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Genèse第34章:27

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27 Les fils de Jacob se jetèrent sur les morts, et pillèrent la ville, parce qu'on avait déshonoré leur soeur.

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Arcanes Célestes#4494

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4494. Vers. 25, 26, 27, 28, 29. Et il arriva au troisième, jour, pendant qu'ils étaient endormis, et prirent les deux fils de Jacob, Siméon et Lévi, frères de Dinah, chacun leur épée, et ils vinrent sur la ville hardiment, et ils tuèrent tout mâle. Et Chamor et Schéchem son fils ils tuèrent au fil de l‘épée, et ils prirent Dinah de la maison de Schéchem, et ils sortirent. Les fils de Jacob vinrent sur les transpercés, et ils pillèrent la ville, parce qu'ils avaient pollué leur sœur. Leur menu bétail, et leur gros bétail, et leurs ânes, et ce qui était dans la ville, et ce qui était dans le champ, ils prirent Et toutes leurs richesses, et tous leurs enfants, et leurs femmes, ils emmenèrent captifs, et pillèrent, et tout ce qui (était) dans la maison. Et arriva au troisième jour, signifie le continu jusqu'à la fin : pendant qu'ils étaient endoloris, signifie les cupidités : et prirent les deux fils de Jacob, Siméon et Lévi, signifie la foi et l'amour : frères de Dinah, signifie les vrais et les biens de cette Église : chacun Leur épée, signifie le faux et le mal : et ils vinrent sur la ville hardiment, et ils tuèrent tout mâle, signifie qu'ils extirpèrent les vrais de la doctrine de l'Église chez les Anciens : et Chamor et Schéchem son fils ils tuèrent au fil de l'épée, signifie l'Église elle-même ; et ils prirent Dinah de la maison de Schéchem, et ils sortirent, signifie qu'ils enlevèrent l'affection du vrai : les fils de Jacob vinrent sur les transpercés, et ils pillèrent la ville, signifie que toute cette postérité détruisit la doctrine : parce qu'ils avaient pollué leur sœur, signifie qu'ils corrompirent le vrai de la foi : leur menu bétail et leur gros bétail, signifie qu'ils détruisirent le bien rationnel et le bien naturel : et leurs ânes, signifie les vrais qui en proviennent : et ce qui était dans la ville, et ce qui était dans le champ, ils prirent, signifie tout vrai et tout bien de l'Église : et toutes leurs richesses, signifie tous les scientifiques qu'ils s'étaient acquis : et tous leurs enfants, signifie toute innocence : et leurs femmes, signifie la charité : ils emmenèrent captifs, et pillèrent, signifie qu'ils les dépouillèrent, et les pervertirent : et tout ce qui (était) dans la maison, signifie tout ce qui appartenait à l'Église.

