圣经文本

 

Exode第11章

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1 Or l'Eternel avait dit à Moïse, je ferai venir encore une plaie sur Pharaon, et sur l'Egypte, et après cela il vous laissera aller d'ici, il vous laissera entièrement aller, et vous chassera tout à fait.

2 Parle maintenant, le peuple l'entendant, et [leur dis] : que chacun demande à son voisin, et chacune à sa voisine, des vaisseaux d'argent, et des vaisseaux d'or.

3 Or l'Eternel avait fait trouver grâce au peuple devant les Egyptiens; et même Moïse passait pour un fort grand homme au pays d'Egypte, tant parmi les serviteurs de Pharaon, que parmi le peuple.

4 Et Moïse dit : ainsi a dit l'Eternel : environ sur la minuit je passerai au travers de l'Egypte.

5 Et tout premier-né mourra au pays d'Egypte, depuis le premier-né de Pharaon, qui devait être assis sur son trône, jusqu'au premier-né de la servante qui est employée à moudre; même tout premier-né des bêtes.

6 Et il y aura un si grand cri dans tout le pays d'Egypte, qu'il n'y en eut jamais, ni il n'y en aura jamais de semblable.

7 Mais contre tous les enfants d'Israël un chien même ne remuera point sa langue, depuis l'homme jusques aux bêtes; afin que vous sachiez que Dieu aura mis de la différence entre les Egyptiens et les Israélites.

8 Et tous ces tiens serviteurs viendront vers moi, et se prosterneront devant moi, en disant : sors, toi, et tout le peuple qui [est] avec toi; et puis je sortirai. Ainsi Moïse sortit d'auprès de Pharaon dans une ardente colère.

9 L'Eternel donc avait dit à Moïse : Pharaon ne vous écoutera point, afin que mes miracles soient multipliés au pays d'Egypte.

10 Et Moïse et Aaron firent tous ces miracles-là devant Pharaon. Et l'Eternel endurcit le cœur de Pharaon, tellement qu'il ne laissa point aller les enfants d'Israël hors de son pays.

   

来自斯威登堡的著作

 

Arcanes Célestes#7955

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7955. Et il appela Moïse et Aharon de nuit, signifie l'afflux du Vrai venant du Divin dans cet état : on le voit par la signification de il appela, en ce que c'est la présence et l'influx, numéro 6177, 6840, 7390, 7451, 7721 , ici l'afflux, parce que cela est dit de ceux qui étaient dans l'état de damnation, c'est-à-dire, qui étaient dans l'état du faux sans mélange d'après le mal ; ceux-là ne peuvent recevoir intérieurement aucun influx du vrai et du bien, mais ils reçoivent extérieurement, ce qui est l'afflux ; par la représentation de Moïse et d'Aharon, en ce que c'est le Vrai venant du Divin, numéro 6771, 6827 ; il est dit le Vrai venant du Divin, et non le Vrai Divin, parce qu'il s'agit de ceux qui étaient dans la damnation ; et par la signification de la nuit, en ce que c'est l'état de damnation, numéro 7851, 7870.

  
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Arcanes Célestes#5017

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5017. Et il est arrivé que, comme il entendit, signifie quand il s'aperçut : on le voit par la signification d'entendre, en ce que c'est obéir, et aussi en ce que c'est apercevoir ; c'est obéir, numéros 2542, 3869 ; que ce soit aussi apercevoir, cela est évident d'après la fonction même de l'oreille, et par suite d'après la nature de l'ouïe ; la fonction de l'oreille, et par suite d'après la nature de l'ouïe ; la fonction de l'oreille est de recevoir le langage d'un autre, et de le porter au sensorium commun, afin que par là il aperçoive ce que l'autre pense ; de là entendre, c'est apercevoir ; c'est pourquoi sa nature est de transporter dans la pensée ce qu'un autre prononce d'après sa pensée, et de le transporter de la pensée dans la volonté et de la volonté dans l'acte ; de là entendre, c'est obéir ; ces deux offices sont les propres de l'ouïe. Dans les langues on distingue ces offices par entendre quelqu'un, ce qui est apercevoir, et par écouter quelqu'un ou prêter l'oreille, ce qui est obéir : si l'ouïe a ces deux offices, c'est parce que l'homme ne peut communiquer par un autre chemin les choses de sa pensée ni celles de sa volonté, ni autrement persuader et amener par des raisons à faire les choses qui sont de sa volonté, et y obéir. D'après cela on voit clairement par quel circuit se font les communications, c'est-à-dire qu'elles vont de la volonté dans la pensée, et ainsi dans le langage, et du langage par l'oreille dans la pensée et la volonté d'un autre. C'est de là aussi que les esprits et les anges, qui correspondent à l'oreille ou au sens de l'ouïe dans le Très-Grand Homme, sont non-seulement des aperceptions, mais aussi des obéissances ; qu'ils soient des obéissances, on le voit, numéros ; et comme ils sont des obéissances, ils sont aussi des aperceptions, car l'un enveloppe l'autre.

  
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