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Lévitique第6章:12

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12 Le feu brûlera sur l'autel, il ne s'éteindra point; chaque matin, le sacrificateur y allumera du bois, arrangera l'holocauste, et brûlera la graisse des sacrifices d'actions de grâces.

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Arcanes Célestes#2187

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2187. Et ils mangèrent, signifie, la perception qui se fit ainsi : on peut le voir par la signification de manger, en ce que c'est être communiqué et être conjoint ; cela est encore évident par la Parole : quand Aharon, ses fils, les Lévites et le peuple, mangeaient dans le lieu saint les choses sanctifiées des sacrifices, cela ne signifiait autre chose que la communication, la conjonction et l'appropriation, comme il a été dit ci-dessus, numéro 2177, en parlant du passage du Lévitique 6:9-10, car les choses sanctifiées qu'ils mangeaient, signifiaient la nourriture céleste et spirituelle, et par conséquent l'appropriation de cette nourriture ; dans les Sacrifices, il y avait des parties sanctifiées qui n'étaient pas brûlées sur l'Autel, et qui étaient mangées, ou par les Prêtres, ou par le peuple qui avait offert le sacrifice, comme on peut le voir par plusieurs passages où il s'agit des Sacrifices ; pour celles qui devaient être mangées par les Prêtres, - Exode 29:32-33 : Lévitique 6:9, Lévitique 7:6, 15-16, , 13 ; Nombres 18:9-10, 11.

Pour celles qui devaient être mangées par le Peuple, - Lévitique 19:5-6 ; , et ailleurs ; - et ceux qui étaient impurs ne devaient pas en manger, - Lévitique 7:19, 20, Lévitique 22:4, 5, 6-7 :

Ces festins se faisaient dans le lieu saint, près de l'autel, ou à la porte, ou dans le parvis de la tente ; et ils ne signifiaient autre chose que la communication, la conjonction et l'appropriation des biens célestes, car ils représentaient la Nourriture céleste ; Voir numéros 56, 57, 58, 680, 681, 1480, 1695, ce que c'est que la Nourriture céleste ; et toutes ces choses qui étaient mangées s'appelaient le PAIN, dont on peut voir la signification donnée ci-dessus, numéro 2165 ; la même chose était représentée en ce que Aharon et ses fils devaient manger les Pains de proposition ou des faces dans le lieu saint, - Lévitique 24:9 :

Si la Loi sur le Naziréen lui défendait de manger, pendant les jours de son naziréat, aucune partie du raisin qui produit le vin, depuis les pépins jusqu'à la pellicule, - Nombre Lévitique 6:4.

C'était parce que le Naziréen représentait l'homme ce l'homme Céleste, et que l'homme céleste est tel, qu'il ne veut pas même nommer les spirituels, ainsi qu'on peut le voir dans la Première Partie numéros 202, 337, 880 f : 1647 ; et parce que le vin et le raisin, ainsi que tout ce qui vient du raisin, signifiaient le spirituel, c'est pour cela qu'il fut défendu au Naziréen d'en manger, c'est-à-dire, d'avoir communication avec les spirituels, de se les conjoindre et de se les approprier. Par manger on doit entendre la même chose dans Ésaïe :

« (Vous) tous qui avez soif, allez vers les eaux, et (vous) qui n'avez point d'argent, allez, achetez et Mangez : allez donc, achetez sans argent et sans prix du vin et du lait. Pourquoi employez-vous pour ce qui n'(est) pas du Pain, et votre travail pour ce qui ne rassasie point ? Écoutez en M'écoutant, et Mangez le bon, et votre âme se délectera dans la graisse. » - Ésaïe 55:1-2.

Et aussi dans Jean :

« A celui qui est vainqueur, je donnerai à manger de l'Arbre de vie, qui est au milieu du Paradis de Dieu. » - Apocalypse 2:7.

