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Lévitique第6章:14

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14 Voici la loi de l'offrande. Les fils d'Aaron la présenteront devant l'Eternel, devant l'autel.

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Arcanes Célestes#2187

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2187. Et ils mangèrent, signifie, la perception qui se fit ainsi : on peut le voir par la signification de manger, en ce que c'est être communiqué et être conjoint ; cela est encore évident par la Parole : quand Aharon, ses fils, les Lévites et le peuple, mangeaient dans le lieu saint les choses sanctifiées des sacrifices, cela ne signifiait autre chose que la communication, la conjonction et l'appropriation, comme il a été dit ci-dessus, numéro 2177, en parlant du passage du Lévitique 6:9-10, car les choses sanctifiées qu'ils mangeaient, signifiaient la nourriture céleste et spirituelle, et par conséquent l'appropriation de cette nourriture ; dans les Sacrifices, il y avait des parties sanctifiées qui n'étaient pas brûlées sur l'Autel, et qui étaient mangées, ou par les Prêtres, ou par le peuple qui avait offert le sacrifice, comme on peut le voir par plusieurs passages où il s'agit des Sacrifices ; pour celles qui devaient être mangées par les Prêtres, - Exode 29:32-33 : Lévitique 6:9, Lévitique 7:6, 15-16, , 13 ; Nombres 18:9-10, 11.

Pour celles qui devaient être mangées par le Peuple, - Lévitique 19:5-6 ; , et ailleurs ; - et ceux qui étaient impurs ne devaient pas en manger, - Lévitique 7:19, 20, Lévitique 22:4, 5, 6-7 :

Ces festins se faisaient dans le lieu saint, près de l'autel, ou à la porte, ou dans le parvis de la tente ; et ils ne signifiaient autre chose que la communication, la conjonction et l'appropriation des biens célestes, car ils représentaient la Nourriture céleste ; Voir numéros 56, 57, 58, 680, 681, 1480, 1695, ce que c'est que la Nourriture céleste ; et toutes ces choses qui étaient mangées s'appelaient le PAIN, dont on peut voir la signification donnée ci-dessus, numéro 2165 ; la même chose était représentée en ce que Aharon et ses fils devaient manger les Pains de proposition ou des faces dans le lieu saint, - Lévitique 24:9 :

Si la Loi sur le Naziréen lui défendait de manger, pendant les jours de son naziréat, aucune partie du raisin qui produit le vin, depuis les pépins jusqu'à la pellicule, - Nombre Lévitique 6:4.

C'était parce que le Naziréen représentait l'homme ce l'homme Céleste, et que l'homme céleste est tel, qu'il ne veut pas même nommer les spirituels, ainsi qu'on peut le voir dans la Première Partie numéros 202, 337, 880 f : 1647 ; et parce que le vin et le raisin, ainsi que tout ce qui vient du raisin, signifiaient le spirituel, c'est pour cela qu'il fut défendu au Naziréen d'en manger, c'est-à-dire, d'avoir communication avec les spirituels, de se les conjoindre et de se les approprier. Par manger on doit entendre la même chose dans Ésaïe :

« (Vous) tous qui avez soif, allez vers les eaux, et (vous) qui n'avez point d'argent, allez, achetez et Mangez : allez donc, achetez sans argent et sans prix du vin et du lait. Pourquoi employez-vous pour ce qui n'(est) pas du Pain, et votre travail pour ce qui ne rassasie point ? Écoutez en M'écoutant, et Mangez le bon, et votre âme se délectera dans la graisse. » - Ésaïe 55:1-2.

Et aussi dans Jean :

« A celui qui est vainqueur, je donnerai à manger de l'Arbre de vie, qui est au milieu du Paradis de Dieu. » - Apocalypse 2:7.

