圣经文本

 

Exode第29章:40

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40 Tu offriras, avec le premier agneau, un dixième d'épha de fleur de farine pétrie dans un quart de hin d'huile d'olives concassées, et une libation d'un quart de hin de vin.

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Arcanes Célestes#10149

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10149. Et sanctifié il sera dans ma gloire, signifie le réceptif du Divin Vrai procédant du Seigneur : on le voit par la signification d'être sanctifié, en ce que c'est le réceptif du Divin procédant du Seigneur, ainsi qu'il va être montré ; et par la signification de la gloire, en ce qu'elle est le Divin Vrai, numéros 4809, 5922, 8427, 9429. Qu'être sanctifié, ce soit le réceptif du Divin procédant du Seigneur, c'est parce que le Seigneur seul est saint, et que par suite tout ce qui est saint procède de Lui, numéro 9229 ; et parce que le Divin Vrai procédant de Lui est ce qui dans la Parole est entendu par le saint, numéro 9818 : mais ici, où il s'agit des fils d'Israël, des Holocaustes et des Sacrifices, de la Tente de convention et de l'Autel, c'est le représentatif de ce Divin qui est signifié par le saint et par être sanctifié ; et cela, parce que chez la nation

Israélite et Juive, toutes choses étaient des représentatifs des intérieurs de l'Église, qui appartiennent à la foi et à l'amour d'après le Seigneur envers le Seigneur, car l'Église chez cette nation avait été instituée Église représentative ; de là tous les externes signifiaient et représentaient ces choses que le sens interne enseigne ; c'est pour cela que ces externes étaient appelés saints, par exemple, l'Autel, le Feu sur l'autel, l'Holocauste, la Graisse, le Sang ; la Tente de convention, la table ou étaient les pains des faces, la table du parfum, le Chandelier, et tous leurs vases ; surtout l'Arche dans laquelle était le Témoignage ; et en outre, les pains, les gâteaux, les beignets, qui étaient appelés Minchah, l'Huile, l'Encens ; et même les habits d'Aharon, comme l'Éphod, le Manteau, la Tunique, le Turban, surtout le Pectoral ; et aussi Aharon lui-même était appelé saint ; de même les fils d'Israël : mais toutes ces choses n'étaient saintes que parce qu'elles représentaient et ainsi signifiaient les saints, c'est-à-dire, les Divins qui procèdent du Seigneur, car ces Divins seuls sont saints. Celui qui est dans les externes sans les internes croit que ces choses ont été saintes non représentativement mais essentiellement, après qu'elles eurent été initiées ; mais on se trompe grossièrement ; si on les adore comme sainte* essentiellement, on adore alors des choses terrestres, et on diffère peu de ceux qui adorent la pierre et le bois, comme les idolâtres ; mais ceux qui adorent les choses qui sont représentées ou signifiées, c'est-à-dire, les saints Divins, ceux-là sont dans le culte réel, car pour eux les externes sont seulement des causes moyennes pour penser aux choses qui sont les essentiels de l'Église et pour les vouloir, et ces essentiels, comme il a été dit ci-dessus, sont les choses qui appartiennent à la foi et à l'amour d'après le Seigneur envers le Seigneur. Il eu est aujourd'hui de môme de la Sainte Cène ; ceux qui, lorsqu'ils la fréquentent, ne pensent point, d'après la foi, au Seigneur, à son amour à l'égard du genre humain, et au renouvellement de la vie selon ses préceptes, y adorent seulement le pain et le vin, et non le Seigneur, et croient saints des externes, qui cependant ne sont point saints en eux-mêmes, mais ne le sont que d'après les choses qu'ils signifient, car le pain y signifie le Seigneur quant au bien de l'amour, et le vin le Seigneur quant au vrai de la foi, et en môme temps le réceptif par l'homme ; ces deux choses sont les essentiels mêmes de l'Église, ainsi les essentiels mômes du culte, voir numéros 4211, 4217, 4735, 6135, 6789, 7850, 8682, 9003, 9127, 10040. D'après ce qui vient d'être dit, on peut voir maintenant ce qui est signifié dans la Parole par le saint et par être sanctifié.