L'Arbre de vie, c'est le céleste même ; et, dans le sens suprême, c'est le Seigneur Lui-Même, parce que de Lui vient tout céleste, c'est-à-dire tout amour et toute charité ; ainsi, manger de l'arbre de vie, c'est la même chose que manger le Seigneur ; et manger le Seigneur, c'est être gratifié de l'amour et de la charité, et par conséquent des choses qui appartiennent à la vie céleste Seigneur s'exprime Lui-Même dans Jean :

« Moi, je suis le Pain vivant, qui est descendu du ciel ; si quelqu'un mange il vivra dans l'éternité ; celui qui Me mange, celui-là vivra par Moi. » - Moi. » - Jean 6:51, 57.

« Mais ils dirent : Ce discours est dur. Mais Jésus dit : Les paroles que je vous adresse sont esprit et sont vie. » - Ibid. Vers. 60, 63 :

On voit clairement par là ce qui est entendu dans la Sainte Cène par Manger, - Matthieu 26:26-27, 28 ; Marc 14:22-23 ; Luc 22:19-20, - c'est-à-dire que c'est avoir communication, être conjoint et s'approprier. On voit aussi par là ce qui est entendu par ces paroles du Seigneur :

« Je vous dis que plusieurs viendront de l'orient et de l'occident, et ils seront à table avec Abraham, Isaac et Jacob. » - Matthieu 8:11.

non pas qu'ils doivent manger dans le Royaume de Dieu avec eux ; mais c'est qu'ils doivent jouir des biens célestes, qui sont signifiés par Abraham, Isaac et Jacob ; savoir des célestes de l'amour, tant des célestes intimes qui sont Abraham, que des célestes inférieurs qui sont intermédiaires, comme ceux du Rationnel, lesquels sont Isaac, et des célestes encore plus inférieurs, qui sont les célestes naturels, tels qu'ils existent dans le premier ciel, lesquels sont désignés par Jacob : voilà ce qui appartient au sens interne de ces paroles. On peut voir numéro 1893, et partout ailleurs où il s'agit d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, que ce sont ces célestes qu'ils représentent ; en effet, soit qu'on dise jouir de ces célestes, ou qu'on dise jouir du Seigneur qui est représenté par Abraham, par Isaac et par Jacob, c'est la même chose, car c'est par le Seigneur que sont tous les célestes, et le Seigneur est tout dans tout ce qui appartient aux célestes.

  
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Arcanes Célestes#925

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925. Ces expressions : Jéhovah sentit une odeur de repos, signifient que le Seigneur agréa le culte des holocaustes ; savoir, le culte procédant de la charité et de la foi de la charité, culte qui a été signifié par les holocaustes, comme on l'a dit dans le verset précédent. Dans la Parole, il est souvent dit que Jéhovah a senti une odeur de repos, et même principalement quand il s'agit d'holocaustes, et partout ces expressions signifient que le culte a été agréé ou accepté ; par exemple, il est parlé de l'odeur de repos, au sujet des holocaustes : Exode 29:18, 25, 41 Lévitique 1:9, 13, Lévitique 23:12-13, 18. Nombres 28:6, 8, 13; Nombres 29:2, 6, 8, 13, 36 ; puis, au sujet des autres sacrifices : Lévitique 2:2, 9; Lévitique 6:8, 14; Lévitique 8:21, 28. Nombres 15:3, 7, 13 ; et on leur donne le nom d'Embrasé en odeur de repos à Jéhovah, pour signifier qu'ils procèdent de l'amour et de la charité. Dans la Parole, le feu et l'embrasé, quand ces expressions s'appliquent au Seigneur et à son culte, signifient l'amour. Il en est encore de même du Pain ; c'est pourquoi le culte représentatif par les holocaustes et les sacrifices est aussi appelé Pain de l'embrasé en odeur de repos à Jéhovah, Lévitique 3:11, 16.

