et plus encore celui qui place son plaisir et sa sagesse à discuter si telle chose est ou n'est pas, ne peut pas avoir la moindre connaissance sur les arcanes innombrables qui appartiennent à la correspondance.

  
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