Arcanes Célestes#126
126. Vers. 17. Mais de l'arbre de la Science du bien et du mat, tu n'en mangeras point ; parce que, au jour que tu en mangeras, mourant tu mourras. Les paroles précédentes et celles-ci signifient qu'il est permis, au moyen de toute perception venant du Seigneur, de connaître ce que c'est que le vrai et le bien, mais non par soi-même ni par le monde, c'est-à-dire qu'il n'est pas permis de s'enquérir des mystères de la foi par des sensuels et par des scientifiques ; par là le céleste de l'homme meurt.