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Genèse 23

പഠനം

   

1 La vie de Sara fut de cent vingt-sept ans: telles sont les années de la vie de Sara.

2 Sara mourut à Kirjath-Arba, qui est Hébron, dans le pays de Canaan; et Abraham vint pour mener deuil sur Sara et pour la pleurer.

3 Abraham se leva de devant son mort, et parla ainsi aux fils de Heth:

4 Je suis étranger et habitant parmi vous; donnez-moi la possession d'un sépulcre chez vous, pour enterrer mon mort et l'ôter de devant moi.

5 Les fils de Heth répondirent à Abraham, en lui disant:

6 Ecoute-nous, mon seigneur! Tu es un prince de Dieu au milieu de nous; enterre ton mort dans celui de nos sépulcres que tu choisiras; aucun de nous ne te refusera son sépulcre pour enterrer ton mort.

7 Abraham se leva, et se prosterna devant le peuple du pays, devant les fils de Heth.

8 Et il leur parla ainsi: Si vous permettez que j'enterre mon mort et que je l'ôte de devant mes yeux, écoutez-moi, et priez pour moi Ephron, fils de Tsochar,

9 de me céder la caverne de Macpéla, qui lui appartient, à l'extrémité de son champ, de me la céder contre sa valeur en argent, afin qu'elle me serve de possession sépulcrale au milieu de vous.

10 Ephron était assis parmi les fils de Heth. Et Ephron, le Héthien, répondit à Abraham, en présence des fils de Heth et de tous ceux qui entraient par la porte de sa ville:

11 Non, mon seigneur, écoute-moi! Je te donne le champ, et je te donne la caverne qui y est. Je te les donne, aux yeux des fils de mon peuple: enterre ton mort.

12 Abraham se prosterna devant le peuple du pays.

13 Et il parla ainsi à Ephron, en présence du peuple du pays: Ecoute-moi, je te prie! Je donne le prix du champ: accepte-le de moi; et j'y enterrerai mon mort.

14 Et Ephron répondit à Abraham, en lui disant:

15 Mon seigneur, écoute-moi! Une terre de quatre cents sicles d'argent, qu'est-ce que cela entre moi et toi? Enterre ton mort.

16 Abraham comprit Ephron; et Abraham pesa à Ephron l'argent qu'il avait dit, en présence des fils de Heth, quatre cents sicles d'argent ayant cours chez le marchand.

17 Le champ d'Ephron à Macpéla, vis-à-vis de Mamré, le champ et la caverne qui y est, et tous les arbres qui sont dans le champ et dans toutes ses limites alentour,

18 devinrent ainsi la propriété d'Abraham, aux yeux des fils de Heth et de tous ceux qui entraient par la porte de sa ville.

19 Après cela, Abraham enterra Sara, sa femme, dans la caverne du champ de Macpéla, vis-à-vis de Mamré, qui est Hébron, dans le pays de Canaan.

20 Le champ et la caverne qui y est demeurèrent à Abraham comme possession sépulcrale, acquise des fils de Heth.

   

സ്വീഡൻബർഗിന്റെ കൃതികളിൽ നിന്ന്

 

Arcanes Célestes #3146

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3146. Et il donna de la paille et du fourrage aux chameaux, signifie l'instruction dans les vrais et dans les biens : on le voit par la signification de la paille, en ce qu'elle désigne les vrais de l'homme naturel, et par la signification du fourrage, en ce qu'il désigne les biens de cet homme, numéro 3114 ; puisque la paille et le fourrage signifient ces vrais et ces biens, il s'ensuit que donner de la paille et du fourrage, c'est instruire dans les vrais et dans les biens. Qu'il y ait liberté, afin que l'homme soit instruit dans l'affection et par l'affection du vrai, et qu'en conséquence les vrais soient insinués profondément jusque dans l'homme spirituel ou jusque dans l'âme, et que là ils soient conjoints au bien, on peut le voir d'après ce qui a été dit de la Liberté, numéro ; telle est la manière dont s'enracine la foi, ou le vrai appartenant à la foi, que s'il n'y a pas copulation avec le bien dans le rationnel, jamais le vrai de la foi ne reçoit aucune vit aucune vie, mais le vrai de la foi ne reçoit aucune vie, et jamais il n'en provient aucun fruit ; car tout ce qui est appelé fruit de la foi, est le fruit du bien qui appartient à l'amour et à la charité par le vrai qui appartient à la foi : si la chaleur spirituelle, qui est le bien de l'amour, n'opérait point par la lumière spirituelle, qui est le vrai de la foi, l'homme ressemblerait à un humus resserré par la gelée, comme au temps de l'hiver, où rien ne croît, ni, à plus forte raison, ne fructifie ; car de même que la Lumière sans la Chaleur ne produit rien, de même la Foi sans l'Amour ne produit rien non plus.

  
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