圣经文本

 

Genèse第25章:23

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23 Et l'Eternel lui dit: Deux nations sont dans ton ventre, et Deux peuples se sépareront au sortir de tes entrailles; un de ces peuples sera plus fort que l'autre, et le plus grand sera assujetti au plus petit.

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Arcanes Célestes#3267

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3267. En leurs noms, selon leurs nativités, signifie les qualités intérieures selon les dérivations de la foi : on le voit par la signification du nom, en ce qu'il est la qualité, ou des noms, en ce qu'ils sont les qualités, comme il vient d'être dit, numéro 3266, ici les qualités intérieures, parce qu'il est dit :

« Voici les noms des fils de Ismaël en leurs noms, où les noms en premier lieu sont les qualités communes, ici les qualités qui sont dans ces qualités communes, ou qui les concernent, c'est-à-dire les qualités intérieures ; et parce que ces qualités sont selon les dérivations de la foi, qui sont signifiées par ces mots selon leurs nativités ; que les nativités soient les dérivations de la foi, par conséquent de l'Église, on le voit numéros 1145, 1255, 1330, 3263. Voici ce qu'il en est de l'Eglise Spirituelle du Seigneur ; c'est qu'elle a été répandue sur tout le globe de la terre, et que partout elle est variée quant aux choses qu'on doit croire ou quant aux vrais de la foi ; les variétés chez elle sont les dérivations qui sont signifiées par les nativités, et qui existent tant ensemble en même temps que successivement ; tel est aussi dans les cieux le Royaume Spirituel même du Seigneur, c'est-à-dire qu'il est varié quant aux choses qui appartiennent à la foi, jusqu'au point qu'il n'y a pas une seule société, ni même dans une société un seul membre qui ait une idée parfaitement d'accord avec l'idée des autres sur les choses appartenant au vrai de la foi, numéro 3241 ; mais toujours est-il que le Royaume Spirituel du Seigneur dans les cieux est un ; et cela, parce que la charité est pour tous le principal, car c'est la charité qui fait l'Église spirituelle, et ce n'est pas la foi, à moins qu'on ne nomme foi la charité ; celui qui est dans la charité aime le prochain, et il excuse en lui les croyances qui diffèrent des siennes, pourvu, qu'il vive dans le bien et le vrai ; il ne condamne pas non plus les nations probes, quoiqu'elles ne connaissent ni le Seigneur, ni rien de ce qui appartient à la foi ; en effet, celui qui vit dans la charité, c'est-à-dire dans le bien, reçoit du Seigneur les vrais tels qu'ils conviennent à son bien, et les nations reçoivent du Seigneur les choses qui peuvent dans l'autre vie être tournées en vrais de la foi, numéros 2599, 2600, 2601, 2602, 2603 ; mais celui qui ne vit pas dans la charité, c'est-à-dire qui ne vit pas dans le bien, ne peut jamais recevoir aucun vrai ; il peut bien savoir le vrai, mais le vrai n'est pas implanté dans sa vie, ainsi il peut bien l'avoir dans la bouche, mais non dans le cœur ; en effet, le vrai ne peut être conjoint au mal, aussi est-ce pour cela que ceux qui savent les vrais, qu'on appelle choses de croyance, et ne vivent point dans la charité et dans le bien, quoiqu'ils soient dans l'Eglise parce qu'ils y sont nés, ne sont cependant point de l'Eglise, car en eux il n'y a rien de l'Église, c'est-à-dire rien du bien, auquel le vrai est conjoint.

  
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Arcanes Célestes#1255

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1255. Selon leurs nativités, signifie selon qu'ils ont pu être reformés : c'est ce qu'on voit par la signification de la nativité, qui est la réformation. Quand un homme renaît ou est régénéré par le Seigneur, toutes les choses, en général et en particulier, qu'il reçoit de nouveau, sont des nativités ; par conséquent, comme il s'agit ici de l'Eglise Ancienne, les nativités signifient selon qu'ils ont pu être reformés. Quant à ce qui regarde les réformations des nations, toutes n'ont pas eu un semblable culte, ni une semblable doctrine, et cela parce que toutes n'avaient pas eu un semblable génie, et que toutes n'avaient pas été élevées de la même manière, ni instruites de la même manière dès l'enfance. Les principes que l'homme prend dès le bas âge, jamais le Seigneur ne les brise, mais il les ploie ; s'il en est quelques-uns dans lesquels il ait placé la sainteté, et s'ils sont tels qu'ils ne soient point contre l'ordre Divin, ni contre l'ordre naturel, mais qu'ils soient en eux-mêmes adiaphorèse (indifférents), le Seigneur laisse ces principes à l'homme et permet qu'il y reste ; c'est ainsi qu'il en laissa plusieurs à la seconde Eglise Ancienne ; il en sera parlé, dans la suite par la Divine Miséricorde du Seigneur.

  
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