L'Arbre de vie, c'est le céleste même ; et, dans le sens suprême, c'est le Seigneur Lui-Même, parce que de Lui vient tout céleste, c'est-à-dire tout amour et toute charité ; ainsi, manger de l'arbre de vie, c'est la même chose que manger le Seigneur ; et manger le Seigneur, c'est être gratifié de l'amour et de la charité, et par conséquent des choses qui appartiennent à la vie céleste Seigneur s'exprime Lui-Même dans Jean :

« Moi, je suis le Pain vivant, qui est descendu du ciel ; si quelqu'un mange il vivra dans l'éternité ; celui qui Me mange, celui-là vivra par Moi. » - Moi. » - Jean 6:51, 57.

« Mais ils dirent : Ce discours est dur. Mais Jésus dit : Les paroles que je vous adresse sont esprit et sont vie. » - Ibid. Vers. 60, 63 :

On voit clairement par là ce qui est entendu dans la Sainte Cène par Manger, - Matthieu 26:26-27, 28 ; Marc 14:22-23 ; Luc 22:19-20, - c'est-à-dire que c'est avoir communication, être conjoint et s'approprier. On voit aussi par là ce qui est entendu par ces paroles du Seigneur :

« Je vous dis que plusieurs viendront de l'orient et de l'occident, et ils seront à table avec Abraham, Isaac et Jacob. » - Matthieu 8:11.

non pas qu'ils doivent manger dans le Royaume de Dieu avec eux ; mais c'est qu'ils doivent jouir des biens célestes, qui sont signifiés par Abraham, Isaac et Jacob ; savoir des célestes de l'amour, tant des célestes intimes qui sont Abraham, que des célestes inférieurs qui sont intermédiaires, comme ceux du Rationnel, lesquels sont Isaac, et des célestes encore plus inférieurs, qui sont les célestes naturels, tels qu'ils existent dans le premier ciel, lesquels sont désignés par Jacob : voilà ce qui appartient au sens interne de ces paroles. On peut voir numéro 1893, et partout ailleurs où il s'agit d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, que ce sont ces célestes qu'ils représentent ; en effet, soit qu'on dise jouir de ces célestes, ou qu'on dise jouir du Seigneur qui est représenté par Abraham, par Isaac et par Jacob, c'est la même chose, car c'est par le Seigneur que sont tous les célestes, et le Seigneur est tout dans tout ce qui appartient aux célestes.

  
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Arcanes Célestes#2165

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2165. J'apporterai un morceau de pain, signifie quelque céleste adjoint : on le voit par la signification du Pain, en ce qu'il est le céleste, ainsi qu'il a été dit ci-dessus, numéros 276, 680, 681, 1798. Si le Pain signifie le Céleste, c'est parce que le Pain signifie en général toute Nourriture, par conséquent, dans le sens interne, toute nourriture céleste ; dans la première Partie, numéros 56, 57, 58, 680, 681, 1480, 1695, il a été dit ce que c'est que la Nourriture céleste. Que le Pain signifie en général toute Nourriture, c'est ce qu'on peut voir par ces passages de la Parole ; on lit au sujet de Joseph,

« Qu’il dit à celui qui avait le soin de sa maison de conduire les hommes, c'est-à-dire, ses frères, à la maison ; de tuer des animaux et de les préparer ; et ensuite lorsque tout fut préparé, et qu'ils allaient manger, il dit : mettez le Pain. » - Genèse 43:16, 31.

C'était dire : - préparez la table ; ainsi le Pain désignait tous les mets : on lit au sujet de Jethro,

« Qu’Aharon vint avec tous les anciens d'Israël pour manger le Pain avec le beau-père de Moïse, devant Dieu. » - Exode 18:12.

Là aussi, le Pain désigne tous les mets : il est dit au sujet de Manoach, dans le Livre des Juges :

« Manoach dit à l'Ange de Jéhovah : que nous te retenions, je te prie, et que nous apprêtions devant toi le chevreau des chèvres. Et l'Ange de Jéhovah dit à Manoach : si tu me retiens, je ne mangerai pas ton Pain. » - Juges 13:15-16.

Là, le Pain désigne le chevreau des chèvres,

« Quand Jonathan eut mangé le rayon de miel, on lui dit que Saül avait fait jurer le peuple, en disant : Maudit l'homme qui mangera le Pain aujourd'hui. » - 1 Samuel 14:27-28.

