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Genèse第49章:14

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14 Issacar est un âne robuste, Qui se couche dans les étables.

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Arcanes Célestes#6465

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6465. Et il fut recueilli vers ses peuples, signifie qu'il était dans les biens et dans les vrais du naturel qui viennent de lui : cela est évident d'après ce qui a été dit ci-dessus, numéro 6451, où sont de semblables paroles ; voir les choses qui y ont, été rapportées sur l'existence et la vie du bien spirituel, qui est Israël, dans les biens et les vrais du naturel inférieur, qui sont ses fils et les douze tribus. Quant à l'existence des intérieurs dans les extérieurs, il faut en outre qu'on sache que toutes choses, non-seulement chez l'homme, mais même dans toute la nature, existent par des formations successives, ainsi les postérieures par des formations provenant des antérieures ; c'est de là que chaque formation existe séparée d'une autre, mais que néanmoins la postérieure dépend de l'antérieure, au point qu'elle ne peut subsister sans l'antérieure, car la postérieure est tenue dans son enchaînement et dans sa forme par l'antérieure ; par là il est encore évident que tous les antérieurs sont en leur ordre dans le postérieur ; il en est de môme des moyens et des forces qui procèdent des antérieurs comme des substances ; c'est ainsi qu'il en est des intérieurs et des extérieurs chez l'homme, et aussi des choses qui appartiennent à la vie chez lui. Celui qui ne conçoit pas les intérieurs et les extérieurs dans l'homme selon de telles formations, ne peut avoir aucune idée de l'homme externe et de l'homme interne, ni de l'influx de l'un dans l'autre, ni à plus forte raison de l'existence et de la vie de l'homme intérieur ou de l'esprit, ni de sa qualité, quand l'externe qui est le corporel est séparé par la mort ; celui qui conçoit les extérieurs et les intérieurs comme continuellement plus purs, et ainsi cohérents par continuité, par conséquent sans distinction par les formations des postérieurs d'après les antérieurs, ne peut comprendre autre chose, sinon que, quand meurt l'externe, l'interne meurt aussi ; car il pense qu'ils sont cohérents, et qu'en raison de la cohérence et de la continuité, quand l'un meurt l'autre meurt, parce que l'un entraîne l'autre ' avec lui. Ces choses ont été dites, afin qu'on sache que l'Interne et l'Externe sont distincts entre eux, et que les Intérieurs et les Extérieurs se succèdent en ordre ; et qu'en outre tous les Intérieurs sont ensemble dans les Extérieurs, ou, ce qui est la même chose, tous les antérieurs dans les postérieurs, ce dont il a été question dans le sens interne de ces Versets.

  
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Arcanes Célestes#6451

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6451. Moi, je suis recueilli vers mon peuple, signifie qu'il sera dans les biens et dans les vrais du naturel qui viennent de lui : on le voit par la représentation des fils d'Israël et des Tribus qui ont tiré d'eux leurs noms, qui sont ici son peuple, en ce que ce sont les biens et les vrais dans le naturel, numéro 3858, 3926, 3939, 5414, 5879, 5951, 6335, 6337 ; que ces biens et ces vrais viennent de lui, cela est évident ; et par la signification d'être recueilli vers ce peuple, en ce que c'est être en eux. Comme ici, et dans ce qui suit, il s'agit de la réunion ou de l'existence du-bien

spirituel, qui est Israël, dans les biens et dans les vrais du naturel, qui sont ses fils ou les Tribus ayant tiré d'eux leurs noms, il faut dire comment cela doit être entendu.

Dans l'homme il y a un intime, il y a des intérieurs sous l'intime, et il y a des extérieurs ; toutes ces choses sont très exactement distinctes entre elles, elles se succèdent en ordre, ainsi depuis l'intime jusqu'à l'extime ; elles influent aussi selon l'ordre dans lequel elles se succèdent ; c'est de là que la vie influe par l'intime dans les intérieurs, et par les intérieurs dans les extérieurs ainsi selon l'ordre dans lequel elles se succèdent, et qu'elle ne se repose que dans le dernier de l'ordre, où elle s'arrête ; et comme les intérieurs influent selon l'ordre jusqu'au dernier et s'y arrêtent, il est évident que les intérieurs sont ensemble dans le dernier, mais dans cet ordre : L'intime, qui influe, y tient le centre, les intérieurs qui sont sous l'intime sont autour du centre, et les extérieurs font les périphéries ; et cela, non-seulement dans le commun, mais aussi dans les singuliers ; le premier ordre est-appelé ordre successif, et le second, ordre simultané ; et celui-ci tire son origine de celui-là, car tout simultané naît d'un successif, et quand il est né, il existe tel. Comme tous les intérieurs sont aussi ensemble dans le dernier, de là vient l'apparence que la vie est dans le dernier, c'est-à-dire, dans le corps, lorsque cependant elle est dans les intérieurs, et même elle n'y est pas, mais elle est dans le suprême, c'est-à-dire, dans le Seigneur, de Qui procède tout ce qui appartient à la vie. C'est aussi de là que la vie dans les extérieurs est obscure respectivement à la vie dans les intérieurs, car dans les extérieurs, c'est la vie commune, existant par l'influx de plusieurs choses, et même de choses innombrables venant des intérieurs, choses qui apparaissent ensemble et en commun. D'après cela, on voit en quelque sorte comment il doit être entendu que le bien spirituel, qui est Israël, sera dans les biens et dans les vrais du naturel, qui sont ses fils ou les tribus ; en effet, le bien spirituel, qui est Israël, est dans l'intérieur du naturel, et les biens et les vrais, qui sont ses fils, sont dans l'extérieur du naturel ; que dans ces biens et ces vrais il y aura le bien spirituel, c'est ce qui est signifié par

« moi, je suis recueilli vers mon peuple. »

  
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