  
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Arcanes Célestes#6135

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6135. Il ne reste plus devant mon seigneur que notre corps et notre humus, signifie que les réceptacles du bien et du vrai ont été entièrement désolés : on le voit par la signification du corps, en ce qu'il est le réceptacle du bien, ainsi qu'il va être expliqué ; et par la signification de l'humus, en ce que c'est le réceptacle du vrai ; que l'humus soit le réceptacle du vrai, c'est parce qu'il reçoit les semences, et que les semences qui sont répandues signifient spécialement les choses qui appartiennent à la foi d'après la charité, ainsi celles qui appartiennent au vrai d'après le bien. numéro 1025, 1447, 1610, 1940, 2848, 3038, 3310, 3373 ; de là l'humus est le réceptacle du vrai ; voir aussi ce qui a été déjà dit et montré au sujet de l'humus, numéro 566, 1068, 3671 ; que ces réceptacles aient été désolés, cela est signifié en ce qu'il ne reste plus devant mon seigneur autre chose : le corps dans le sens réel signifie le bien qui appartient à l'amour, et l'humus le vrai qui appartient à la foi ; quand les vrais et les biens du vrai, qui sont signifiés par l'argent et par les troupeaux, ne sont plus visibles à cause de la désolation, le corps signifie seulement le réceptacle du bien, et l'humus le réceptacle du vrai. Que le corps dans le sens réel signifie le bien qui appartient à l'amour, cela vient de ce que je corps, ou l'homme tout entier qui est entendu par le corps, est le réceptacle de la vie procédant du Seigneur, ainsi le réceptacle du bien, car le bien de l'amour fait la vie même dans l'homme ; en effet, la chaleur vitale, qui est l'amour, est la chaleur vitale même, et si cette chaleur n'est pas dans l'homme, l'homme est quelque chose de mort ; de là vient que dans le sens interne par le corps est entendu le bien de l'amour ; et quoique chez l'homme il n'y ait pas l'amour céleste, mais qu'il y ait l'amour infernal, toujours est-il que l'intime de sa vie vient de l'amour céleste ; car cet amour influe continuellement du Seigneur, et fait chez l'homme la chaleur vitale dans son principe ; mais dans sa marche elle est pervertie par l'homme, de là l'amour infernal, d'où provient une chaleur impure. Que le corps dans le sens réel soit le bien de l'amour, c'est ce que j'ai pu voir manifestement par les Anges ; lorsqu'ils sont présents, l'amour découle d'eux, au point qu'on croirait qu'ils ne sont qu'amour, et il découle de tout leur corps, aussi leur corps apparaît-il resplendissant et lumineux par l'effet de la lumière qui en provient, car le bien de l'amour est comme une flamme d'où s'élance une lumière qui est le vrai de la foi procédant de ce bien : puis donc que les Anges dans le Ciel sont tels, que ne doit pas être le Seigneur Lui-Même, dont procède le tout de l'amour chez les anges, et dont le Divin Amour apparaît comme un Soleil, de qui tout le Ciel tient sa lumière, et de qui tous les habitants du ciel tiennent leur chaleur céleste, c'est-à-dire, leur amour, par conséquent leur vie ? c'est le Divin Humain du Seigneur qui apparaît ainsi, et c'est de lui que procèdent toutes ces choses ; de là on peut voir ce qui est entendu par le Corps du Seigneur, à savoir, le Divin Amour, de même que par sa chair, numéro 3813 ; le Corps même du Seigneur, quand il a été glorifié, c'est-à-dire, quand il a été fait Divin, n'est pas non plus autre chose ; quel autre sentiment peut-on avoir du Divin, qui est Infini ? D'après cela on peut savoir que par le Corps dans la Sainte Cène il n'a pas été entendu autre chose que le Divin Amour du Seigneur envers tout le genre humain ; il en est parlé ainsi dans les Evangélistes :

« Jésus, prenant le pain, et bénissant, (le) rompit, et (le) donna aux disciples, et il dit : Prenez, mangez, ceci est mon Corps. » - Marc 14:22. Luc 22:19.

Il a dit du Pain : Ceci est mon Corps, parce que le pain signifie aussi le Divin Amour, numéro 276, 680, 2165, 2177, 3464, 3478, 3735, 4735, 5915. Le Divin Amour est aussi signifié par le Corps du Seigneur dans Jean :

« Jésus dit : Détruisez ce Temple, et en trois jours je le relèverai : mais il parlait, Lui, du Temple de son Corps. » - Jean 2:19, 21.

Le Temple de son corps, c'est le Divin Vrai procédant du Divin Bien ; que le Temple soit le Seigneur quant au Divin Vrai, on le voit, numéro 3720 : et comme le Corps, dans le sens suprême, est le Divin Bien du Divin Amour du Seigneur, de là tous ceux qui sont dans le Ciel sont dits être dans le Corps du Seigneur. Que le corps du Seigneur soit le Divin Bien, on le voit aussi par ces paroles dans Daniel :

« J'élevai mes yeux, et je vis, voici, un homme vêtu de lin, ses reins ceints d'or d'Uphaz, et son Corps comme une Tharschisch, et sa face comme l'aspect de l'éclair, et ses yeux comme des flambeaux de feu, et ses bras et ses pieds comme la splendeur de l'airain poli, et la voix de ses paroles comme la voix d'une multitude. » - Daniel 10:6 ; par l'or d'Uphaz dont ses reins étaient ceints, par l'aspect de l'éclair que présentait sa face, par les flambeaux de feu dont brillaient ses yeux, par la splendeur de l'airain qu'avaient ses bras et ses pieds, sont signifiés les biens de l'amour ; que l'or soit le bien de l'amour, on le voit, numéros 113, 1551, 1552, 5658 ; et aussi le feu, numéro 934, 4906, 5215, et comme c'est le feu, c'est aussi l'éclair ; que l'airain soit le bien de l'amour et de la charité dans le naturel, on le voit, numéro 425, 1551 ; la Tharschisch selon laquelle apparut le reste du corps, à savoir, le milieu du corps entre la tête et les lombes, signifie le bien de la charité et de la foi car la Tharschisch est une pierre précieuse qui lance des éclairs.

  
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