Là, le Pain signifie toute nourriture : ailleurs il est dit de Saül :

« Quand Saül s'assit pour manger le Pain, il dit à Jonathan : Pourquoi le fils de Jischaï n'est-il pas venu, et hier et aujourd'hui, un Pain. » - 1 Samuel 20:24, 27.

C’est-à-dire, à table, où étaient des aliments de tout genre : David dit à Méphiboschet fils de Jonathan :

« Toi, tu mangeras toujours le Pain sur ma table. » - 2 Samuel, 7, 10 :

Il en est de même d'Evilmérodach, qui dit que Jéhojachin, roi de Judah, mangerait toujours le Pain devant lui, tous les jours de sa vie, - 2 Rois 25:29.

Il est ainsi parlé au sujet de Salomon :

« Il y avait pour le pain de Salomon, chaque jour trente cores de fleur de farine, et soixante cores de farine, dix bœufs engraissés, et vingt bœufs des pâturages, et cent moutons, outre le cerf et la chèvre et le daim, et les coqs engraissés. » - 1 Rois 5:2, 3.

Là, on voit clairement que le Pain est pris pour toutes ces choses ; maintenant, puisque le Pain signifie en général toutes les nourritures ; il en résulte qu'il signifie, dans le sens interne, toutes les choses qui sont appelées Nourritures Célestes ; c'est ce qu'on peut encore mieux voir par les Holocaustes et les Sacrifices, qui se faisaient d'agneaux, de bœufs, de chèvres, de chevreaux, de boucs, de taureaux, de génisses, qui, d'un seul mot, étaient appelés le Pain de l'Ignition à Jéhovah, comme il est évident par ces passages, dans Moïse, où il s'agit des différents sacrifices ; il dit de ces sacrifices,

« Que le Prêtre les brûlera sur l'autel ; (ce sera) le Pain de l'Ignition à Jéhovah, en odeur de repos. » - Lévitique 3:11, 16.

Tous ces sacrifices et ces holocaustes étaient ainsi nommés.

Dans le Même :

« Les fils d'Aharon seront saints à leur Dieu, et ils ne profaneront point le Nom de leur Dieu, parce que ce sont eux qui offrent les Ignitions à Jéhovah, le Pain de leur Dieu. Tu le sanctifieras, parce que c'est lui qui offre le Pain de ton Dieu. L'homme de la semence d'Aharon, en qui il y aura une tache, ne s'approchera point pour offrir le Pain de son Dieu. » - Lévitique 21:6, 8, 17, 21.

Là encore les Sacrifices et les Holocaustes sont le Pain, comme aussi au Lévitique 22:25.

Ailleurs :

« Commande aux fils d'Israël, et dis-leur : Vous observerez mon oblation, mon Pain, dans les ignitions d'odeur de repos, pour me l'offrir en son temps fixé. » - Nombres 28:2.

Là aussi le Pain est pour tous les Sacrifices qui y sont recensés.

Dans Malachie :

« Vous offrez sur mon autel un Pain souillé. » - Malachie 1:7.

Là aussi, il s'agit de Sacrifices : les choses sanctifiées par les Sacrifices, et qu'on mangeait, étaient de même appelées Pain, comme on le voit par ces paroles, dans Moïse :

« Celui qui aura touché quelque chose d'impur ne mangera pas des choses sanctifiées, avant qu'il ait lavé sa chair dans l'eau, et que le soleil soit couché ; (alors) il sera pur, et ensuite il mangera sanctifiées, parce que cela (est) son Pain. » - Lévitique 22:6-7.

