Dans Genèse 7,1-24, le texte littéral est au cœur de l'histoire de Noé et de l'Arche. Noé et sa famille entrent dans l'arche, et amènent des animaux avec eux, deux par deux. Le déluge arrive, et le monde est noyé, mais l'arche est à l'abri, flottant sur le déluge.
Au sens interne, le déluge signifie la destruction de la "Très Ancienne Eglise" - une étape du développement humain qui était - au début - caractérisée par un monothéisme simple, et une innocence, et un haut degré de conscience spirituelle. C'est ce qu'Adam et Eve symbolisent au début, mais les histoires de "la chute", puis de Caïn et Abel, et ensuite de leurs descendants, sont les histoires de la corruption progressive mais omniprésente de la spiritualité de cette époque. Un déluge d'eau - représentant une marée de mal et de fausseté - détruit cette église corrompue, mais le Seigneur préserve les restes de bien et de vérité qui existent encore (Noé, sa famille et les animaux choisis), pour assurer le commencement d'une nouvelle église. C'est ce que l'on entend par l'arche et sa préservation.
AC 701. The subject here treated of in general is the preparation of a new church. As the subject before was the intellectual things of that church, so here it is the things of the will (verses 1 to 5).
AC 702. Next its temptations are treated of, which are described as to its intellectual things from (verses 6 to 10), and as to the things of the will in (verses 11, 12).
AC 703. Afterwards the protection of this church is treated of, and its preservation (verses 13 to 15). But what its state was, that it was fluctuating, is described in (verses 16 to 18).
AC 704. Finally the last posterity of the Most Ancient Church is treated of in regard to its character: that it was possessed by persuasions of falsity and by cupidities of the love of self to such a degree that it perished (verses 19 to 24).