  
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Arcanes Célestes#1043

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1043. D'après ce qui vient d'être dit sur l'arc, on peut voir que la nuée signifie la lumière obscure dans laquelle est l'homme spirituel par rapport à l'homme céleste. En effet l'arc ou la couleur de l'arc n'existe que dans la nuée ; l'obscur même par lequel, comme je l'ai dit, brillent les rayons du soleil, est ce qui se change en couleurs ; ainsi tel est l'obscur qui est frappé par l'éclat des rayons, telle est la couleur. Il en est de même chez l'homme spirituel : chez lui, l'obscur qu'on nomme ici la nuée est le faux, qui est la même chose que son propre intellectuel ; et quand le Seigneur insinue dans ce propre l'innocence, la charité et la miséricorde, cette nuée n'apparaît plus comme le faux, mais elle se présente comme un vrai apparent uni au vrai qui procède du Seigneur, de là résulte une sorte d'arc colore. C'est une certaine modification spirituelle qui ne peut nullement être décrite ; et si l'homme ne peut la saisir an moyen des couleurs et de leur génération, je ne sais s'il sera possible de la lui faire comprendre. Par l'état de l'homme avant la régénération on peut voir quelle est cette nuée chez le régénéré. L'homme se régénère par les choses qu'il croit être les vérités de la foi ; chacun croit que son dogme est vrai ; il en reçoit la conscience, aussi, dès qu'il en a reçu la conscience, agir contre les choses qui ont été imprimées en lui comme étant des vérités de la foi, c'est pour lui agir contre la conscience. Tel est chaque homme régénéré ; car il en est beaucoup qui se régénèrent par le Seigneur, quel que soit d'ailleurs le dogme qu'ils aient adopté ; et quand ils ont été régénérés, ils ne reçoivent pas quelque révélation immédiate, sauf toutefois les inspirations qui leur sont insinuées par la Parole et par la prédication de la Parole ; mais comme ils résolvent la charité, le Seigneur opère par la charité dans leur nuée ; de là surgit une lumière, de même qu'il arrive qu'un nuage devient plus brillant et offre une variété de couleurs quand il est pénètre par le soleil. C'est ainsi que dans leur nuée existe la ressemblance de l'arc ; c'est pourquoi plus la nuée est légère, c'est-à-dire, plus elle consiste en de nombreuses vérités de la foi mélangées, et plus l'arc est magnifique ; au contraire, plus cette nuée est épaisse, c'est-à-dire, moins il y a en elle de vérités de la foi, moins l'arc est brillant. L'innocence ajoute beaucoup à la beauté de l'arc ; c'est pour ainsi dire cette innocence qui produit dans les couleurs une splendeur vive. Toutes les apparences du vrai sont les nuées dans lesquelles se trouve l'homme quand il est dans le sens littéral de la Parole, car la Parole a été prononcée selon les apparences ; mais quand il croit avec simplicité à la Parole, bien qu'il reste dans les apparences, et quand il a la charité, cette nuée est respectivement légère ; c'est dans cette nuée que le Seigneur forme la conscience chez l'homme qui est dans l'intérieur de l'Eglise. Toutes les ignorances du vrai sont aussi des nuées dans lesquelles se trouve l'homme quand il ignore ce que c'est que le vrai de la foi, quand en général il ne sait pas ce que c'est que la Parole, et à plus forte raison quand il n'a point entendu parler du Seigneur ; c'est dans cette nuée que le Seigneur forme la conscience chez l'homme qui est hors de l'Eglise ; car dans l'ignorance même peut exister l'innocence et par conséquent la charité. Toutes les faussetés sont aussi des nuées ; mais ces nuées sont des ténèbres qui existent, ou chez ceux qui ont la conscience fausse dont j'ai déjà parlé, ou chez ceux en qui elle est nulle. Telles sont en général les nuées quant à leur qualité ; pour ce qui regarde leur quantité, il y a chez l'homme tant de nuées, et elles sont si épaisses que s'il en avait connaissance, il serait surpris que les rayons de lumière qui précédent du Seigneur pussent les percer et que l'homme put être régénéré. Celui qui croit avoir le moins de nuées est quelquefois celui qui en a le plus ; et celui qui croit en avoir plus en a le moins. De telles nuées sont chez l'homme spirituel ; mais chez l'homme céleste elles ne sont pas en si grand nombre, parce qu'il a en lui l'amour dans le Seigneur, amour qui a été implanté dans sa partie volontaire ; c'est même pour cela qu'au lieu de recevoir du Seigneur la conscience comme l'homme spirituel revoit de Lui la perception du bien et celle du vrai qui procède du bien. Quand le volontaire de l'homme est tel, qu'il peut recevoir les rayons de la flamme céleste, son intellectuel en est éclairé ; et au moyen de l'amour, il connait et perçoit toutes les choses qui sont les vérités de la foi. Son volontaire est alors comme un petit soleil dont les rayons pénètrent dans sa partie intellectuelle. Tel a été l'homme de la Très-Ancienne Eglise. Mais quand le volontaire, de l'homme a été entièrement corrompu et est devenu infernal, et que pour cette raison une nouvelle volonté, qui est la conscience, est formée dans sa partie intellectuelle, ainsi qu'il est arrivé chez l'homme de l'Ancienne Eglise, et qu'il arrive chez tout homme régénéré de l'Eglise spirituelle, alors la nuée est épaisse, car l'homme doit apprendre ce que c'est que le vrai et ce que c'est que le bien, et ne peut percevoir s'ils existent ; et alors aussi le faux, qui est l'obscur de la nuée, influe continuellement de sa partie noire volontaire, ou de l'enfer par cette partie. Voilà pourquoi la partie intellectuelle ne peut nullement être éclairée chez l'homme spirituel, comme elle l'est chez l'homme céleste. De là résulte que la nuée signifie ici la lumière obscure dans laquelle est l'homme spirituel par rapport à l'homme céleste.

  
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