Les Holocaustes et les Sacrifices, dans l'Eglise Juive, ne représentaient absolument que les Célestes qui appartiennent ; du Seigneur dans les Cieux, et au Royaume du Seigneur dans les Cieux, et au Royaume du Seigneur dans les terres ou dans l'Eglise, ainsi que ceux qui appartiennent au Royaume du Seigneur ou à l'Eglise dans chacun ; en général toutes les choses qui appartiennent à l'amour et à la charité, car ces choses sont les célestes ; et chaque genre de sacrifice représentait quelque spécialité ; dans le temps de cette Eglise toutes ces choses se nommaient Pain : c'est pourquoi, lorsque les sacrifices étaient abolis, et qu'à leur place succédaient d'autres cérémonies pour le Culte Externe, il fut ordonné d'employer le Pain et le Vin ; on peut donc par là voir maintenant ce que le Pain signifie, savoir, toutes les choses qui représentaient les Sacrifices, ainsi dans le sens interne le Seigneur Lui-Même ; et puisqu'il signifie le Seigneur Lui-Même, il signifie l'amour même envers tout le genre humain et ce qui appartient à l'amour, comme aussi l'amour réciproque de l'homme pour le Seigneur et envers le prochain ; ainsi le Pain signifie tous les Célestes et par conséquent le Vin signifie tous les spirituels : c'est aussi ce que le Seigneur enseigne en termes clairs, dans Jean :

« Ils dirent : Nos pères ont mangé la Manne dans le désert, selon qu'il est écrit : Il leur a donné à manger le Pain du Ciel. Jésus leur dit : En vérité, en vérité je vous le dis, Moïse ne vous a point donné le Pain du Ciel ; mais mon Père vous donne le vrai Pain du Ciel ; car le Pain de Dieu est celui qui est descendu du Ciel et qui donne la vie au monde. Ils Lui dirent : Seigneur, donne-nous toujours ce Pain. Jésus leur dit : Moi, je suis le Pain de vie ; qui vient à Moi, n'aura point faim, et qui croit en Moi n'aura jamais soif. » - :

Et dans le Même :

« En vérité, dis : qui croit en Moi a la vie éternelle ; Moi, je suis le Pain de vie ; vos pères ont mangé la Manne dans le désert, et ils sont morts ; celui-ci est le Pain qui est descendu du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point. Moi, je suis le Pain vivant, qui est descendu du ciel ; si quelqu'un mange de ce Pain, il vivra dans l'éternité, » - l.

Puis donc que le Pain est le Seigneur, il appartient aux Célestes qui appartiennent à l'amour et au Seigneur, car le Seigneur est le Céleste même, parce qu'il est l'Amour même, c'est-à-dire la Miséricorde même : et puisqu'il en est ainsi, le Pain est encore tout céleste, c'est-à-dire, tout amour et toute charité chez l'homme, car l'amour et la charité procèdent du Seigneur ; c'est pourquoi, ceux qui ne sont ni dans l'amour ni dans la charité, n'ont point le Seigneur chez eux ; ainsi ils ne sont point gratifiés des biens et des félicités qui sont signifiés dans le sens interne, par le Pain : ce symbole Externe a été prescrit, parce que la plus grande partie du genre humain est dans le culte externe ; si donc il n'y avait pas quelque symbole Externe, à peine y aurait-il chez ceux-là quelque chose de saint ; lors donc qu'ils vivent dans l'Amour pour le Seigneur et dans la charité envers le prochain, ils ont toujours chez eux l'interne, quoiqu'ils ne sachent pas que c'est là l'interne même du culte ; ainsi dans leur culte Externe ils sont confirmés dans les biens qui sont signifiés par le Pain. Dans les Prophètes aussi le Pain signifie les célestes qui appartiennent à l'amour ; par exemple, dans Ésaïe 3:1, 7 ; Ésaïe 30:23 ; Ésaïe 33:15-16 ; Ésaïe 55:2 ; Ésaïe 58:7, Lamentations 5:9 ; Ézéchiel 4:16-17 ; Ézéchiel 5:16 ; Ézéchiel 14:13 ; Amos 4:6; Amos 8:11 ; Psaumes 105:10.

Il en est de même des Pains des faces sur la Table, desquels il est parlé, - ; Exode 25:30 ; Exode 40:23 ; Nombres 4:7 ; 1 Rois 7:48.

  
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