성경

 

Exode 21:2

공부

       

2 Si tu achètes un esclave Hébreu, il te servira six ans, et au septième il sortira pour être libre, sans rien payer.

스웨덴보그의 저서에서

 

Arcanes Célestes #9010

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9010. Et que Dieu ait fait rencontrer sous sa main, signifie ce qui se présente comme cas fortuit : on le voit par l'idée que les anciens avaient du cas fortuit, idée qui consistait à l'attribuer à Dieu ; c'est pourquoi ils exprimaient le cas fortuit en disant : Dieu a fait rencontrer sous la main ; en effet, ceux qui étaient des anciennes Églises savaient que la Providence du Seigneur était dans toutes et dans chacune des choses, et que les choses contingentes, c'est-à-dire, celles qui se présentaient comme un cas fortuit, appartenaient à la Providence ; c'est pour cela que les simples, qui ne pouvaient pas distinguer les choses qui se faisaient d'après la permission d'avec celles qui se faisaient d'après le bon plaisir, attribuaient au Seigneur non-seulement le bien, mais aussi le mal ; le bien, parce qu'ils savaient que tout bien vient du Seigneur, et le mal, à cause de l'apparence ; car lorsque l'homme fait les maux et par eux se détourne du Seigneur, il lui semble que le Seigneur se détourne, parce qu'alors le Seigneur lui apparaît par derrière et non de face : de là vient donc que si un homme frappe quelqu'un par cas fortuit, ainsi sans une volonté avec prévoyance, cela est exprimé par Dieu a faif rencontrer sous la main. Que la Providence du Seigneur soit dans toutes choses en général et en particulier, on le voit, numéros 1919 (fin), 4329, 5122 (fin), 5155, 5195, 5894 (fin), 6058, 6431, 6482, 6483, 6484, 6485, 6486, 6487, 6489, 6491, 7004, 7007, 8478, 8717. On voit aussi que les choses contingentes ou cas fortuits appartiennent à la Providence, numéros 5508, 6493, 6494 ; et que le mal est attribué au Seigneur, lorsque cependant il provient de l'homme, numéros 2447, 5798, 6071, 6832, 6991, 6997, 7533, 7877, 7926, 8197, 8227, 8228, 8282, 8284, 8483, 8632.

  
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스웨덴보그의 저서에서

 

Arcanes Célestes #8478

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8478. Que personne n'en réserve jusqu'au matin, signifie qu'ils ne doivent pas être inquiets de son acquisition par eux-mêmes : on le voit en ce que la manne était donnée chaque matin, et que dans ce qui était réservé il se produisait des Vers. ce qui signifie que le Seigneur pourvoit chaque jour aux nécessités, et qu'ainsi l'on ne doit pas s'inquiéter de leur acquisition par soi-m@ªme : cela aussi est entendu par le Pain quotidien dans l'Oraison dominicale, et aussi par les paroles du Seigneur dans Matthieu :

« Ne soyez point en souci pour votre âme, de ce que vous mangerez ou boirez, ni pour votre corps, de quoi vous serez vêtus. Et pourquoi, à l'égard des vêtements, êtes-vous en souci ? considé- » rez les lis du champ, comment ils croissent ; ils ne travaillent point et ne filent point. Ne soyez donc pas en souci, au point de dire : Que mangerons-nous ? Et que boirons-nous ? Ou de quoi serons-nous vêtus ? Car toutes ces choses, les nations (les) recherchent ; est-ce que votre Père céleste ne sait pas que vous avez besoin de toutes ces choses-là. Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et sa justice, alors toutes ces choses vous seront données par surcroît. Ne soyez donc point en souci pour le lendemain, car le lendemain aura soin de ses propres choses. » - ;

-pareillement dans Luc 12:11-12, .

