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Genèse第18章:6

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6 Abraham alla promptement dans sa tente vers Sara, et il dit: Vite, trois mesures de fleur de farine, pétris, et fais des gâteaux.

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Arcanes Célestes#2144

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2144. Dans les chênaies de Mamré, signifie la qualité de perception : on le voit par la représentation et la signification des Chênaies, ainsi que par la représentation et la signification de Mamré : Il a été montré dans la Première Partie, numéros 1442, 1443, ce qu'ont représenté et signifié les Chênaies en général ; et numéro 1616, ce qu'ont représenté et signifié les chênaies de Mamré en particulier ; ce sont les Perceptions, mais telles que sont les perceptions humaines provenant des scientifiques et des premiers rationnels qui en résultent. Aujourd'hui on est dans la plus grande ignorance au sujet de la Perception, parce que aujourd'hui personne n'est dans la Perception dans laquelle ont été les Anciens et surtout les Très-Anciens ; ceux-ci par la perception connaissaient si telle chose était un bien, et par conséquent si telle chose était un vrai ; il y avait influx du Seigneur par le Ciel dans leur rationnel ; et par cet influx, aussitôt qu'ils portaient leur pensée sur une chose sainte, ils percevaient, si elle était ainsi, ou si elle n'était pas ainsi : une telle perception a péri ensuite chez l'homme, quand il a commencé à être, non plus dans les idées célestes, mais seulement dans les idées mondaines et corporelles ; et à la place de cette perception a succédé la conscience ; qui est aussi une espèce de perception ; car agir contre la conscience et selon la conscience, n'est autre chose que revoir par là si telle chose est ou n'est pas ainsi, ou si on doit la faire ; toutefois la perception de la Conscience ne vient pas qui influe, mais elle vient du vrai, qui, selon la sainteté du culte, a été implanté dans le rationnel dès l'enfance, et a été ensuite confirmé ; on croit alors uniquement que c'est le bien : c'est de là que la conscience est une espèce de perception, mais provenant d'un vrai tel que quand la charité et l'innocence y sont insinuées par le Seigneur, le bien de cette conscience existe ; par le peu qui vient d'être dit ; il est facile de connaître ce que c'est que la perception ; mais entre la Perception et la Conscience il y a une grande différence : Voir ce qui a été dit, dans la Première Partie, sur la Perception, numéros 104, 125, 371, 483, 495, 503, 521, 536, 597, 607, 784, 865, 895, 1121, 1616 ; sur la Perception des Esprits et des Anges, numéros 202, 203, 1008, 1383, 1384, 1390, 1391, 1392, 1394, 1397, 1504 ; et sur l'ignorance des Erudits au sujet de la Perception Divine, numéro 1387. Quant à ce qui concerne le Seigneur, lorsqu'il vivait dans le monde, toute sa pensée venait de la Perception Divine, parce que seul il fut homme Divin et Céleste, car il fut le seul en qui a été Jéhovah Même, duquel lui venait la Perception dont il a aussi été parlé dans la Première Partie, numéros 1610, 1791 : ses Perceptions ont été de plus en plus intérieures, à mesure qu'il s'avançait davantage vers l'union avec Jéhovah : d'après ce qui a été dit sur les chênaies de Mamré, dans la Première Partie, numéro 1616, on peut voir quelle fut maintenant sa Perception ; et dans ce qui va suivre, il est décrit quelle elle devint, quand il perçut les choses qui sont contenues dans ce Chapitre.

  
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Arcanes Célestes#1384

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1384. Je parlerai d'abord du premier genre, qui est Angélique, et qui consiste en ce que les Anges perçoivent ce qui est vrai et bien, ce qui vient du Seigneur, ce qui vient d'eux-mêmes, et connaissent l'origine et la qualité de ce qu'ils pensent, disent et font, lorsqu'ils agissent d'eux-mêmes. Il m'a été donné de parler avec les fils de la Très-Ancienne Eglise sur leur Perception ; ils m'ont dit que d'eux-mêmes ils ne pensent rien ou ne peuvent rien penser, et que d'eux-mêmes ils ne veulent rien ; mais qu'ils perçoivent tout en général et en particulier, les choses qu'ils pensent et celles qu'ils veulent, ce qui vient du Seigneur et ce qui vient d'autre part ; et qu'ils perçoivent non-seulement combien de choses viennent du Seigneur et combien viennent comme d'eux-mêmes, mais encore que pour les choses qui viennent comme d'eux-mêmes, ils perçoivent d'où elles viennent, quels sont les anges qui les leur transmettent, quelle est la qualité de ces anges, quelles sont leurs pensées avec les différences qui les spécifient, par conséquent quel est l'influx, et beaucoup d'autres choses dont on ne saurait dire le nombre. Les Perceptions de ce genre présentent de nombreuses variétés : chez les Anges célestes, qui sont dans l'amour pour le Seigneur, il y a la perception du bien, et par suite celle de toutes les choses qui appartiennent au vrai ; et comme ils perçoivent le vrai par le bien, ils n'admettent pas qu'on parle, ni, à plus forte raison, qu'on raisonne sur le vrai, mais ils disent : Cela est ainsi ou n'est pas ainsi ; tandis que les Anges spirituels, qui ont aussi la perception, mais non comme les Anges célestes, parlent sur le vrai et sur le bien ; cependant toujours est-il qu'ils perçoivent le vrai et le bien, mais c'est avec différence, car les variétés de cette Perception sont innombrables. Voici à quoi se rapportent les variétés, c'est qu'ils perçoivent si ce qu'ils veulent, pensent et font vient de la volonté du Seigneur, ou de son indulgence, ou de sa permission, choses qui sont très-distinctes en elles.

  
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