Si l'odeur signifie ce qui est agréé et accepté, et si par conséquent l'odeur a été aussi, dans l'Eglise Judaïque, un représentatif de l'agréé, et est attribué à Jéhovah ou au Seigneur, c'est parce que le bien de la charité et le vrai de la foi procédant de la charité correspondent aux odeurs délicieuses et suaves. Dans le ciel des Esprits et des Anges on peut par les sphères s'assurer que cette correspondance existe et quelle est sa nature ; il y a là des sphères d'amour et de foi qui se perçoivent clairement. Ces sphères sont telles, que quand un bon esprit, ou un ange, ou bien une société de bons esprits ou d'anges s'approche, on perçoit aussitôt, toutes les fois que le Seigneur le veut, quel est l'esprit, l'ange ou la société, quant à l'amour et à la foi, et même de loin, mais beaucoup mieux lorsqu'on est plus près : c'est incroyable, mais très-vrai cependant. Telle est, dans l'autre vie, la communication, et telle est la perception : c'est pourquoi, quand il plait au Seigneur, il n'est pas besoin d'un long examen pour découvrir la qualité d'une âme ou d'un esprit ; car aussitôt qu'il s'approche, elle peut être connue. A ces sphères correspondent dans le monde les sphères des odeurs ; la preuve de cette correspondance peut se déduire de ce que les sphères de l'amour et de la foi, quand il plait au Seigneur, se changent manifestement en sphères d'odeurs délicieuses et suaves dans le monde des esprits, et se perçoivent manifestement. On voit maintenant, par ce qui vient d'être dit, pourquoi l'odeur du repos signifie ce qui est agréé, et d'où vient cette signification ; pourquoi l'odeur est devenue un représentatif dans l'Eglise Judaïque, et pourquoi l'odeur du repos est attribuée à Jéhovah ou au Seigneur. L'odeur du repos est l'odeur de la paix, ou l'agrément que procure la paix. La paix, dans un seul ensemble, comprend tout ce qui appartient en général et en particulier au royaume du Seigneur ; car l'état du royaume du Seigneur est un état de paix, et dans l'état de paix existent tous les états de félicités procédant de l'amour et de la foi dans le Seigneur. On voit clairement, d'après ce qui précède, non-seulement ce que sont les représentatifs, mais même pourquoi, dans l'Eglise Judaïque, il y avait des parfums pour lesquels était construit un autel devant le voile et le propitiatoire ; pourquoi des oblations d'encens dans les sacrifices, et pourquoi tant d'aromates ajoutés aux parfums, à l'encens et à l'huile de l'onction ? On voit par conséquent ce que l'odeur du repos, ce que le parfum, et ce que les aromates signifient dans la Parole, c'est-à-dire que toutes ces choses signifient les célestes de l'amour, et de là les spirituels de la foi, et en général tout ce qui en est agréé par le Seigneur. Ainsi, on lit dans Ézéchiel :

« Ce sera dans la montagne de ma » Sainteté, dans la montagne de l'élévation d'Israël, que toute la maison d'Israël, que dans toute cette terre, ils me serviront ; là, je les tiendrai pour acceptés ; et là, je chercherai vos oblations, et les prémices de vos présents dans toutes vos sanctifications ; je » vous tiendrai pour acceptés par l'odeur de repos. » - Ézéchiel 20:40-41.

Là, l'odeur du repos s'applique aux holocaustes et aux présents, c'est-à-dire, au culte procédant de la charité et de sa foi, culte qui est signifié par les holocaustes et par les présents, et qui de là a été accepté, ce qui est indiqué par l'odeur.

Dans Amos :

« J'ai haï, j'ai reprouvé vos fêtes ; je ne sentirai pas l'odeur de vos loisirs ; car si vous m'offrez vos holocaustes et vos présents, ils ne seront point acceptés. » - Amos 5:21-22.

Là, on voit clairement que l'odeur signifie ce qui est agréé ou accepté. Lorsque Isaac bénit Jacob au lieu d'Esaü, il est dit :

« Quand Jacob se fut approché, et qu'Isaac l'eut baisé et eut senti l'odeur de ses vêtements, il le bénit, et dit : Voici, l'Odeur de mon fils (est) comme l'odeur d'un champ que Jéhovah a béni. » - Genèse 27:26-27.

L'odeur des vêtements signifie le bien et les vrais naturels qui sont agréés d'après leur accord avec le bien et le vrai célestes et spirituels, dont le charme est représenté par l'odeur d'un champ.

  
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