Comme dans ce Verset et dans le suivant il est, dans le sens interne, question du souci pour le lendemain, et comme ce souci a, été non-seulement défendu, mais même damné, il est signifié qu'il a été défendu, par cela qu'on ne devait pas réserver de manne jusqu'au matin, et il est signifié qu'il a été damné , par cela qu'il se produisait des vers dans ce qui était réservé, et qu'il y avait putréfaction. Celui qui ne regarde pas au-delà du sens de la lettre peut croire qu'on doit rejeter tout souci pour le lendemain, et par conséquent attendre chaque jour du ciel les nécessités de la vie ; mais celui qui considère la chose plus profondément que d'après la lettre, celui, par exemple, qui la considère d'après le sens interne, peut savoir ce qui est entendu par le souci du lendemain : Et il n'est pas entendu le souci de se procurer la nourriture, le vêtement et ce qui est nécessaire pour le temps à venir, car il n'est pas contre l'ordre de pourvoir à ses propres besoins et à ceux des siens ; mais ceux qui ont le souci du lendemain sont ceux qui ne sont pas contents de leur sort, qui mettent leur confiance non dans le Divin, mais en eux-mêmes, et qui considèrent seulement les choses mondaines et terrestres, et non les choses célestes ; chez eux régnent universellement la sollicitude pour l'avenir, le désir de posséder tout et de dominer sur tous, désir qui s'enflamme et s'accroît selon qu'il est alimenté, et qui dépasse enfin toute mesure ; ils s'affligent s'ils ne possèdent pas ce qu'ils convoitent, et se tourmentent quand ils font des pertes ; il n'y a pas pour eux de consolation, car alors ils s'irritent contre lé Ditàn., ils le rejettent avec tout ce qui est de foi, et ils se maudissent ; fel's sont ceux chez lesquels il y a le souci du lendemain. Et il en est tout autrement de ceux qui se confient au Divin : Ceux-ci, quoiqu'ils aient le souci du lendemain, cependant ils ne l'ont point, car ils ne pensent point au lendemain avec inquiétude, ni moins encore avec anxiété ; ils sont d'un esprit égal, soit qu'ils possèdent ce qu'ils ont désiré, soit qu'ils ne le possè-dent pas ; ils ne se tourmentent pas non plus des pertes, ils sont contents de leur sort ; s'ils deviennent opulents, ils ne placent pas leur cœur dans l'opulence ; s'ils sont élevés aux honneurs, ils ne se considèrent pas comme plus dignes que les autres ; s'ils deviennent pauvres, ils ne s'affligent pas ; s'ils tombent dans Une condition basse, ils ne perdent pas courage ; ils savent que pour ceux qui se confient au Divin tout se succède pour un état de bonheur dans l'éternité , et que les choses qui leur arrivent dans le temps sont avantageuses pour cet état. Il faut qu'on sache que la Providence Divine est universelle, c'est-à-dire qu'elle existe dans les plus petites particularités , et que ceux qui sont dans le fleuve de la Providence ont continuellement portés vers les choses heureuses., de quelque manière que les moyens se manifestent ; que ceux-là sont dans le fleuve de la Providence, qui se confient au Divin et Lui attribuent toutes choses ; et que ceux-là ne sont pas dans le fleuve de la Providence, qui se confient en eux seuls et s'attribuent toutes choses, puisqu'ils sont dans l'opposé, car ils enlèvent la Providence au Divin et se l'arrogent : il faut aussi qu'on sache qu'autant quelqu'un est dans le fleuve de la Providence, autant il est dans l'état de paix ; et qu'autant quelqu'un est dans l'état de paix d'après le bien de la foi, autant il est dans la Providence Divine : ceux-ci seulement savent et croient que la Providence Divine du Seigneur est dans toutes et dans chacune des choses, et même dans les plus petites de toutes, ainsi qu'on ie voit expliqué, numéros 1919f., 4329, 5122 (fin), 5894 (fin), 6058, 6481, 6482, 6483, 6484, 6485, 6486, 6490, 7004, 7007 ; et que la Providence Divine a en vue l'éternité, numéro 6491. Au contraire, ceux qui sont dans l'opposé veulent à peine entendre parler de la Providence, mais ils rapportent tout, en général et en particulier, à la prudence, et ce qu'ils n'attribuent pas à la prudence, ils le rapportent à la fortune ou au hasard quelques-uns le rapportent au destin, auquel ils donnent pour origine la nature et non le Divin ; ils appellent simples ceux qui n'attribuent pas toutes choses à eux-mêmes ou à la nature. D'après cela, on peut voir de nouveau quels sont ceux qui ont le souci du lendemain, et quels sont ceux qui n'ont pas le souci du lendemain.

  
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